Damir Jesic: Faire preuve de proactivité, avoir une présence et travailler fort, voilà les clés de son cheminement de carrière

Financière First National SEC 26 mars 2024   mins

Aujourd’hui, nous saluons Damir Jesic, vice-président adjoint, Financement commercial, à l’occasion de ses 15 années de service.

Damir, que faisais-tu avant de te joindre à First National? 

 Si je retourne loin en arrière, j’ai fait mes études universitaires en criminologie et j’ai joué au soccer pour les Mustangs de Calgary, le Storm de Calgary et les Drillers d’Edmonton. Un des propriétaires d’un club de soccer pour lequel je jouais était aussi propriétaire et promoteur immobilier local. C’est lui qui m’a aidé à faire mon entrée dans le domaine de la location d’immobilier commercial. Mon portefeuille d’espaces de bureaux et d’espaces de vente au détail couvrait 600 000 pieds carrés. Ce fut ma première incursion dans le secteur. J’ai occupé ce poste pendant trois ans à partir de 2005. En 2008, l’entreprise pour laquelle je travaillais a été emportée par la crise financière mondiale. Je suis immédiatement parti à la recherche d’un nouveau débouché plus complexe et axé davantage sur les chiffres et les investissements. Et voilà qu’une autre personne que je connaissais m’a aidé à mettre un pied dans la porte de First National.

Les relations semblent être un thème récurrent dans ta carrière.

 Oui, tellement. Laura Evans était l’une de mes collègues dans mon ancien cabinet. Laura est partie un an avant moi pour se joindre à First National. À l’époque, elle travaillait pour Troy Barker, ici à Calgary. J’ai gardé le contact avec Laura et, lorsqu’elle a su que j’étais à la recherche d’un nouvel emploi, elle m’a informé que First National cherchait à pourvoir un poste d’analyste subalterne. C’était l’occasion pour moi d’apprendre les rouages du métier. J’ai passé un entretien avec Laura et Troy et ma candidature a été retenue pour le poste.

Te rappelles-tu ta première journée?

 À l’époque, l’équipe était assez restreinte : il y avait Troy, Laura et moi-même. C’était un environnement très détendu et accueillant. Je connaissais déjà Laura, et Troy s’est d’emblée révélé être un homme formidable et un mentor extraordinaire. La transition s’est donc faite en douceur et l’expérience a été très positive.

Comment l’environnement du bureau a-t-il changé?

 C’est intéressant. Je racontais récemment à un collègue comment nous avions l’habitude de préparer, d’imprimer, d’envoyer par la poste ou de déposer à la SCHL des reliures physiques décrivant chaque demande de financement de client. Ces reliures mesuraient généralement deux pouces en épaisseur. Tout ce travail physique appartient au passé. Nous fonctionnons aujourd’hui sans papier et tous nos dossiers sont transmis électroniquement. La technologie a réellement fait progresser nos activités et, en même temps, nous sommes devenus plus structurés, plus axés sur le marché et plus avertis dans nos façons de faire. Le résultat net est que nous en faisons plus pour un plus grand nombre de clients dans l’ensemble de l’Ouest canadien, ce qui explique à son tour notre croissance considérable. Nous avons quadruplé nos volumes dans l’Ouest canadien depuis 2009 et avons développé une véritable spécialisation dans le financement de propriétés multifamiliales.

Quel est le moment de ta carrière dont tu es le plus fier?

 J’en aurais deux. Le premier est d’avoir eu l’occasion de constituer ma propre équipe au sein de First National à partir de 2017. Embaucher, former et encadrer des gens et les voir adopter notre approche et réussir sur les plans personnel et professionnel, voilà de réels plaisirs. Le deuxième, c’est d’avoir la possibilité d’établir des relations à long terme avec les clients... des relations qui dépassent le cadre des affaires et deviennent personnelles. Ces amitiés sont très importantes pour moi.

Quatre principes définissent First National comme lieu de travail : toujours s’efforcer de faire mieux, gagner la confiance, encourager l’autonomie et mettre l’accent sur la responsabilité. De ces quatre, lequel résonne le plus à tes oreilles et pourquoi?

