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Comment le marché obligataire réagit-il à l’imminence d’une hausse de taux? Découvrez-les ici.

  • Andrew Masliwec, analyste, Marchés de capitaux

Salutations aux créanciers et aux débiteurs hypothécaires,

Vous savez, parfois vous l’avez et parfois vous ne l’avez pas. Je ne suis pas trop sûr de ce que j’ai ce matin, alors allons droit au but et voyons ce qui arrive.

Inflation ce vendredi

La terre a tremblé ce matin à l’annonce des chiffres relatifs à l’IPC. Soit cela, ou le tremblement s’explique par les travaux de construction en cours dans notre immeuble. Qui sait? Il n’y a rien comme un marteau perforateur à l’œuvre sous vos pieds à 8 h 30 le matin. C’est vraiment une source de distraction dont on se passerait bien tôt le matin. Mais bon, assez de mes problèmes… Passons maintenant à un problème potentiel pour Poloz et compagnie.

L’IPC, le paramètre qui mesure l’inflation dans une économie, a été annoncé ce matin et l’indice est beaucoup moins élevé que ce qui était prévu. Les prévisionnistes économiques sondés avaient exécuté leurs algorithmes et s’attendaient à une légère hausse de 0,1 % en septembre par rapport à août. En fait, l’IPC a enregistré une baisse de -0,4 % sur un mois. Par conséquence, le taux d’inflation annualisé est passé de 2,7 % à 2,2 %. Ce sont les tarifs aériens qui ont enregistré la baisse la plus marquée, soit de -16,6 %, en septembre, du coup effaçant pratiquement le gain considérable enregistré en juillet dont j’ai fort probablement parlé dans un commentaire en août. Évidemment, la principale leçon qu’il faut en tirer est la suivante : prenez vos vacances en septembre plutôt qu’en juillet. Les prix des automobiles et des services de voyage ont aussi baissé de façon considérable en septembre, soit de -1,25 % et de -4,9 % respectivement, par rapport à août. Donc, s’agit-il d’un problème lorsque l’inflation baisse alors qu’une hausse des taux est prévue? Pas vraiment. L’inflation de référence, ce que mesure l’IPC à partir d’un modèle à facteurs qui filtre les variations de prix de composants spécifiques, gravite autour d’exactement 2 % en moyenne en septembre, ce qui cadre avec les projections de la Banque du Canada.

Donc, essentiellement, l’inflation a été moins élevée en septembre, mais seulement trois catégories, et mon tout le panier, ont été touchées par des baisses. Cela signifie que la Banque du Canada haussera les taux d’intérêt mercredi prochain. Du moins, la certitude d’une hausse est de 99,99 %. Il convient de souligner que, à la lumière de ces chiffres sur l’inflation, la probabilité de hausses subséquentes en prend pour son rhume et les hausses à venir s’échelonneront probablement sur une période plus longue.

Taux

Donc, comme une hausse de taux par la Banque du Canada la semaine prochaine est pratiquement chose faite, comment réagit le marché obligataire? Évidemment, on s’y attendait depuis un bon moment, alors il y a vente de feu d’obligations depuis le début du mois. L’obligation de 5 ans affiche actuellement un rendement de 2,39 % et celle de 10 ans, un rendement de 2,48 %. Il y a un mois, ces obligations affichent des rendements respectifs de 2,31 % et de 2,42 %. Aussi récemment qu’il y a trois mois, ces taux étaient de 2,08 % et de 2,18 % respectivement.

Donc, pas de fausse nouvelle ici… Les cours obligataires sont en baisse, tandis que les rendements sont en hausse. Fait intéressant, l’écart de rendement entre les obligations de 5 ans et de 10 ans – utilisé pour mesurer la raideur de la courbe de rendement – est demeuré relativement stable à 9-10 points de base au cours de ces trois mois. Qu’arrivera-t-il la semaine prochaine après la hausse, vous vous demandez? Bien, vous devrez probablement lire la prochaine « mise à jour sur les marchés de capitaux ». Les seules prédictions que je me permets de faire concernent les parcours des défilés des Maple Leafs. Rue Yonge vers le sud jusqu’à Front, puis de Front à Bay, puis de Bay à l’hôtel de ville.

