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Commentaire sur le marché : une mise à jour sur les marchés depuis l’éclosion d’une pandémie mondiale

  • Thomas Kim, vice-président, Marchés de capitaux

Bonjour!

Cela fait maintenant plusieurs semaines que nous travaillons tous à domicile. Qui peut se rappeler combien de semaines? Qui se rappelle à quoi ressemble dehors? Qui se rappelle la dernière fois que Justin Trudeau s’est rasé?

Les temps incertains que nous vivons se sont manifestés sous la forme de marchés volatils. La Banque du Canada (ou « BdC ») a abaissé son taux directeur de référence de 50 points de base, et ce, à trois reprises. Le rendement des obligations à 5 ans du gouvernement du Canada (« GdC ») a chuté de 120 points de base par rapport à un récent sommet atteint en janvier et a rebondi de 45 points de base avant de redescendre. Au moment de la rédaction de ces lignes, ce rendement se chiffre à 0,44 %. L’écart entre les obligations à 10 ans et à 5 ans du GdC est passé de moins 1-3 points de base en janvier (les rendements à 10 ans étaient inférieurs à ceux à 5 ans) à plus de 20 points de base (les rendements à 10 ans sont supérieurs à ceux à 5 ans) cette semaine. Il s’agit là de grandes variations.

Les relations entre les instruments se sont effondrées. Nous nous sommes habitués à ce que tous les « taux » baissent à mesure que la BdC abaisse son taux directeur. Voici un exemple où cela ne s’est pas produit : de la mi-janvier à la mi-mars, le rendement des obligations à 5 ans du GdC COG a baissé de 100 points de base, alors que les écarts de financement des grandes banques ont augmenté de 70 points de base... avant de remonter de 150 points de base supplémentaires. Ainsi, les coûts de financement (pour tout ce qui n’est pas lié aux obligations du GdC) ont en fait augmenté de façon spectaculaire pendant que les rendements des obligations du Canada chutaient. Voici un autre exemple : les écarts des papiers commerciaux adossés à des actifs (« PCAA ») ont généralement suivi de près le taux CDOR. Pendant ce temps, l’écart entre ces deux instruments a explosé de 50 points de base. Le taux CDOR lui-même est très élevé par rapport à ce qu’il est en période « normale » et aux références comme les swaps indexés sur le taux à un jour.

L’incertitude et la volatilité engendrent un manque de liquidités. À diverses reprises, les négociants en obligations ont décrit leurs marchés comme étant en panne. Ce n’est pas bon. En réponse, la BdC a annoncé qu’elle comptait mettre la main sur tout ce qu’elle pouvait : obligations du GdC, bons du Trésor, obligations hypothécaires du Canada, bons provinciaux, obligations provinciales, acceptations bancaires, papiers commerciaux, PCAA et obligations d’entreprises (à l’exception des banques). Elle a élargi la portée et l’ampleur de ses activités de prêt et de mise en pension en autorisant plus de types de garanties, plus de contreparties éligibles et des durées plus longues. Dans le secteur hypothécaire, la SCHL a lancé une version modifiée de son programme d’achat de prêts hypothécaires assurés (« PAPHA ») afin de fournir un soutien d’urgence au marché des TH LNH. Tout cela a plus ou moins bien fonctionné.

Pour résumer, la conjoncture des marchés s’est beaucoup détériorée, puis elle s’est améliorée dans une certaine mesure. Mais tout finira par se remettre en place, nous reverrons le monde extérieur et le premier ministre se rasera enfin la barbe.

Un dernier mot concernant First National : Nos équipes de trésorerie et d’initiation travaillent ensemble pour traverser cette période difficile et agitée, l’objectif étant de pouvoir poursuivre nos programmes de prêts axés sur des solutions avec des offres de produits à court terme assurés de 1 à 5 ans, des programmes de prêts à la construction ainsi que des prêts-relais conventionnels. Pendant ce temps, nous continuons également de financer notre vaste gamme de produits assurés sur 10 ans. Nous essayons de faire comme si de rien n’était, dans la mesure du possible.