 Ils sont tous importants et notre entreprise repose sur les quatre, mais s’efforcer de faire mieux est celui qui continue à me motiver, tant sur le plan personnel que sur le plan professionnel. Je veux améliorer le monde, je veux m’améliorer dans tous les aspects de ma vie, je veux faire en sorte que ma carrière se démarque et réaliser de l’excellent travail pour mes clients. Tout cela devient possible lorsque vous vous réveillez tous les matins avec l’intention de vous efforcer de faire mieux.

Ton expérience en tant qu’athlète professionnel t’a-t-elle été utile dans ta carrière?

 Bien sûr. Elle m’a appris la valeur du travail d’équipe, de la persévérance et de la capacité à se relever après une défaite et à prendre les victoires à bras-le-corps. Apprendre à travailler avec des entraîneurs et des coéquipiers aux personnalités différentes m’a également été bénéfique. Mais, au bout du compte, les sports – comme les affaires – nous forcent à nous améliorer jour après jour.

Joues-tu encore?

 Plus vraiment. J’ai subi deux chirurgies du genou, alors je m’en tiens à l’entraînement et au tennis. Cependant, j’ai été actif en tant qu’entraîneur et formateur/directeur technique pendant une décennie après la fin de ma carrière de joueur et j’ai été heureux de transmettre mes connaissances et, je l’espère, d’aider de plus jeunes joueurs à rester actifs et à développer leur amour pour le soccer et les sports en général.

Quels conseils donnerais-tu à celles et ceux qui en sont à leurs débuts chez First National?

 Trouvez un bon mentor et essayez de faire preuve de proactivité et de présence. Vous pourrez apprendre beaucoup de choses si vous avez la volonté de le faire. First National offre un excellent environnement d’apprentissage et beaucoup de soutien, alors profitez des occasions qui se présentent à vous. Pour moi, l’essentiel, c’est d’assimiler tout ça et de travailler fort. C’est la clé du succès. Si vous y prenez plaisir, les résultats viendront.

Comment contribues-tu à la culture d’inclusivité de First National?

 Je suis arrivé au Canada en 1996, à l’âge de 17 ans, en tant qu’immigrant et j’ai eu l’occasion de poursuivre des études secondaires et universitaires. Je travaille ici chez First National, où j’ai également la possibilité de progresser. À partir de ma propre expérience, je sais que notre entreprise est accueillante, diversifiée et inclusive et j’essaie de transmettre ces valeurs à quiconque fait son entrée chez First National. Chaque semaine, je me dis que j’ai la chance de travailler pour une entreprise formidable et de vivre dans un pays formidable. J’ai beaucoup de chance d’être ici. 

Le secteur des prêts hypothécaires commerciaux a la réputation d’être un monde d’hommes. Les choses changent-elles?

 Tout est en train de changer. Il y a quinze ans, lorsque j’assistais à des congrès sectoriels, 99 % des participants étaient des hommes en costume. Aujourd’hui, j’assiste à des congrès et on compte environ 70 hommes pour 30 femmes parmi les participants. Il s’y réalise des progrès et je pense que de plus en plus de femmes souhaitent faire carrière dans les services financiers. À mon avis, au-delà des pourcentages, je pense que le défi consiste à faire en sorte que les femmes puissent cheminer dans leur carrière, gravir les échelons, et c’est ce qui est en train de se produire dans le secteur et, bien sûr, First National ne fait pas exception.

Pourquoi quelqu’un qui vient d’arriver chez First National devrait-il rester et y faire carrière?

 La possibilité de tisser des relations concrètes et durables avec des clients y est certainement pour quelque chose d’important. Mais je dirais aussi que l’entreprise investit dans ses employés et qu’elle est très cohérente dans sa manière d’aborder le marché. Nous essayons d’être les meilleurs dans l’industrie et de représenter la marque sous cet angle. Donc, pour répondre à la question, c’est un milieu de travail idéal pour avancer dans ma carrière et je suis récompensé financièrement pour le faire. 

Où te vois-tu dans 15 ans d’ici?

 Je me sens chanceux de travailler pour First National. Nous avons une équipe formidable, notre entreprise jouit d’une excellente réputation et, en nous en tenant à ce que nous faisons le mieux, nous continuerons à mener le marché pour des années à venir. En fin de compte, tous les ingrédients se trouvent ici, alors pourquoi irais-je ailleurs?

Si vous souhaitez à votre tour féliciter Damir pour avoir franchi cet important jalon dans sa carrière, vous pouvez lui écrire à l’adresse damir.jesic@firstnational.ca.

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