Enfin, le Canada a vécu un moment historique cette semaine : le cannabis est désormais légal au pays. Oui, légal. Selon Statistique Canada, nous avons été 4,9 millions de Canadiens âgés de 15 à 64 ans à dépenser 5,7 milliards de dollars sur les produits du cannabis l’an passé. Cela équivaut à environ 1200 $ par personne. Certains économistes s’attendent à ce que ce total augmente, donnant ainsi un coup de pouce au PIB. Bonne (ou mauvaise?) nouvelle pour les faucons inflationnistes : les prix de la marijuana ont atteint un sommet en 1989. Je n’étais même pas né en 1989 et Paula Abdul et Milli Vanilli dominaient le palmarès à l’époque. Il faut croire que je n’ai pas manqué grand-chose.

Restez calmes!

Andrew

 

 

 

Comment le marché obligataire réagit-il à l’imminence d’une hausse de taux? Découvrez-les ici.

  • Andrew Masliwec, analyste, Marchés de capitaux

Salutations aux créanciers et aux débiteurs hypothécaires,

Vous savez, parfois vous l’avez et parfois vous ne l’avez pas. Je ne suis pas trop sûr de ce que j’ai ce matin, alors allons droit au but et voyons ce qui arrive.

Inflation ce vendredi

La terre a tremblé ce matin à l’annonce des chiffres relatifs à l’IPC. Soit cela, ou le tremblement s’explique par les travaux de construction en cours dans notre immeuble. Qui sait? Il n’y a rien comme un marteau perforateur à l’œuvre sous vos pieds à 8 h 30 le matin. C’est vraiment une source de distraction dont on se passerait bien tôt le matin. Mais bon, assez de mes problèmes… Passons maintenant à un problème potentiel pour Poloz et compagnie.

L’IPC, le paramètre qui mesure l’inflation dans une économie, a été annoncé ce matin et l’indice est beaucoup moins élevé que ce qui était prévu. Les prévisionnistes économiques sondés avaient exécuté leurs algorithmes et s’attendaient à une légère hausse de 0,1 % en septembre par rapport à août. En fait, l’IPC a enregistré une baisse de -0,4 % sur un mois. Par conséquence, le taux d’inflation annualisé est passé de 2,7 % à 2,2 %. Ce sont les tarifs aériens qui ont enregistré la baisse la plus marquée, soit de -16,6 %, en septembre, du coup effaçant pratiquement le gain considérable enregistré en juillet dont j’ai fort probablement parlé dans un commentaire en août. Évidemment, la principale leçon qu’il faut en tirer est la suivante : prenez vos vacances en septembre plutôt qu’en juillet. Les prix des automobiles et des services de voyage ont aussi baissé de façon considérable en septembre, soit de -1,25 % et de -4,9 % respectivement, par rapport à août. Donc, s’agit-il d’un problème lorsque l’inflation baisse alors qu’une hausse des taux est prévue? Pas vraiment. L’inflation de référence, ce que mesure l’IPC à partir d’un modèle à facteurs qui filtre les variations de prix de composants spécifiques, gravite autour d’exactement 2 % en moyenne en septembre, ce qui cadre avec les projections de la Banque du Canada.

Donc, essentiellement, l’inflation a été moins élevée en septembre, mais seulement trois catégories, et mon tout le panier, ont été touchées par des baisses. Cela signifie que la Banque du Canada haussera les taux d’intérêt mercredi prochain. Du moins, la certitude d’une hausse est de 99,99 %. Il convient de souligner que, à la lumière de ces chiffres sur l’inflation, la probabilité de hausses subséquentes en prend pour son rhume et les hausses à venir s’échelonneront probablement sur une période plus longue.