Commentaire sur le marché : une mise à jour sur les marchés depuis l’éclosion d’une pandémie mondiale

  • Thomas Kim, vice-président, Marchés de capitaux

Bonjour!

Cela fait maintenant plusieurs semaines que nous travaillons tous à domicile. Qui peut se rappeler combien de semaines? Qui se rappelle à quoi ressemble dehors? Qui se rappelle la dernière fois que Justin Trudeau s’est rasé?

Les temps incertains que nous vivons se sont manifestés sous la forme de marchés volatils. La Banque du Canada (ou « BdC ») a abaissé son taux directeur de référence de 50 points de base, et ce, à trois reprises. Le rendement des obligations à 5 ans du gouvernement du Canada (« GdC ») a chuté de 120 points de base par rapport à un récent sommet atteint en janvier et a rebondi de 45 points de base avant de redescendre. Au moment de la rédaction de ces lignes, ce rendement se chiffre à 0,44 %. L’écart entre les obligations à 10 ans et à 5 ans du GdC est passé de moins 1-3 points de base en janvier (les rendements à 10 ans étaient inférieurs à ceux à 5 ans) à plus de 20 points de base (les rendements à 10 ans sont supérieurs à ceux à 5 ans) cette semaine. Il s’agit là de grandes variations.

Les relations entre les instruments se sont effondrées. Nous nous sommes habitués à ce que tous les « taux » baissent à mesure que la BdC abaisse son taux directeur. Voici un exemple où cela ne s’est pas produit : de la mi-janvier à la mi-mars, le rendement des obligations à 5 ans du GdC COG a baissé de 100 points de base, alors que les écarts de financement des grandes banques ont augmenté de 70 points de base... avant de remonter de 150 points de base supplémentaires. Ainsi, les coûts de financement (pour tout ce qui n’est pas lié aux obligations du GdC) ont en fait augmenté de façon spectaculaire pendant que les rendements des obligations du Canada chutaient. Voici un autre exemple : les écarts des papiers commerciaux adossés à des actifs (« PCAA ») ont généralement suivi de près le taux CDOR. Pendant ce temps, l’écart entre ces deux instruments a explosé de 50 points de base. Le taux CDOR lui-même est très élevé par rapport à ce qu’il est en période « normale » et aux références comme les swaps indexés sur le taux à un jour.

L’incertitude et la volatilité engendrent un manque de liquidités. À diverses reprises, les négociants en obligations ont décrit leurs marchés comme étant en panne. Ce n’est pas bon. En réponse, la BdC a annoncé qu’elle comptait mettre la main sur tout ce qu’elle pouvait : obligations du GdC, bons du Trésor, obligations hypothécaires du Canada, bons provinciaux, obligations provinciales, acceptations bancaires, papiers commerciaux, PCAA et obligations d’entreprises (à l’exception des banques). Elle a élargi la portée et l’ampleur de ses activités de prêt et de mise en pension en autorisant plus de types de garanties, plus de contreparties éligibles et des durées plus longues. Dans le secteur hypothécaire, la SCHL a lancé une version modifiée de son programme d’achat de prêts hypothécaires assurés (« PAPHA ») afin de fournir un soutien d’urgence au marché des TH LNH. Tout cela a plus ou moins bien fonctionné.

Pour résumer, la conjoncture des marchés s’est beaucoup détériorée, puis elle s’est améliorée dans une certaine mesure. Mais tout finira par se remettre en place, nous reverrons le monde extérieur et le premier ministre se rasera enfin la barbe.

