Financière First National SEC

Impressions durables : l’équipe responsable des prêts finançant l’achat d’habitations unifamiliales au Québec se prononce sur les 30 premières années de First National

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Le 31 mars 2018, First National a entamé une année de célébrations marquant son 30e anniversaire. Pour commémorer cet important jalon, nous avons demandé à des membres clés de la direction de partager leurs perspectives personnelles sur le passé, le présent et l’avenir de la société. Dans le cadre de cette entrevue, René Allard, le premier directeur de notre division de prêts pour habitations unifamiliales au Québec (aujourd’hui à la retraite), et Marco Riccio, qui a succédé à René, partagent leurs points de vue.

René, vous avez pris votre retraite de First National à peine quelques semaines avant la date officielle du 30e anniversaire. Pourquoi n’êtes-vous pas resté pour les célébrations?

Croyez-moi, j’ai célébré en masse. Je suis très fier d’avoir contribué au succès de First National et de constater que nos activités au Québec ont pris du galon. Nous avons connu d’humbles débuts, puis sommes devenus un chef de file reconnu dans le marché. Cependant, après 43 ans dans l’industrie, j’ai voulu me donner du temps pour apprendre à cuisiner et je voulais consacrer plus de temps à la dégustation de vins! Aussi, je savais que Marco était prêt à prendre la relève et à faire passer nos activités au prochain niveau.

Marco, vous êtes le nouveau directeur de la division. Parlez-nous un peu de vous.

Je travaille dans le secteur des services financiers depuis près de 20 ans. Au cours de ces années, je me suis occupé à la fois d’investissements et de crédit. Je me suis joint à First National en 2009 et, grâce à l’aide et à l’encadrement fournis par René, j’ai gravi les échelons au fil des ans. Notre équipe est animée par une solide éthique de travail et elle reconnaît l’importance du service pour les courtiers hypothécaires. Cela découle directement du leadership exercé par René ainsi que du ton dicté par la haute direction de la société.

René, parlez-nous des origines de la division résidentielle de First National au Québec.

Nous avons connu des débuts modestes, mais il est vrai que nous avons commencé exactement au bon moment et avec la bonne attitude. À l’époque, soit il y a une dizaine d’années, plusieurs prêteurs se retiraient de la filière des courtiers hypothécaires. First National a pris leur place et a proposé des produits concurrentiels, un service attentionné et sa technologie Merlin. Surtout, j’avais carte blanche en matière d’embauche et nous avons donc commencé à bâtir une équipe dédiée pour servir la filière des courtiers hypothécaires.

Vous avez mentionné la bonne attitude. Qu’est-ce que cela veut dire?

Une façon de faire les choses respectueuse de nos courtiers hypothécaires partenaires. Ce sont nos clients. Sans les courtiers, nous n’aurions personne à qui prêter. Nous avons toujours placé cette filière au cœur de nos préoccupations.

Pendant vos années avec l’entreprise, quelle est la plus importante leçon que vous avez apprise de votre contribution à bâtir une entreprise florissante?

Il faut avoir une vision, il faut fixer des objectifs toujours plus hauts en cours de route, il faut encourager les employés à être positifs et il faut s’approprier l’esprit de corps ou d’équipe. 

Marco, êtes-vous du même avis?

Absolument. Et j’ajouterais qu’il est essentiel d’être à l’écoute de nos clients au moment d’établir notre vision et de fixer nos objectifs. C'est tout aussi essentiel de pouvoir compter sur des employés qui sont attentifs et toujours prêts à travailler ensemble à la recherche de solutions. Tout le monde vit des problèmes. Ce qui importe est de les résoudre. Lorsque je reflète sur le succès de First National au Québec, je pense que nous avons été très chanceux – lors de notre lancement – de pouvoir compter sur un directeur qui connaissait le marché, qui avait une vision et qui préconisait un professionnalisme absolu. Sous la direction de René, nous avons pu répondre à la demande en matière d’hypothèques de première qualité qui était énorme.

Marco, combien êtes-vous aujourd’hui au Québec dans l’équipe des prêts pour habitations unifamiliales?

Nous avons 40 personnes en souscription, ce qui nous permet de couvrir un grand territoire très efficacement.

Comment décririez-vous la situation qui règne aujourd’hui dans le marché hypothécaire du Québec et quelles sont vos perspectives en ce qui concerne ce marché?

Nous sommes très enthousiastes à l’égard de l’avenir du marché. L’économie du Québec se porte bien et First National jouit d’une solide réputation en matière de service. Tout est donc en place pour que nous continuions de connaître du succès.

René, quel est votre moment First National dont vous êtes le plus fier?

Obtenir la reconnaissance de prêteur chef de file dans la province pendant neuf années consécutives par la plus importante firme de courtage hypothécaire du Québec. Cette firme mène annuellement un sondage de satisfaction auprès de son équipe et First National arrive toujours au premier rang quand il est question de la qualité du service.