Taux

Donc, comme une hausse de taux par la Banque du Canada la semaine prochaine est pratiquement chose faite, comment réagit le marché obligataire? Évidemment, on s’y attendait depuis un bon moment, alors il y a vente de feu d’obligations depuis le début du mois. L’obligation de 5 ans affiche actuellement un rendement de 2,39 % et celle de 10 ans, un rendement de 2,48 %. Il y a un mois, ces obligations affichent des rendements respectifs de 2,31 % et de 2,42 %. Aussi récemment qu’il y a trois mois, ces taux étaient de 2,08 % et de 2,18 % respectivement.

Donc, pas de fausse nouvelle ici… Les cours obligataires sont en baisse, tandis que les rendements sont en hausse. Fait intéressant, l’écart de rendement entre les obligations de 5 ans et de 10 ans – utilisé pour mesurer la raideur de la courbe de rendement – est demeuré relativement stable à 9-10 points de base au cours de ces trois mois. Qu’arrivera-t-il la semaine prochaine après la hausse, vous vous demandez? Bien, vous devrez probablement lire la prochaine « mise à jour sur les marchés de capitaux ». Les seules prédictions que je me permets de faire concernent les parcours des défilés des Maple Leafs. Rue Yonge vers le sud jusqu’à Front, puis de Front à Bay, puis de Bay à l’hôtel de ville.

Enfin, le Canada a vécu un moment historique cette semaine : le cannabis est désormais légal au pays. Oui, légal. Selon Statistique Canada, nous avons été 4,9 millions de Canadiens âgés de 15 à 64 ans à dépenser 5,7 milliards de dollars sur les produits du cannabis l’an passé. Cela équivaut à environ 1200 $ par personne. Certains économistes s’attendent à ce que ce total augmente, donnant ainsi un coup de pouce au PIB. Bonne (ou mauvaise?) nouvelle pour les faucons inflationnistes : les prix de la marijuana ont atteint un sommet en 1989. Je n’étais même pas né en 1989 et Paula Abdul et Milli Vanilli dominaient le palmarès à l’époque. Il faut croire que je n’ai pas manqué grand-chose.

Restez calmes!

Andrew

 

 

 

Comment le marché obligataire réagit-il à l’imminence d’une hausse de taux? Découvrez-les ici.

  • Andrew Masliwec, analyste, Marchés de capitaux

Salutations aux créanciers et aux débiteurs hypothécaires,

Vous savez, parfois vous l’avez et parfois vous ne l’avez pas. Je ne suis pas trop sûr de ce que j’ai ce matin, alors allons droit au but et voyons ce qui arrive.

Inflation ce vendredi

La terre a tremblé ce matin à l’annonce des chiffres relatifs à l’IPC. Soit cela, ou le tremblement s’explique par les travaux de construction en cours dans notre immeuble. Qui sait? Il n’y a rien comme un marteau perforateur à l’œuvre sous vos pieds à 8 h 30 le matin. C’est vraiment une source de distraction dont on se passerait bien tôt le matin. Mais bon, assez de mes problèmes… Passons maintenant à un problème potentiel pour Poloz et compagnie.

L’IPC, le paramètre qui mesure l’inflation dans une économie, a été annoncé ce matin et l’indice est beaucoup moins élevé que ce qui était prévu. Les prévisionnistes économiques sondés avaient exécuté leurs algorithmes et s’attendaient à une légère hausse de 0,1 % en septembre par rapport à août. En fait, l’IPC a enregistré une baisse de -0,4 % sur un mois. Par conséquence, le taux d’inflation annualisé est passé de 2,7 % à 2,2 %. Ce sont les tarifs aériens qui ont enregistré la baisse la plus marquée, soit de -16,6 %, en septembre, du coup effaçant pratiquement le gain considérable enregistré en juillet dont j’ai fort probablement parlé dans un commentaire en août. Évidemment, la principale leçon qu’il faut en tirer est la suivante : prenez vos vacances en septembre plutôt qu’en juillet. Les prix des automobiles et des services de voyage ont aussi baissé de façon considérable en septembre, soit de -1,25 % et de -4,9 % respectivement, par rapport à août. Donc, s’agit-il d’un problème lorsque l’inflation baisse alors qu’une hausse des taux est prévue? Pas vraiment. L’inflation de référence, ce que mesure l’IPC à partir d’un modèle à facteurs qui filtre les variations de prix de composants spécifiques, gravite autour d’exactement 2 % en moyenne en septembre, ce qui cadre avec les projections de la Banque du Canada.