Un dernier mot concernant First National : Nos équipes de trésorerie et d’initiation travaillent ensemble pour traverser cette période difficile et agitée, l’objectif étant de pouvoir poursuivre nos programmes de prêts axés sur des solutions avec des offres de produits à court terme assurés de 1 à 5 ans, des programmes de prêts à la construction ainsi que des prêts-relais conventionnels. Pendant ce temps, nous continuons également de financer notre vaste gamme de produits assurés sur 10 ans. Nous essayons de faire comme si de rien n’était, dans la mesure du possible.

Commentaire sur le marché : une mise à jour sur les marchés depuis l’éclosion d’une pandémie mondiale

  • Thomas Kim, vice-président, Marchés de capitaux

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Cela fait maintenant plusieurs semaines que nous travaillons tous à domicile. Qui peut se rappeler combien de semaines? Qui se rappelle à quoi ressemble dehors? Qui se rappelle la dernière fois que Justin Trudeau s’est rasé?

Les temps incertains que nous vivons se sont manifestés sous la forme de marchés volatils. La Banque du Canada (ou « BdC ») a abaissé son taux directeur de référence de 50 points de base, et ce, à trois reprises. Le rendement des obligations à 5 ans du gouvernement du Canada (« GdC ») a chuté de 120 points de base par rapport à un récent sommet atteint en janvier et a rebondi de 45 points de base avant de redescendre. Au moment de la rédaction de ces lignes, ce rendement se chiffre à 0,44 %. L’écart entre les obligations à 10 ans et à 5 ans du GdC est passé de moins 1-3 points de base en janvier (les rendements à 10 ans étaient inférieurs à ceux à 5 ans) à plus de 20 points de base (les rendements à 10 ans sont supérieurs à ceux à 5 ans) cette semaine. Il s’agit là de grandes variations.

Les relations entre les instruments se sont effondrées. Nous nous sommes habitués à ce que tous les « taux » baissent à mesure que la BdC abaisse son taux directeur. Voici un exemple où cela ne s’est pas produit : de la mi-janvier à la mi-mars, le rendement des obligations à 5 ans du GdC COG a baissé de 100 points de base, alors que les écarts de financement des grandes banques ont augmenté de 70 points de base... avant de remonter de 150 points de base supplémentaires. Ainsi, les coûts de financement (pour tout ce qui n’est pas lié aux obligations du GdC) ont en fait augmenté de façon spectaculaire pendant que les rendements des obligations du Canada chutaient. Voici un autre exemple : les écarts des papiers commerciaux adossés à des actifs (« PCAA ») ont généralement suivi de près le taux CDOR. Pendant ce temps, l’écart entre ces deux instruments a explosé de 50 points de base. Le taux CDOR lui-même est très élevé par rapport à ce qu’il est en période « normale » et aux références comme les swaps indexés sur le taux à un jour.

L’incertitude et la volatilité engendrent un manque de liquidités. À diverses reprises, les négociants en obligations ont décrit leurs marchés comme étant en panne. Ce n’est pas bon. En réponse, la BdC a annoncé qu’elle comptait mettre la main sur tout ce qu’elle pouvait : obligations du GdC, bons du Trésor, obligations hypothécaires du Canada, bons provinciaux, obligations provinciales, acceptations bancaires, papiers commerciaux, PCAA et obligations d’entreprises (à l’exception des banques). Elle a élargi la portée et l’ampleur de ses activités de prêt et de mise en pension en autorisant plus de types de garanties, plus de contreparties éligibles et des durées plus longues. Dans le secteur hypothécaire, la SCHL a lancé une version modifiée de son programme d’achat de prêts hypothécaires assurés (« PAPHA ») afin de fournir un soutien d’urgence au marché des TH LNH. Tout cela a plus ou moins bien fonctionné.

Pour résumer, la conjoncture des marchés s’est beaucoup détériorée, puis elle s’est améliorée dans une certaine mesure. Mais tout finira par se remettre en place, nous reverrons le monde extérieur et le premier ministre se rasera enfin la barbe.

