Lorsque Tyler Kiel a commencé à travailler avec nous, il sortait tout juste de l’école et n’avait aucune expérience dans le secteur hypothécaire. Quatre ans et quatre promotions plus tard, il est maintenant souscripteur de prêts résidentiels. C’est ainsi qu’il est devenu une de nos étoiles montantes.
Que faisiez-vous avant d’aboutir chez First National?
J’étudiais à l’Université Ryerson en vue d’obtenir mon baccalauréat en commerce. Lorsque j’ai terminé mes études en 2018, j’ai commencé à postuler pour des emplois à temps plein. Deux de mes amis de l’Université York m’ont parlé d’un salon de l’emploi. J’ai vu une liste d’entreprises sur le campus et le nom de First National y figurait. J’ai fait quelques recherches et ça semblait être une entreprise vraiment grandiose et professionnelle. Le fait d’avoir une mineure en finance m’a attiré vers First National, mais comme j’avais une majeure en marketing, j’avais aussi une possibilité que m’offrait une firme de marketing.
Pourquoi avez-vous choisi First National?
J’avais le sentiment que First National était plus professionnelle et qu’il y avait beaucoup plus de possibilités d’avancement ici.
Cela s’est-il avéré être le cas?
Oui, j’ai commencé comme représentant du service à la clientèle, où je suis resté pendant environ un an, puis j’ai été promu superviseur adjoint d’une équipe de dix représentants du service à la clientèle qui travaillaient de nuit, de midi à 20 heures. J’y ai travaillé pendant un an et demi et j’ai appris à diriger et à mobiliser une équipe, à effectuer des audits d’appels de clients et à traiter des dossiers de clients devant être transmis à un échelon supérieur dans la hiérarchie. Être là pour aider mon équipe a été très gratifiant pour moi, car je pouvais voir que je faisais une différence. Mais vers la fin, j’ai su que je voulais faire de la souscription. Lorsqu’un poste d’analyste hypothécaire adjoint s’est libéré, ce qu’on appelait autrefois un coordonnateur aux déboursés, j’ai postulé et j’ai obtenu le poste. De là, j’ai progressé vers le rôle de souscripteur au début de 2022.
Êtes-vous arrivé chez First National avec un objectif de carrière comme souscripteur en tête?
Pas vraiment, mais ce qui est bien, c’est que mes gestionnaires m’ont expliqué les options qui s’offraient à quelqu’un travaillant en service à la clientèle – avec des exemples concrets de personnes chez First National qui avaient commencé comme représentants du service à la clientèle. Ce sont les mêmes gestionnaires qui ont soutenu ma progression. Ils m’ont fait comprendre qu’ils voulaient que je reste avec First National. C’était un honneur qu’ils veuillent m’offrir des possibilités d'avancement et qu’ils voient en moi quelque chose que je ne reconnaissais pas moi-même. C’est ce qui m’a poussé à m’intéresser à la souscription.
Qu’est-ce qui vous a attiré à la souscription?
Pour moi, c’est une possibilité de croissance, une occasion d’apprendre. Les analystes hypothécaires adjoints traitent en moyenne 15 à 20 dossiers de prêt hypothécaire par jour, et chaque dossier est souvent associé à 15 ou 20 documents différents. Si le ratio de revenu d’un emprunteur change ou si le montant de sa mise de fonds diffère de ce qui était prévu, c’est le travail de l’analyste hypothécaire adjoint de gérer la situation et de trouver des solutions. Il faut être capable de réfléchir rapidement.
À quoi ressemblait une journée type dans la vie d’un analyste hypothécaire adjoint lorsque vous faisiez ce travail?
La journée type d’un analyste hypothécaire adjoint commençait par se brancher au système et vérifier l’état de dossiers dont la clôture était imminente. Je m’assurais que tous les documents hypothécaires étaient en ordre, sans quoi il ne serait pas possible de clore le dossier. Ensuite, je consultais ma file d’attente dans le système pour suivre les clôtures prévues au cours de la semaine suivante, ce qui m’amenait à appeler des courtiers pour leur donner un compte rendu de la situation. Puis ce fut le tour des rappels aux employeurs pour vérifier les revenus des emprunteurs. En matière de souscription, une grande partie du travail passe par notre système MERLIN, mais nous recevons aussi des courriels. Alors je faisais des allers-retours pour rester au courant des demandes et des renseignements des courtiers. MERLIN est également excellent parce qu’il signale automatiquement les éléments manquants et nous indique si les ratios sont hors norme dans une demande.