Donc, essentiellement, l’inflation a été moins élevée en septembre, mais seulement trois catégories, et mon tout le panier, ont été touchées par des baisses. Cela signifie que la Banque du Canada haussera les taux d’intérêt mercredi prochain. Du moins, la certitude d’une hausse est de 99,99 %. Il convient de souligner que, à la lumière de ces chiffres sur l’inflation, la probabilité de hausses subséquentes en prend pour son rhume et les hausses à venir s’échelonneront probablement sur une période plus longue.

Taux

Donc, comme une hausse de taux par la Banque du Canada la semaine prochaine est pratiquement chose faite, comment réagit le marché obligataire? Évidemment, on s’y attendait depuis un bon moment, alors il y a vente de feu d’obligations depuis le début du mois. L’obligation de 5 ans affiche actuellement un rendement de 2,39 % et celle de 10 ans, un rendement de 2,48 %. Il y a un mois, ces obligations affichent des rendements respectifs de 2,31 % et de 2,42 %. Aussi récemment qu’il y a trois mois, ces taux étaient de 2,08 % et de 2,18 % respectivement.

Donc, pas de fausse nouvelle ici… Les cours obligataires sont en baisse, tandis que les rendements sont en hausse. Fait intéressant, l’écart de rendement entre les obligations de 5 ans et de 10 ans – utilisé pour mesurer la raideur de la courbe de rendement – est demeuré relativement stable à 9-10 points de base au cours de ces trois mois. Qu’arrivera-t-il la semaine prochaine après la hausse, vous vous demandez? Bien, vous devrez probablement lire la prochaine « mise à jour sur les marchés de capitaux ». Les seules prédictions que je me permets de faire concernent les parcours des défilés des Maple Leafs. Rue Yonge vers le sud jusqu’à Front, puis de Front à Bay, puis de Bay à l’hôtel de ville.

Enfin, le Canada a vécu un moment historique cette semaine : le cannabis est désormais légal au pays. Oui, légal. Selon Statistique Canada, nous avons été 4,9 millions de Canadiens âgés de 15 à 64 ans à dépenser 5,7 milliards de dollars sur les produits du cannabis l’an passé. Cela équivaut à environ 1200 $ par personne. Certains économistes s’attendent à ce que ce total augmente, donnant ainsi un coup de pouce au PIB. Bonne (ou mauvaise?) nouvelle pour les faucons inflationnistes : les prix de la marijuana ont atteint un sommet en 1989. Je n’étais même pas né en 1989 et Paula Abdul et Milli Vanilli dominaient le palmarès à l’époque. Il faut croire que je n’ai pas manqué grand-chose.

Restez calmes!

Andrew

 

 

 

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  • Andrew Masliwec, analyste, Marchés de capitaux

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Vous savez, parfois vous l’avez et parfois vous ne l’avez pas. Je ne suis pas trop sûr de ce que j’ai ce matin, alors allons droit au but et voyons ce qui arrive.

Inflation ce vendredi

La terre a tremblé ce matin à l’annonce des chiffres relatifs à l’IPC. Soit cela, ou le tremblement s’explique par les travaux de construction en cours dans notre immeuble. Qui sait? Il n’y a rien comme un marteau perforateur à l’œuvre sous vos pieds à 8 h 30 le matin. C’est vraiment une source de distraction dont on se passerait bien tôt le matin. Mais bon, assez de mes problèmes… Passons maintenant à un problème potentiel pour Poloz et compagnie.

