Financière First National SEC

Faites connaissance avec Connie Altomari, directrice de la souscription de prêts hypothécaires résidentiels, Ontario et Canada atlantique

  • Financière First National SEC

Connie Altomari, membre chevronnée de l’équipe de First National, a été récemment nommée directrice de la plus importante division résidentielle dans le segment des habitations unifamiliales de la société. Cette division sert des courtiers et des emprunteurs partout en Ontario et dans le Canada atlantique. Au fil des ans, Connie a fait plusieurs contributions à la croissance de nos activités commerciales ainsi qu’au succès de nos courtiers hypothécaires partenaires. Sa nomination était donc amplement méritée. Pour en savoir plus, nous avons demandé à Connie de nous parler de sa carrière et de ce qu’elle espère accomplir dans le cadre de ses nouvelles fonctions.

Connie, vous avez bâti votre carrière dans l’industrie hypothécaire. Dites-nous comment vous avez commencé.

Que vérité soit dite. J’ai fait mes études en hôtellerie et restauration à Ryerson et mon intention après mes études était de travailler dans le domaine de l’hospitalité. J’avais travaillé comme serveuse dans un petit restaurant sur Danforth pour payer pour mes études, puis je m’étais jointe au service de traiteur d’un autre restaurant après avoir obtenu mon diplôme. Ma fille est née en 1985 et je suis vite arrivée à la conclusion que l’industrie de la restauration ne favorisait pas une vie familiale saine. Heureusement, une de mes amies travaillait pour BMO et elle m’a suggéré de poser ma candidature à la banque. J’ai décroché le poste. Initialement, j’étais chargée de réunir des forfaits pour les clients. Plus tard, j’ai occupé un poste de service à la clientèle où je répondais aux questions qu’avaient des clients à propos de leur prêt hypothécaire. C’était ma première véritable exposition au secteur hypothécaire. J’ai occupé ce poste pendant environ un an et demi avant de me joindre à Central Guaranty Trust.

Quel était votre rôle au sein de la société de fiducie?

J’ai commencé comme souscriptrice débutante. Mon travail ressemblait alors à ce que ferait aujourd’hui une spécialiste en gestion. Donc, je finançais des prêts hypothécaires, je recueillais et je confirmais des documents de revenu, je faisais tout ce qui était nécessaire pour soutenir l’équipe de souscription dans son travail. Après environ six mois, j’ai été promue au rang de souscriptrice, ce qui m’a permis de travailler directement avec les courtiers. J’ai beaucoup aimé ça. Je suis restée avec Central Guaranty Trust pendant environ six ans jusqu’à qu’elle soit vendue à la TD, puis j’ai travaillé à temps partiel pour la TD.

Comment avez-vous choisi de vous joindre l’équipe de First National?

J’avais entendu dire que First National cherchait à recruter du monde à temps plein et j’ai donc téléphoné à Moray Tawse. Heureusement, Moray avait entendu parler de moi dans les cercles de courtiers et il m’a donc offert le poste directement au téléphone, sans même m’avoir vu la face! Je n’avais jamais subi une entrevue d’embauche officielle au sein de First National avant d’avoir posé ma candidature auprès de Scott Mackenzie plus tôt cette année pour le poste que j’occupe actuellement.

Quand avez-vous commencé à travailler pour First National?

Le 29 avril 1995, donc il y a 24 ans.

Que faisiez-vous ici à vos débuts?

Un peu de tout! Nous étions une petite entreprise. J’étais la 15e personne à avoir été embauchée. Nous n’avons pas de titre officiel à l’époque. Notre réceptionniste utilisait un petit appareil pour faire des vérifications auprès des bureaux de crédit. Et nous utilisions une machine à écrire qui devait avoir un siècle d’âge pour taper nos relevés de quittance. Scott s’occupait de la souscription pour les courtiers depuis un bureau situé à Mississauga, tandis que je travaillais au 154 de l’avenue University, tout juste un peu au nord par rapport à où nous sommes aujourd’hui. Je m’occupais du service à la clientèle, des perceptions, des renouvellements et des transferts de prêts hypothécaires. J’y étais en raison de mon expertise en matière d’hypothèques. À l’époque, je m’occupais probablement d’une centaine de dossiers, dont deux en perception. Donc, comme je disais, nous étions une petite boîte.

Les employés les plus anciens de First National invoquent souvent l’environnement familial qui y régnait à l’époque. Est-ce votre expérience?

Absolument. Au milieu de la journée, Moray avait l’habitude de préparer le thé pour tout le monde. Par la suite, nous nous en occupions à tour de rôle.

Quand est-ce que vous avez commencé à utiliser des titres?

Probablement en 1999 ou 2000. On m’a attribué le titre de souscriptrice et mon travail consistait à souscrire des affaires pour des clients existants. En 2005 ou 2006, j’ai commencé à gérer une équipe de deux employés. Il y avait donc un souscripteur, un bailleur de fonds et moi.

Qu’est-il arrivé par la suite?

Les choses ont décollé. Nous avons enregistré une croissance considérable et, au fil des ans, mon équipe a grandi pour compter aujourd’hui 21 personnes : des souscripteurs, des bailleurs de fonds et des spécialistes en gestion qui relèvent tous de moi. Notre équipe était et demeure la plus importante équipe au sein de la division et nous avons travaillé avec des clients, des courtiers et des emprunteurs, en Ontario et dans le Canada atlantique.

