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Pourquoi Natasha Bhim a choisi First National pour faire carrière en souscription

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Lorsque Natasha Bhim a commencé à travailler avec nous il y a cinq ans, elle n’avait aucune expérience dans le secteur du crédit hypothécaire. Aujourd’hui, elle est une de nos étoiles montantes dans la souscription de prêts résidentiels. C’est ainsi qu’elle a développé ses connaissances et les a transformées en une carrière d’analyste hypothécaire adjointe.

Que faisiez-vous avant de vous joindre à First National?

J’ai travaillé comme vendeuse à temps partiel chez Home Depot et, avant cela, comme réceptionniste pour un concessionnaire Chrysler pendant que je travaillais à l’obtention de mon diplôme en administration des affaires. Je ne connaissais absolument rien aux prêts hypothécaires. En fait, le crédit était un secteur totalement nouveau pour moi. Une chose que je savais, c’était comment consulter le site Web de First National. J’ai été impressionné de lire qu’il s’agissait d’une entreprise qui mettait l’accent sur le développement de ses employés. C’était important pour moi. En fait, le développement des compétences et le développement professionnel figuraient en tête de ma liste d’objectifs.

Depuis cinq ans que vous êtes ici, la réalité correspond-elle à la publicité sur le site Web?

Absolument. J’ai l’impression que First National m’a vraiment façonnée en tant que personne. À son crédit, l’entreprise m’a donné l’ensemble des outils, de la formation et des connaissances dont j’avais besoin pour devenir une collaboratrice. Le système de soutien ici est sans égal. Ma croissance personnelle a été très constante et satisfaisante. Cela dit, je ne savais pas quelle orientation prendrait ma carrière au sein de First National lorsque je suis entrée au service de l’entreprise. C’est donc une expérience d’apprentissage en continu et j’ai toujours prêté attention aux différents rôles au sein de l’entreprise tels qu’ils sont affichés sur Arthur, notre système d’information interne.

Quel a été votre premier emploi chez First National?

De retour en 2017, j’ai commencé en tant que représentante du service aux clients résidentiels. Le service à la clientèle est un service idéal pour apprendre les rouages du métier et gagner en expérience. Répondre aux questions des emprunteurs m’a aidé à comprendre des concepts hypothécaires. Après environ un an et demi au service à la clientèle, j’ai posé ma candidature au service du financement.

Pourquoi avez-vous décidé de changer de service?

Le service à la clientèle vous forme à tous les aspects du cycle de vie d’un prêt hypothécaire après la clôture du dossier. Je voulais faire l’expérience du processus depuis le début, au sein du service de souscription. Le financement est le tremplin vers la souscription, et c’est pourquoi j’ai postulé. Je n’étais pas sûre à 100 % de pouvoir faire le travail, n’ayant pas une grande expérience du secteur, mais c’est en parlant à des amis qui avaient fait le saut du service à la clientèle au financement que j’ai développé la confiance de postuler. Ils m’ont également aidé à me préparer à déposer ma candidature.

En quoi consistait votre travail comme coordonnatrice aux déboursés?

Les coordonnateurs aux déboursés hypothécaires travaillent avec des avocats et des notaires pour obtenir les documents du client dûment signés. Ils s’assurent ensuite que les avocats et les notaires reçoivent les fonds nécessaires pour clore l’hypothèque à temps, une fois que toutes les conditions ont été satisfaites. La gestion du temps est une des principales compétences requises dans un rôle de financement. Vous devez également vous assurer de fournir correctement aux courtiers et aux avocats et notaires toute l’information dont ils ont besoin à l’avance au soutien du dossier.

Vous avez passé un peu plus d’un an en tant que coordonnatrice aux déboursés hypothécaires. Que s’est-il passé ensuite?

Mon expérience du financement m’a donné envie d’en faire plus et m’a fait réaliser que j’étais capable d’en faire plus. Mon gestionnaire de l’époque a vu en moi un potentiel et m’a encouragée. C’est pourquoi je suis aujourd’hui analyste hypothécaire adjointe.

