Erin Currie a changé de carrière en se joignant à First National en 2019, après plusieurs années passées dans les secteurs du divertissement et de la vente au détail. C’est ainsi qu’elle est devenue une étoile montante au sein de notre entreprise.
Pourquoi avez-vous décidé de vous à joindre à First National en tant que coordonnatrice aux déboursés de prêts hypothécaires résidentiels?
Pour plusieurs raisons, l’une d’entre elles étant que j’aimais le secteur des prêts hypothécaires, même si je n’en faisais pas partie au moment où j’ai postulé chez First National. Je travaillais pour MLSE dans les relations avec la clientèle. J’ai de la famille dans le secteur des prêts hypothécaires et des connaissances assez approfondies en la matière, ayant travaillé dans le cadre d’un stage d’été pour une maison de courtage hypothécaire à Toronto en 2014. Quand j’ai vu que First National cherchait quelqu’un pour coordonner des déboursés, j’ai tenté ma chance.
Comment avez-vous trouvé le processus d’accueil?
Ce fut génial. Mon jumelage avec un coordonnateur aux déboursés expérimenté a facilité mon entrée en fonctions. Et même au-delà de ma période de formation initiale, First National est un employeur qui encourage ses employés à poser des questions et à demander de l’aide et des conseils. En raison de mon expérience antérieure, je comprenais bien les rouages du financement. Pendant une certaine période au cours de mon premier été, j’ai géré les déboursés de l’ensemble de mon équipe. Malgré le défi, l’expérience d’apprentissage a été inégalée.
Après avoir occupé le poste de coordonnatrice aux déboursés pendant environ 18 mois, vous avez fait vos débuts comme souscriptrice. Parlez-nous de votre poste actuel.
Je travaille quotidiennement en étroite collaboration avec des courtiers hypothécaires afin de les tenir informés de l’état d’avancement de leurs dossiers sur le plan de la souscription et de remplir tous les documents de souscription nécessaires. Simplement par le téléphone, j’ai développé des amitiés avec plusieurs courtiers avec lesquels je fais affaire. Bien entendu, il s’agit d’un exercice d’équilibre, car ils sont occupés, je suis occupée et nous avons des politiques de souscription à suivre. Nos appels téléphoniques durent généralement donc moins de cinq minutes. Je m’active également chaque jour à vérifier l’emploi et le revenu de personnes qui demandent un prêt hypothécaire auprès de leur employeur. Mes journées, en particulier l’été, sont occupées, pleines d’action et certainement gratifiantes.
Comment c’est d’appeler l’employeur de quelqu’un?
Les appels sont généralement très brefs et francs, mais il est arrivé que des employeurs me demandent de l’information sur les taux d’intérêt hypothécaires et un employeur en particulier m’a même demandé de l’aider à trouver un prêt hypothécaire. Je l’ai immédiatement dirigé vers le réseau des courtiers.
Qu’est-ce que ça prend vraiment pour réussir comme analyste hypothécaire adjointe?
Un esprit critique et une capacité de gérer la complexité. De bonnes compétences en matière de service à la clientèle sont indispensables, tout comme de faire preuve d’empathie. Vous devez être capable d’analyser des documents rapidement et en profondeur. Et le fait d’avoir une personnalité extravertie sera utile à long terme, étant donné que nous sommes dans un secteur où nous travaillons avec des gens.
Vous avez mentionné que vous avez été jumelée avec un coordonnateur aux déboursés expérimenté dans le cadre de votre intégration. Jouez-vous aujourd’hui ce rôle auprès de nouvelles personnes qui font leur entrée dans l’entreprise?
Oui, je partage ces responsabilités avec un collègue. Chris forme les nouveaux arrivants le matin et je forme les gens l’après-midi. Ainsi, nous avons le temps de faire notre propre travail et d’offrir une excellente expérience d’apprentissage à celles et ceux qui sont jumelés à nous.
Après être passée du financement à la souscription, quelle est la prochaine étape pour vous?
La souscription et c’est sûr que je souhaite rester chez First National pour le faire. J’aime le défi associé à la souscription, que j’assimile à la résolution des énigmes en assemblant différentes pièces pour mener à bien un dossier. En fonction de ce que je fais actuellement, je pense que je ferai une bonne souscriptrice à terme, d’ici un an ou deux, j’espère. C’est une progression naturelle pour ma carrière.
First National établit-il un plan de carrière pour vous?
Permettez-moi de vous présenter la chose ainsi : après environ un an à travailler en financement, j’ai été expressément demandée de poser ma candidature pour devenir analyste hypothécaire adjointe. J’étais assez à l’aise pour parler à mon gestionnaire de mon désir de gravir des échelons, ce qui m’a aidée, mais le fait qu’il voulait vraiment que je postule m’a donné plus de confiance.
Comment First National se compare-t-il à d’autres prêteurs?
First National est connu pour son service à la clientèle, son volume et sa qualité. Notre processus est simple. Nous passons les documents en revue de manière proactive pour ainsi être en mesure de respecter les délais de clôture. Certains prêteurs ont pour politique d’attendre jusqu’à dix jours avant la clôture pour passer les documents en revue. Une telle politique peut poser des problèmes aux courtiers et aux emprunteurs. Ce n’est pas notre style. Aujourd’hui, je passe en revue des documents en vue de la clôture de prêts hypothécaires prévue dans cinq mois. Une autre différence est d’ordre structurel. D’autres prêteurs combinent la coordination de déboursés et la souscription. Ici nous gardons ces fonctions séparées, et ça aide. Nos souscripteurs se concentrent sur la souscription, les analystes hypothécaires adjoints, sur la coordination des déboursés et les coordonnateurs aux déboursés, sur le financement. Parce que nous nous spécialisons, notre qualité est meilleure, tout comme notre rapidité d’exécution.
Quel conseil donneriez-vous à quelqu’un qui envisage de se joindre à First National?
Je vous dirais de postuler et de commencer à vous former, car on n’en sait jamais assez dans ce domaine. Des questions et des situations bizarres surgissent tout le temps. Par exemple, un emprunteur peut-il financer une partie de la mise de fonds au moyen d’un don d’un cousin au deuxième degré de la génération de la mère ou du père? Vous devez être en mesure d’y répondre en connaissance de cause. Je dirais aussi qu’il faut s’attendre à apprendre et à profiter de nouvelles expériences qui se présentent.