Quel a été le fait marquant de cette expérience?

Je vous dirais qu’il y en a eu quelques-uns. Un des principaux a été de faire partie d’une société ayant franchi et dépassé le seuil des 100 milliards de dollars en prêts hypothécaires administrés. C’est à ce moment où nous avons eu l’impression d’être devenus un important joueur dans l’industrie. Pour celles et ceux d’entre nous qui y étions depuis longtemps, c’était aussi un signe de combien les choses avaient changé. Je me rappelle quand nous avions franchi le cap du million de dollars en prêts hypothécaires. Nous apposions des étiquettes commémoratives sur le courrier sortant pour marquer l’occasion. Notre premier appel public à l’épargne en 2006 a aussi été un moment marquant.

Vous avez mentionné apprécier travailler avec des courtiers. Votre poste précédent vous permettait-il de garder un lien avec la communauté des courtiers?

Absolument. Je consacrais environ 70 % de mon temps à des courtiers et les 30 % restants à des emprunteurs.

Qu’en est-il de votre nouveau poste?

Aujourd’hui, je suis responsable de la division tout entière, soit de 100 employés répartis entre sept équipes. Ce sont des souscripteurs, des bailleurs de fonds et des spécialistes en gestion qui servent des courtiers et des emprunteurs en Ontario et dans le Canada atlantique. Ce sont de gros chiffres et c’est un grand territoire.

Vous sentez-vous bien préparée à vous acquitter de vos nouvelles responsabilités?

Oui. J’ai eu la chance de pouvoir travailler en étroite collaboration avec ma prédécesseure avant qu’elle ne quitte pour la retraite. Kathy Lillie m’a traitée comme une partenaire, une confidente et nous prenions des décisions ensemble. J’ai été son bras droit pendant de nombreuses années et cette fonction ne m’a donc rien d’étranger. En fait, j’ai remplacé Kathy à plusieurs reprises, dont pendant une période d’environ quatre mois. Bien sûr, j’ai des courbes d’apprentissage qui m’attendent au cours des mois à venir. Gérer des gestionnaires, dont certains ont plus d’une décennie d’expérience, ce serait différent de ce dont j’ai l’habitude, mais je suis prête à relever les défis qui m’attendent.

Quelle est votre vision pour la division?

Je veux voir nos chiffres augmenter, je veux au moins atteindre et idéalement dépasser nos cibles et je veux être à mon meilleur pour toutes les personnes concernées : les courtiers, les emprunteurs et les membres de notre équipe. Je veux voir mes collègues prendre du galon. Comme Kathy et Scott. Je crois profondément en l’importance de favorise les promotions à l’interne et c’est ce que je continuerai de faire. Après tout, j’ai moi-même bénéficié de ce système.

Dans quelle mesure les promotions sont-elles faites à l’interne?

Dans notre cas, 97 % du temps. Nous employons des gens formidables et les décisions sont donc faciles à prendre. Prenez l’exemple de Nick Vlahos. Nick a commencé ici comme souscripteur il y a six ans. Il a été promu à un poste de gestionnaire il y a environ trois ans et a été récemment promu à mon ancien poste et gère donc aujourd’hui la plus importante équipe au sein de la division. C’est ainsi que nous faisons les affaires ici à First National.

Qu’en est-il de changements, s’il y a lieu, que vous aimeriez voir apporter à l’environnement de travail?

Notre milieu de travail est formidable. Notre principal avantage concurrentiel est le service à la clientèle : servir nos courtiers et servir nos clients. Tout le monde en fait une priorité. C’est une attitude qui commence au sommet, puis coule dans l’ensemble de l’organisation. Tout est question de service. Mais je suppose que si je devais choisir un seul changement, ce serait d’encourager mes collègues à prendre le téléphone en main et à s’engager avec les courtiers à un niveau personnel dans la pleine mesure possible. Souvent, nous trouvons que c’est difficile à faire parce que nous sommes si occupés et qu’il est si facile et efficace d’avoir recours au courrier électronique. Cependant, rien ne remplace la touche personnelle et le respect dont témoigne un appel téléphonique à nos courtiers partenaires.

Devrez-vous ajouter du monde à votre équipe pour accomplir cela?

Nous embauchons et je vais demander à mes sept gestionnaires de s’occuper de plus grandes équipes. Et pourquoi pas? Nous avons des gestionnaires d’équipes futés et expérimentés – les meilleurs dans l’industrie – et ils sont pleinement capables.

Vous avez la réputation personnelle d’être une personne très accessible. Comptez-vous maintenir votre politique de la porte ouverte?

Je vais certainement essayer et j’espère que nos gestionnaires sauront faire de même.

Lorsque vous n’êtes pas en train de gérer la division, que faites-vous dans vos moments libres?

Je suis mariée depuis 35 ans, j’ai trois enfants et deux petits-enfants. Ma famille me tient donc occupée. Nous avons une vie très active. J’aime faire du vélo, j’aime lire et – bien sûr, compte tenu de mes antécédents en restauration et de mon héritage italien – j’aime cuisiner. La cuisine me détend énormément. J’adore essayer de nouvelles recettes.

Autre chose à ajouter?

Je suis vraiment enthousiasmée par rapport à ce que l’avenir réserve pour First National et je suis très heureuse de pouvoir jouer un plus grand rôle dans notre succès continu.