Un dernier mot concernant First National : Nos équipes de trésorerie et d’initiation travaillent ensemble pour traverser cette période difficile et agitée, l’objectif étant de pouvoir poursuivre nos programmes de prêts axés sur des solutions avec des offres de produits à court terme assurés de 1 à 5 ans, des programmes de prêts à la construction ainsi que des prêts-relais conventionnels. Pendant ce temps, nous continuons également de financer notre vaste gamme de produits assurés sur 10 ans. Nous essayons de faire comme si de rien n’était, dans la mesure du possible.

Commentaire sur le marché : une mise à jour sur les marchés depuis l’éclosion d’une pandémie mondiale

  • Thomas Kim, vice-président, Marchés de capitaux

Bonjour!

Cela fait maintenant plusieurs semaines que nous travaillons tous à domicile. Qui peut se rappeler combien de semaines? Qui se rappelle à quoi ressemble dehors? Qui se rappelle la dernière fois que Justin Trudeau s’est rasé?

Les temps incertains que nous vivons se sont manifestés sous la forme de marchés volatils. La Banque du Canada (ou « BdC ») a abaissé son taux directeur de référence de 50 points de base, et ce, à trois reprises. Le rendement des obligations à 5 ans du gouvernement du Canada (« GdC ») a chuté de 120 points de base par rapport à un récent sommet atteint en janvier et a rebondi de 45 points de base avant de redescendre. Au moment de la rédaction de ces lignes, ce rendement se chiffre à 0,44 %. L’écart entre les obligations à 10 ans et à 5 ans du GdC est passé de moins 1-3 points de base en janvier (les rendements à 10 ans étaient inférieurs à ceux à 5 ans) à plus de 20 points de base (les rendements à 10 ans sont supérieurs à ceux à 5 ans) cette semaine. Il s’agit là de grandes variations.

Les relations entre les instruments se sont effondrées. Nous nous sommes habitués à ce que tous les « taux » baissent à mesure que la BdC abaisse son taux directeur. Voici un exemple où cela ne s’est pas produit : de la mi-janvier à la mi-mars, le rendement des obligations à 5 ans du GdC COG a baissé de 100 points de base, alors que les écarts de financement des grandes banques ont augmenté de 70 points de base... avant de remonter de 150 points de base supplémentaires. Ainsi, les coûts de financement (pour tout ce qui n’est pas lié aux obligations du GdC) ont en fait augmenté de façon spectaculaire pendant que les rendements des obligations du Canada chutaient. Voici un autre exemple : les écarts des papiers commerciaux adossés à des actifs (« PCAA ») ont généralement suivi de près le taux CDOR. Pendant ce temps, l’écart entre ces deux instruments a explosé de 50 points de base. Le taux CDOR lui-même est très élevé par rapport à ce qu’il est en période « normale » et aux références comme les swaps indexés sur le taux à un jour.

L’incertitude et la volatilité engendrent un manque de liquidités. À diverses reprises, les négociants en obligations ont décrit leurs marchés comme étant en panne. Ce n’est pas bon. En réponse, la BdC a annoncé qu’elle comptait mettre la main sur tout ce qu’elle pouvait : obligations du GdC, bons du Trésor, obligations hypothécaires du Canada, bons provinciaux, obligations provinciales, acceptations bancaires, papiers commerciaux, PCAA et obligations d’entreprises (à l’exception des banques). Elle a élargi la portée et l’ampleur de ses activités de prêt et de mise en pension en autorisant plus de types de garanties, plus de contreparties éligibles et des durées plus longues. Dans le secteur hypothécaire, la SCHL a lancé une version modifiée de son programme d’achat de prêts hypothécaires assurés (« PAPHA ») afin de fournir un soutien d’urgence au marché des TH LNH. Tout cela a plus ou moins bien fonctionné.

Pour résumer, la conjoncture des marchés s’est beaucoup détériorée, puis elle s’est améliorée dans une certaine mesure. Mais tout finira par se remettre en place, nous reverrons le monde extérieur et le premier ministre se rasera enfin la barbe.

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