Craig Miranda sur l’art de découvrir la carrière parfaite

Financière First National SEC 9 déc. 2025   mins

Craig Miranda décrit le parcours qu’il a suivi pour se bâtir une carrière prospère au sein de First National et l’importance de nouer des relations.

Qu’est-ce qui t’a attiré à First National?
CM: Il y a 15 ans, je travaillais dans le secteur de l’assurance et le poste que j’occupais ne correspondait pas à ma personnalité. J’ai commencé à chercher en ligne un nouvel emploi et j’ai appris que First National cherchait à pourvoir un poste de représentant du service à la clientèle. L’annonce indiquait que l’entreprise se consacrait à la fourniture de services, à l’élaboration de solutions et à la création de succès. Cela a résonné en moi, et c’est toujours le cas 15 ans plus tard. J’ai donc posé ma candidature, même si je n’étais alors même pas capable d’expliquer la différence entre un prêt hypothécaire à taux fixe et un prêt hypothécaire à taux variable! 

Comment as-tu mis le pied dans la porte ici?
CM: Je ne connaissais personne chez First National, mais ma mère m’a rappelé que Royston Lobo, un cousin éloigné, travaillait pour l’entreprise et je l’ai donc appelé. Royston m’a dit qu’il adorait son travail et que l’entreprise offrait de nombreuses possibilités de croissance et d’avancement. Royston m’a convaincu et je me suis présenté à l’entretien d’embauche avec la ferme intention d’être choisi, ce qui fut le cas. À l’époque, nous étions une équipe d’environ 300 ou 400 personnes, soit une fraction de notre taille d’aujourd’hui.

Que te rappelles-tu de ta première journée?
CM: J’ai commencé dans un environnement de salle de classe avec quatre autres nouvelles recrues. C’était un peu intimidant, car nous avions beaucoup à apprendre, dont notre système Optimus, mais notre formateur a été extraordinairement utile et nous a expliqué que l’idée était de nous donner plus de connaissances que nous n’en avions besoin pour commencer. Ça m’a mis à l’aise. Ce qui était formidable dans mon premier poste, c’est que j’avais l’occasion d’apprendre les fonctions et les opérations quotidiennes de différents services, alors que nous nous engagions à prendre la responsabilité d’aider les clients au mieux de nos capacités. Plus un représentant du service à la clientèle en sait, meilleure est l’expérience du client.

Au cours des 15 dernières années, tu as changé de services et obtenu des promotions. Comment as-tu fait pour provoquer le succès?
CM: Je me suis mis en position de réussir en apprenant à connaître des gens partout dans l’entreprise, en posant beaucoup de questions ainsi qu’en apprenant à effectuer plusieurs tâches à la fois et à établir des priorités. Une des grandes qualités de First National, c’est que chaque année, nous avons des entretiens d’évaluation de notre rendement avec la direction et, au cours de ces entretiens, on nous demande de parler de l’orientation que nous souhaitons donner à notre carrière. Ça suscite une profonde réflexion sur l’avenir et un état d’esprit progressiste.

Où cet exercice de réflexion t’a-t-il mené?
CM: Après quelques années passées au service à la clientèle, j’ai postulé et décroché un poste de coordonnateur aux déboursés de prêts résidentiels. Il s’est avéré que je n’étais pas fait pour un tel poste, même si certains de ses aspects me plaisaient. Au bout de huit mois, je suis retourné voir mon ancien gestionnaire du service à la clientèle et lui ai demandé si je pouvais réintégrer mon ancien poste. Il m’a dit qu’il serait heureux de me reprendre et qu’il était fier de moi pour avoir pris l’initiative d’essayer le financement. Ce sentiment de loyauté m’a marqué et m’a fait apprécier encore plus First National. 

