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Perspectives d’un emprunteur : Michael Klein, Diamond International

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Michael Klein gère une société d’investissements en immobilier à Toronto. Ce vétéran de l’industrie compte 30 ans d’expérience et gère son entreprise depuis 20 ans. Il se spécialise dans les appartements ainsi que les immeubles industriels et commerciaux. Son portefeuille comprend une quinzaine de propriétés et est fortement pondéré en immeubles résidentiels multifamiliaux. De plus, la société assure la gestion interne de toutes ces propriétés.

Michael nous partage ses points de vue sur le marché de Toronto, les occasions à saisir, sa vision de la croissance et la valeur ajoutée que représente la perspective commerciale de First National.

Q : Quelles sont vos perspectives concernant le marché de Toronto?
MK : Règle générale, le marché de Toronto est en ébullition depuis quelques années. Les prix des maisons continuent d’augmenter, ce qui a des répercussions sur les investissements en immobilier. Fondamentalement, c’est une question d’offre et de demande. La demande est énorme, mais l’offre est insuffisante. Le marché des copropriétés a tenté de combler cet écart dans une certaine mesure et c’est une filière qui gagne en importance. Il existe certainement une demande locale, mais les immigrants et les investisseurs étrangers cherchent aussi à accéder à la propriété. Les faibles taux d’intérêt ont contribué à alimenter le feu. Cependant, à la lumière de l’évolution du marché obligataire et d’une éventuelle hausse des taux d’intérêt, la situation devrait se stabiliser dans une certaine mesure.

Q : Où se trouvent les possibilités selon vous?
MK : Mon domaine d’expertise diffère de la plupart des autres. J’achète généralement des produits laissant à désirer, mais offrant un potentiel intéressant. J’aime les percevoir comme des occasions à saisir. Pensez à des propriétés dont les loyers sont faibles ou les taux d’inoccupation sont élevés ou encore qui sont affligées de problèmes matériels ou de locataires à problème. Je me lance et me mets au travail. J’aime comparer mon travail à celui d’un médecin. Je redonne vie à ces immeubles. J’investis l’énergie physique et l’argent nécessaires pour redonner à une propriété sa pleine valeur marchande.

Q : Quelle est votre vision en matière de croissance?
MK : Historiquement, ma croissance a été attribuable à des acquisitions, mais il m’est actuellement difficile de trouver des propriétés dans le Grand Toronto qui satisfont à mes critères. J’envisage donc la diversification géographique pour dénicher les occasions qui cadrent avec mes compétences et ma stratégie.

Q : Quel soutien First National vous apporte-t-elle dans la poursuite de vos objectifs de croissance?
MK : First National est à mes côtés chaque fois qu’une occasion se présente et elle est là pour y rester. Selon mon expérience, First National n’est pas vraiment une banque, mais plutôt un partenaire d’affaires. Je traite exclusivement avec Ilan Barda, et j’apprécie le fait qu’il aborde chaque occasion qui se présente d’une perspective d’affaire. Ilan agit rapidement et la rapidité d’exécution est d’une importance capital dans ce domaine. Il est un professionnel chevronné.

Q : Sur la base de votre expérience, comment First National fait-elle la démonstration qu’elle est « plus qu’un simple prêteur »?
MK : Tout revient à une question de services rapides et efficaces. Tout obstacle pouvant se dresser en cours de route est surmonté rapidement et j’ai accès à tous les échelons dans l’organisation. Je travaille avec Ilan depuis plus de dix ans et il me donne satisfaction chaque fois. J’apprécie vraiment cette collaboration. Parfois, c’est moi qui lui présente une occasion. Parfois, nous en dénichons une ensemble. J’ai l’impression qu’Ilan est un associé assis à côté de moi à la table, peu importe d’où provient l’occasion devant nous.

Q : Qu’est-ce qui ressort le plus de votre relation de travail avec First National?
MK : First National dispose de plusieurs options de financement. Très souvent, pour le type d’occasions qui m’intéressent, il est difficile d’obtenir l’accord de la SCHL d’entrée de jeu. Souvent, nous souscrirons un prêt conventionnel de courte durée afin de pouvoir respecter les échéances serrées souvent associées aux transactions. J’améliore la propriété, puis nous retournons à la table pour refinancer, souvent par le biais de la SCHL. C’est un niveau de souplesse qui est unique dans l’industrie. Cependant, au-delà de la mécanique de nos transactions, j’ai l’impression d’être bien plus qu’un numéro. Ilan me connaît personnellement, il apprécie mon modèle d’entreprise et il travaille fort pour m’aider à atteindre mes objectifs.