L’IPC, le paramètre qui mesure l’inflation dans une économie, a été annoncé ce matin et l’indice est beaucoup moins élevé que ce qui était prévu. Les prévisionnistes économiques sondés avaient exécuté leurs algorithmes et s’attendaient à une légère hausse de 0,1 % en septembre par rapport à août. En fait, l’IPC a enregistré une baisse de -0,4 % sur un mois. Par conséquence, le taux d’inflation annualisé est passé de 2,7 % à 2,2 %. Ce sont les tarifs aériens qui ont enregistré la baisse la plus marquée, soit de -16,6 %, en septembre, du coup effaçant pratiquement le gain considérable enregistré en juillet dont j’ai fort probablement parlé dans un commentaire en août. Évidemment, la principale leçon qu’il faut en tirer est la suivante : prenez vos vacances en septembre plutôt qu’en juillet. Les prix des automobiles et des services de voyage ont aussi baissé de façon considérable en septembre, soit de -1,25 % et de -4,9 % respectivement, par rapport à août. Donc, s’agit-il d’un problème lorsque l’inflation baisse alors qu’une hausse des taux est prévue? Pas vraiment. L’inflation de référence, ce que mesure l’IPC à partir d’un modèle à facteurs qui filtre les variations de prix de composants spécifiques, gravite autour d’exactement 2 % en moyenne en septembre, ce qui cadre avec les projections de la Banque du Canada.

Donc, essentiellement, l’inflation a été moins élevée en septembre, mais seulement trois catégories, et mon tout le panier, ont été touchées par des baisses. Cela signifie que la Banque du Canada haussera les taux d’intérêt mercredi prochain. Du moins, la certitude d’une hausse est de 99,99 %. Il convient de souligner que, à la lumière de ces chiffres sur l’inflation, la probabilité de hausses subséquentes en prend pour son rhume et les hausses à venir s’échelonneront probablement sur une période plus longue.

Taux

Donc, comme une hausse de taux par la Banque du Canada la semaine prochaine est pratiquement chose faite, comment réagit le marché obligataire? Évidemment, on s’y attendait depuis un bon moment, alors il y a vente de feu d’obligations depuis le début du mois. L’obligation de 5 ans affiche actuellement un rendement de 2,39 % et celle de 10 ans, un rendement de 2,48 %. Il y a un mois, ces obligations affichent des rendements respectifs de 2,31 % et de 2,42 %. Aussi récemment qu’il y a trois mois, ces taux étaient de 2,08 % et de 2,18 % respectivement.

Donc, pas de fausse nouvelle ici… Les cours obligataires sont en baisse, tandis que les rendements sont en hausse. Fait intéressant, l’écart de rendement entre les obligations de 5 ans et de 10 ans – utilisé pour mesurer la raideur de la courbe de rendement – est demeuré relativement stable à 9-10 points de base au cours de ces trois mois. Qu’arrivera-t-il la semaine prochaine après la hausse, vous vous demandez? Bien, vous devrez probablement lire la prochaine « mise à jour sur les marchés de capitaux ». Les seules prédictions que je me permets de faire concernent les parcours des défilés des Maple Leafs. Rue Yonge vers le sud jusqu’à Front, puis de Front à Bay, puis de Bay à l’hôtel de ville.

Enfin, le Canada a vécu un moment historique cette semaine : le cannabis est désormais légal au pays. Oui, légal. Selon Statistique Canada, nous avons été 4,9 millions de Canadiens âgés de 15 à 64 ans à dépenser 5,7 milliards de dollars sur les produits du cannabis l’an passé. Cela équivaut à environ 1200 $ par personne. Certains économistes s’attendent à ce que ce total augmente, donnant ainsi un coup de pouce au PIB. Bonne (ou mauvaise?) nouvelle pour les faucons inflationnistes : les prix de la marijuana ont atteint un sommet en 1989. Je n’étais même pas né en 1989 et Paula Abdul et Milli Vanilli dominaient le palmarès à l’époque. Il faut croire que je n’ai pas manqué grand-chose.

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