Et vous Marco?

Pour notre équipe, cette reconnaissance est extrêmement importante et nous sommes très fiers de cette réalisation. Pour moi personnellement, je dirais que ce qui m’inspire la plus grande fierté est ma nomination au poste de directeur pour poursuivre l’œuvre de René.

Qu’est-ce qui a le plus changé dans l’industrie au cours des années?

La réglementation qui régit les prêts dans le secteur résidentiel. Au cours des dernières années, le ministère des Finances et le BSIF ont apporté des changements considérables aux lignes directrices en matière de prêts. Pour nous, sur la première ligne, ces changements nous ont obligés de nous adapter constamment. Je suis vraiment satisfait de notre capacité de nous adapter et de progresser en pareilles circonstances.

René, à votre avis, qu’est-ce qui a le plus changé?

Je suis d’accord avec Marco. Les changements de politique apportés par le gouvernement font en sorte qu’il soit plus compliqué pour les emprunteurs d’obtenir du financement hypothécaire. Aussi, il est devenu plus difficile pour les prêteurs non bancaires de rester concurrentiels. L’année dernière s’est avérée particulièrement difficile au Québec en raison de nouvelles règles d’assurance hypothécaire, tandis que la ligne directrice B-20 a été modifiée en janvier dernier. Nous n’édictons pas les règles, mais nous devons composer avec les règles qui sont édictées.

Quel est le seul aspect qui n’a pas changé?

Notre attitude. Elle a toujours été positive et nous nous sommes toujours efforcés de nous mériter le respect de nos clients. C’est le fondement même du succès en affaires. L’autre constante est l’attention que nous accordons aux courtiers hypothécaires. Ils sont et ont toujours été la principale composante de notre équation. Sous la direction de Marco, cela continuera d’être le cas. Nous allons continuer de consacrer des ressources à la promotion des courtiers hypothécaires, car ce sont les gens les mieux placés pour vous venir en aide lorsque vous cherchez à financer l’achat d’une maison.

Marco, qu’est-ce qui n’a pas changé depuis vos débuts?

Notre façon de penser et notre volonté d’offrir un bon service à la clientèle.

Qu’est-ce qui vous motive?

La fierté d’être numéro un dans nos marchés. C’est une position que nous voulons maintenir et la seule façon de le faire est de trouver de meilleures façons de servir nos clients. Le désir d’innover me motive, c’est certain, et c’est une motivation que tout le monde qui travaille ici partage. 

First National est-elle devenue une meilleure société en travaillant avec des courtiers hypothécaires?

Absolument. Il aurait été impossible de connaître un tel succès sans l’apport des courtiers hypothécaires. À mesure qu’ils sont devenus plus concurrentiels par rapport aux banques, après avoir adopté de nouveaux outils et de nouvelles stratégies, ils ont produit des résultats extraordinaires pour les emprunteurs et ces résultats ont contribué à la croissance de First National. C’est en étant attentifs aux courtiers hypothécaires de même qu’à leurs idées et leurs préoccupations que nous sommes devenus plus concurrentiels.

Qu’apprenez-vous de la filière?

Nous prenons le pouls du marché, c’est aussi simple que cela. Les courtiers hypothécaires connaissent les emprunteurs beaucoup mieux que nous et nous sommes donc à l’écoute des conseils qu’ils nous prodiguent. Les décisions que nous prenons ont absolument une incidence sur les consommateurs. C’est donc en étant à l’écoute des courtiers que nous sommes en mesure de prendre des décisions plus éclairées.

Pourquoi un courtier hypothécaire devrait-il choisir First National au lieu d’autres prêteurs?

Le service, le respect et une attitude positive. Nous avons les gens en place pour bien traiter chaque occasion qui se présente, du début à la fin.

Marco, qu’aimeriez-vous partager aux courtiers hypothécaires partenaires concernant les aspirations et projets futurs de First National?

Nous allons nous consacrer entièrement à travailler ensemble à la recherche de solutions hypothécaires pour les emprunteurs et à enregistrer une croissance mutuellement bénéfique. Notre devise est la suivante : le meilleur service et les meilleurs produits en tout temps. Cette devise continuera d’éclairer nos objectifs allant de l’avant.

René, cette dernière question s’adresse à vous. Que signifie le 30e anniversaire de First National pour vous?

Ça signifie que nous avons parcouru beaucoup de chemin. Avant de me joindre à l’équipe, je n’avais aucune idée de ce qu’était First National. Aujourd’hui, toutefois, nous sommes un prêteur de choix aux yeux des courtiers hypothécaires ainsi que le plus important prêteur hypothécaire non bancaire au Québec. Je suis très fier d’avoir pu participer au développement d’une entreprise qui est aujourd’hui reconnue comme un chef de file et qui continuera de prospérer sous la direction compétente de Marco.