Quelle sorte de formation avez-vous reçue pour être en mesure de faire tout cela efficacement?
La formation était exhaustive et comportait un mélange de cours, de séances en salle de classe animées par notre équipe de formation, puis de jumelages avec des analystes hypothécaires adjoints plus expérimentés. Cela m’a donné l’occasion de voir, de première main, à quoi ressemblerait une journée de travail une fois que j’aurais pris mes fonctions pour de bon. Le jumelage m’a permis d’acquérir une formation sur la manière d’aborder des situations complexes. Mais même après la fin de ce processus de formation formelle, on m’a encouragé à m’adresser aux membres expérimentées de notre équipe lorsque j’avais des questions. C’est ce que j’ai fait et j’ai constaté qu’il y avait toujours beaucoup de soutien offert. Nous disposons également d’un outil en ligne appelé Arthur. Cet outil nous fournit de l’information pratique sur la manière de gérer des situations uniques ou ponctuelles. Ces ressources sont accessibles en tout temps.
Aviez-vous des objectifs de carrière en tête lorsque vous étiez analyste hypothécaire adjoint?
Oui, un de ces objectifs était de devenir souscripteur, ce que j’ai réussi à faire et j’en suis reconnaissant. À terme, mon nouvel objectif est de devenir gestionnaire ou même gestionnaire de comptes. Ce sont deux postes qui attirent mon attention aujourd’hui, car j’ai aimé mon temps passé comme superviseur adjoint au service à la clientèle. Le rôle de gestionnaire de comptes me semble très intéressant. Ce rôle s’accompagne de votre propre territoire et de la responsabilité de faire la promotion de nos produits auprès des courtiers hypothécaires. J’adorerais faire quelque chose comme ça.
Quels sont les compétences et les traits de personnalité qu’il est important d’avoir en souscription?
Vous devez être capable d’analyser, d’organiser et de résoudre des problèmes. Je trouve que la souscription est plus stimulante même que la supervision d’une équipe de dix personnes et je trouve cela agréable, car je dois me mettre à l’épreuve tous les jours. Il est vraiment utile que vous connaissiez vos produits et vos sujets en matière hypothécaire, car nous travaillons avec des courtiers hypothécaires futés. Du point de vue de la personnalité, vous devez avoir l’esprit d’équipe et une volonté d’aider vos collègues et vous devez être une personne positive dans l’ensemble. La négativité ne fait pas le poids quand on travaille en équipe.
Quels sont les aspects les plus enrichissants et les aspects les plus difficiles du travail d’un souscripteur?
Ce qui est le plus enrichissant, c’est lorsque je suis capable de régler un dossier difficile et de le faire fonctionner de manière à ce que la clôture se fasse à temps pour le courtier et l’emprunteur. Lorsque les courtiers en sont reconnaissants et vous le font savoir, c’est très satisfaisant. L’aspect le plus difficile est le volume. Pendant la pandémie, nous avons enregistré des volumes très élevés. C’est bien, mais cela impliquait parfois une lourde charge de travail.
À votre esprit, en quoi First National est-il différent et meilleur que d’autres prêteurs?
Nous sommes en constante expansion, mais la principale différence, c’est notre culture. J’ai entendu des choses vraiment mauvaises sur d’autres prêteurs en matière de culture. Ici nous sommes très axés sur l’équipe et la personne. La façon dont l’entreprise traite ses employés est formidable, et la façon dont nous traitons les courtiers et les emprunteurs l’est tout autant. C’est presque comme au sein d’une famille et je le vois constamment lorsque quelqu’un qui vient d’un autre prêteur arrive chez First National et formule des remarques à ce sujet. First National se soucie de ses employés, de la façon dont elle répond aux courtiers et de la façon dont elle traite ses clients. C’est ce qui fait la différence.
Quel conseil donneriez-vous à quelqu’un qui envisage de faire carrière chez First National?
Je lui dirais avec insistance et enthousiasme de faire le saut. C’est un endroit où il fait bon travailler et je suis reconnaissant pour toutes les possibilités d’évolution de carrière ainsi que les occasions qui ont été créées expressément pour moi. Je suis enthousiaste quant à mon avenir avec First National.