Quelle leçon en as-tu tirée?
CM: D’un point de vue tactique, si l’occasion se présente, faire un stage d’observation est une expérience intéressante, car ça te permet d’expérimenter un nouveau poste avant d’y poser ta candidature. Mais le message le plus important est que le développement professionnel n’est pas toujours un processus linéaire. C’est un processus de découverte qui peut comporter des détours dans ta recherche du poste idéal. Environ quatre ans après mon retour au service à la clientèle, j’ai commencé à pousser ma recherche et j’ai entendu parler d’une possibilité en tant qu’administrateur de financement commercial. Par l’entremise d’un collègue, j’ai appris qui était la responsable du financement et je suis passé à son bureau pour me présenter. Jean Maraj a très généreusement pris le temps de me parler du poste et de me demander pourquoi il m’intéressait, tout en m’avertissant qu’il y avait de nombreux candidats en lice. Après deux entretiens, il s’est avéré que je n’ai pas obtenu le poste, mais Jean m’a dit qu’elle conserverait ma candidature dans ses dossiers. J’ai pris ça avec un grain de sel, mais fidèle à sa parole, Jean a communiqué avec mon supérieur trois ou quatre mois plus tard lorsqu’une autre ouverture s’est présentée et lui a dit qu’elle voulait me recruter pour le poste. J’y suis allé avec un esprit ouvert et, à force de travail, j’ai transformé ce qui était à l’origine un détachement de six mois en un poste permanent où j’ai appris sur le financement commercial, les renouvellements, les ventes aux investisseurs et l’assurance qualité. 

Ça a dû être un moment de fierté pour toi.
CM: Parmi les faits marquants de ma carrière, c’est en haut de la liste. Suit la possibilité, quelques années plus tard, de passer du poste d’administrateur de financement commercial à celui de spécialiste du financement commercial. Il y a une étape intermédiaire entre ces deux rôles et j’ai eu la chance de la sauter. 

Lorsque tu penses à ton expérience et aux valeurs qui définissent First National, qu’est-ce qui résonne le plus chez vous?
CM: Un sens de l’autonomie. J’ai la liberté de me demander pourquoi nous faisons ce que nous faisons et la possibilité de proposer de nouvelles et meilleures façons d’exercer mon rôle. Il est tout aussi vrai que la culture de First National est très axée sur la porte ouverte. Ici tu peux te rendre dans les bureaux de la direction et parler de ce qui te préoccupe. J’ai eu certaines de mes conversations les plus candides avec Rob Inglis, notre directeur financier. Rob prend toujours le temps de m’expliquer les choses et j’en suis reconnaissant.

First National met l’accent sur la création d’une culture inclusive qui célèbre la diversité. Est-ce important pour toi?
CM: Oui, tellement. First National sensibilise aux difficultés et aux réalités auxquelles les gens sont confrontés au quotidien. Ça rend les gens plus empathiques aux besoins des autres. Tout le monde a entendu parler des différentes façons dont les gens peuvent être marginalisés. Mais lorsqu’on en parle, ça pousse les gens à sortir de leur zone de confort, à acquérir de nouvelles perspectives et à s’engager dans des discussions constructives les uns avec les autres. Il en va de même pour les progrès réalisés par les femmes dans le financement commercial. À mes débuts, nous comptions peut-être une femme parmi nos analystes. La situation s’est améliorée depuis, mais il y a toujours lieu d’encourager les femmes à choisir le secteur du financement commercial pour y faire carrière.

Pourquoi faire carrière au sein de First National?
CM: Notre entreprise a reçu à plusieurs reprises la désignation Great Place to Work® Canada. Cela témoigne de la qualité de notre lieu de travail, tout comme le fait que la direction mène des sondages formels sur l’engagement tous les deux ans. Et les résultats de ce sondage ne sont jamais tablettés; la haute direction et le conseil d’administration les passent en revue et interviennent de manière positive en réponse aux suggestions.

Quels sont tes conseils à l’endroit d’une personne qui vient de se joindre à First National?
CM: Sois la meilleure version de toi-même au travail. Souris, présente-toi aux gens dans l’ascenseur, demande-leur dans quel service ils travaillent, participe aux activités de l’entreprise et sois sociable. C’est en te rendant disponible que des occasions se présenteront à toi. 

Autre chose à ajouter?
CM: Une expression dit que si tu trouves un travail que tu aimes, tu ne travailleras pas une seule journée de ta vie. C’est mon expérience avec First National. J’aime ce que je fais, je continue à apprendre et à progresser et c’est pourquoi il m’est facile de m’engager.

Histoires liées :

  • Récits d’anniversaire
  • 15 ans
  • Nous encourageons l’autonomie
  • Anniversaires d’entrée en service

Conor Walsh célèbre ses 15 ans au service de First National

11 juil. 2024

Carrières

Croissance continue. Ambition confiante. Excellence collaborative. Apprentissage en continu. Trouvez votre place, votre raison d’être et vos collaborateurs tout en vous bâtissant une carrière épanouissante au sein de First National.