En cinq ans, vous avez évolué vers trois rôles. La progression a-t-elle été difficile?

Non, et la raison en est que le fait d’avoir un service à la clientèle à mon actif m’a aidée à reconnaître la valeur de processus clés. Lorsque d’autres services savent que vous avez travaillé au service à la clientèle de First National, cela leur ouvre la porte, car ils reconnaissent que vous comprenez les raisons pour lesquelles nous faisons les choses comme nous les faisons et que vous avez la passion de venir en aide aux clients. N’oubliez pas que nous offrons toujours un service à la clientèle dans le cadre de la souscription, mais que nos clients sont des courtiers hypothécaires et non des emprunteurs. J’ai également appris à connaître de nombreuses personnes; des gestionnaires ont appris à me connaître et à savoir que je travaillais fort, ce qui m’a aidée.

À quoi ressemble votre travail d’analyste hypothécaire adjointe?

Tout évolue à un rythme très rapide. En période de pointe, nous répondons probablement à entre 60 et 100 courriels par jour. Nous devons être bien organisés et la gestion du temps est une compétence clé. Pour moi, le sens de l’organisation est très important et le rôle correspond donc à ma personnalité. L’esprit critique est indispensable, tout comme la capacité à établir des relations avec les gens. Chaque équipe de souscription travaille avec un groupe assigné de courtiers hypothécaires, ce qui est essentiel pour établir des relations personnelles. J’ai beaucoup plus plaisir à travailler avec mes courtiers. Ils sont motivés et veulent ce qu’il y a de mieux pour le client. En outre, plusieurs heures par jour sont consacrées à ce que nous appelons nos « verbaux ». C’est lorsque nous communiquons par téléphone avec des employeurs pour vérifier le revenu d’emprunteurs.

Avec un tel volume, vous sentez-vous soutenue?

Oui, tellement. Nos gestionnaires sont très attentifs à ne pas diviser le travail et à tirer parti de la force de toute l’équipe de souscription. Je travaille en étroite collaboration avec trois personnes chez First National et nous veillons les unes sur les autres. Si j’ai manqué quelque chose, une ou un collègue s’en rendra compte.

Vous avez mentionné l’esprit critique et le sens de l’organisation comme des caractéristiques importantes de votre rôle. Quoi d’autre est important?

La confiance. À mes débuts, j’étais nerveuse et réticente à demander de l’information aux gens. J’ai dû m’en remettre et ça m’a beaucoup aidé d’avoir confiance en mes connaissances.

Où vous voyez-vous dans dix ans d’ici?

Devenir souscriptrice. C’est un niveau de responsabilité différent et, après avoir occupé le poste d’analyste hypothécaire adjointe dans un rôle de coordination des déboursés, c’est l’étape qui suit naturellement. Ce sont des souscripteurs qui approuvent des dossiers sur lesquels je travaille, alors que mon rôle en tant qu’analyste hypothécaire adjointe est de vérifier et de valider la véracité des conditions.

En quoi First National est-il différent d’autres prêteurs?

Je ne peux parler que de First National, mais ce que je peux dire, c’est que nous bénéficions d’énormément de soutien. Qu’il s’agisse de mes responsables de formation ou de mes collègues, tout le monde me soutient et veut ce qu’il y a de mieux pour moi. Sur la base de mon expérience ici, je pense qu’il y a également un énorme avantage en matière de développement personnel. Le salaire et les avantages sociaux sont concurrentiels, il y a une bonne structure de primes et, dans l’ensemble, c’est tout simplement une entreprise où il fait bon travailler.

Quel conseil donneriez-vous à quelqu’un qui envisage de poser sa candidature à First National?

Si vous voulez vous lancer un défi et découvrir ce dont vous êtes capable, la souscription de prêts résidentiels est l’endroit idéal pour vous.