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Une culture est construite par des leaders
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À la rencontre de nos dirigeants : entretien avec Jason Ellis

Jason Ellis est chef de l’exploitation de First National.Son travail quotidien a donc une incidence directe sur le rendement et la compétitivité de First National.Dans le cadre de cette entrevue, nous demandons à Jason d’élaborer à propos de ses responsabilités.

Comment avez-vous abouti à First National?

En 2004, j’ai reçu l’appel d’un chasseur de têtes qui m’a décrit First National comme une petite entreprise entrepreneuriale en croissance qui était engagée dans le secteur des prêts hypothécaires. Je ne connaissais rien sur la titrisation ou l’industrie des courtiers hypothécaires, mais mon coffre contenant les outils financiers de base dont j’aurais besoin et je cherchais alors à donner une nouvelle direction à ma carrière. Entre autres, ça m’a permis de retourner à la négociation et de rétablir des liens avec mes amis dans les marchés de capitaux. Heureusement, mes entrevues avec Stephen Smith se sont bien déroulées et me voici donc.

Dans quelle mesure la société a-t-elle évolué?

À mon arrivée, nous comptions moins de 150 employés et nous émettions une petite fraction du nombre de prêts que nous émettons aujourd’hui. Nos prêts hypothécaires administrés venaient de franchir le cap des 5 milliards de dollars. Donc, nous étions plus petits, mais notre culture de base est restée la même. Nous demeurons animés par le même esprit entrepreneurial. Plusieurs des personnes qui étaient ici à mon arrivée sont encore parmi nous, ce qui assure la continuité de cette culture qu’est la nôtre.

Comment vos responsabilités ont-elles évolué?

À mes débuts en 2004, nous émettions pour environ 3 milliards de dollars en prêts par année. Aujourd’hui, la valeur de nos émissions dépasse les 16 milliards par année, sans compter 6 milliards ou plus en renouvellements. Cette croissance nous a obligés d’étendre nos stratégies de financement et de multiplier nos entités de titrisation. À l’époque, nous travaillions principalement avec des investisseurs qui prenaient charge des engagements hypothécaires dès l’émission des prêts. Nous gérions relativement peu de risques liés aux taux d’intérêt ou au crédit. Aujourd’hui, parce que nous avons un recours poussé à la titrisation, il y a beaucoup plus à gérer. La nature du travail évolue chaque année et ça fait que le travail demeure intéressant.

Lorsqu’on travaille dans les marchés de capitaux et avec d’autres grandes institutions, on développe des perspectives uniques sur l’économie, le marché immobilier ainsi que les marchés hypothécaires.Partagez-vous vos perspectives?

En fait, une des choses que j’apprécie particulièrement est de parler avec des emprunteurs commerciaux et des courtiers hypothécaires résidentiels. J’essaie de leur expliquer nos activités et je leur partage ce que nous observons dans les tendances du marché. J’accorde de l’importance à un tel dialogue et ça me fait plaisir de partager ce que je connais. Malheureusement, ce que je ne sais pas est la réponse à la question qui m’est posée le plus souvent. Dans quelle direction se dirigent les taux hypothécaires? Malheureusement, je n’ai pas de boule de cristal.

De tout ce qui se passe aujourd’hui dans les marchés de capitaux, le marché immobilier et les marchés hypothécaires, quel est l’élément le plus important pour les emprunteurs et les courtiers hypothécaires?

Les choses évoluent à un rythme fou, mais gérer les changements est une des spécialités de First National. La croissance exponentielle que nous avons connue n’a pas atténué notre esprit entrepreneurial. Cependant, ça nous a conféré une riche expérience et des outils financiers pour continuer de servir nos emprunteurs et nos courtiers partenaires.