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Des mots remplis de sagesse : Russ Syme partage ses réflexions sur le travail en pleine pandémie

  • First National Financial LP

À la mi-mars, l’équipe des prêts commerciaux de First National est passée au travail à domicile d’un bout à l’autre du pays pour aider à freiner la propagation de la COVID-19. Aujourd’hui, plus d’un mois plus tard, nous prenons contact avec les membres de nos équipes de production pour voir comment ils composent avec la pandémie et quel type de travail ils effectuent pour les clients. Ces mots remplis de sagesse nous proviennent de Russ Syme, vice-présidente adjoint, Financement commercial pour First National à Vancouver. Russ s’est entretenu avec nous depuis son domicile le 23 avril 2020.

Comment vous en sortez-vous face au confinement?

J’ai beaucoup de chance que le travail à domicile soit facile. Ma femme et moi n’avons pas de distractions et pas d’enfants à charge. Je suis assez autonome avec un ordinateur portable et un téléphone portable. Je n’ai donc rien perdu en quelque sorte. Trois des cinq membres de notre équipe travaillent régulièrement à domicile pour servir nos clients. Pour eux, donc, pas grand-chose n’a changé. Cependant, deux de nos analystes ont des enfants à la maison, ce qui rend la tâche très difficile pour eux. Il est à leur honneur de s’être bien adaptés en assouplissant leur horaire de travail et leurs heures passées en famille chaque fois que cela s’avère judicieux. J’ai toujours trouvé que First National était prête à s’adapter à différents horaires et à différentes façons de travailler, ce qui est une des nombreuses caractéristiques du travail ici.

Sur quoi travaillez-vous? 

Nous avons eu un volume assez important d’interactions avec nos clients – autant des appels sortants que des appels entrants. Nous avons essayé d’être très proactifs dans nos communications, car il y avait beaucoup d’anxiété à dissiper. Nous fournissons des conseils sur les options et les produits que nous avons à notre disposition et faisons savoir aux clients que nous continuons d’octroyer des prêts. Les clients nous disent parfois qu’ils apprécient tout simplement le fait d’avoir quelqu’un à qui parler, quelqu’un qui connaît leur entreprise et leurs marchés et qui comprend les défis auxquels ils sont confrontés. Sur le plan des affaires, les volumes de renouvellements et d’octroi de nouveaux prêts au cours du dernier mois ont atteint des niveaux assez typiques.

Certains spéculent que la pandémie pourrait entraîner des changements sociétaux permanents. Voyez-vous des changements dans la façon dont vos clients envisagent l’avenir?

Il est trop tôt pour le dire, mais une tendance qui gagne du terrain depuis le début de la pandémie est un intérêt pour les appartements locatifs. Je pense que cela pourrait continuer et peut-être même s’accélérer, en particulier ici à Vancouver. Certains de nos clients actuels et un certain nombre de nouveaux clients potentiels envisagent de passer de la construction d’unités en copropriété à la construction de logements locatifs sur mesure. Les facteurs fondamentaux à l’origine de ce changement, notamment le faible taux d’inoccupation des appartements, les politiques d’aménagement du territoire favorisant la location par rapport aux projets d’unités en copropriété afin de résoudre les problèmes d’accessibilité financière et l’attrait de la détention d’actifs immobiliers, ne devraient pas changer après la pandémie. Aussi, la prévente d’unités en copropriété dans cet environnement n’est pas une tâche enviable.

Encouragez-vous les clients à envisager d’investir dans le marché des appartements?

La valeur d’une stratégie d’achat et de possession pour les locations multifamiliales est étayée par des décennies de données en général, mais, comme toute autre chose, cette stratégie dépend de la propriété, du quartier et du prix payé. Comme nous sommes le chef de file des prêteurs dans le secteur de l’immobilier résidentiel, nous pouvons partager des données avec nos clients et ceux-ci se tournent vers nous pour comparer les conditions du marché et analyser les occasions à saisir.

Quel est le rendement actuel des logements locatifs?

En avril, les taux d’occupation étaient élevés et les propriétaires avec lesquels nous travaillons ont annoncé de bonnes nouvelles en matière de perception des loyers. Ceux qui sont en cours de location font également état d’excellents résultats. C’est une remarque générale concernant le marché de la Colombie-Britannique et nous devons encore voir comment se passera la perception des loyers du 1er mai, mais souvenez-vous que c’est comme une inondation qui ne se produit qu’une fois par siècle. Les immeubles d’appartements sont une réserve de valeur reconnue et fiable.

Qu’en est-il des conditions en Alberta?

La conjoncture du marché est très différente. Du point de vue de la location, la Colombie-Britannique et l’Alberta sont dans deux mondes différents. L’Alberta est actuellement confrontée à la pandémie avec la pression supplémentaire d’un effondrement des cours mondiaux du pétrole. La location prend donc plus de temps que la normale et plus longtemps qu’en Colombie-Britannique. Cela dit, je suis convaincu que les immeubles d’appartements dans des villes comme Calgary affichent et afficheront un rendement supérieur à celui d’autres types de propriétés commerciales.

Voyez-vous des signes de stabilisation en Colombie-Britannique? 

Je vais répondre à cette question par un exemple. Avant la pandémie, nous parlions avec un client qui envisageait d’acheter un terrain pour un projet de construction. Rendu en mars, il a décidé de ne pas aller de l’avant. Pas plus tard que la semaine dernière, il est revenu et a dit qu’il se sentait plus à l’aise face à la situation et qu’il voulait savoir si nous accepterions de financer son projet après tout. L’opinion d’un client ne marque pas une tendance, mais elle est certainement encourageante et le fait que le gouvernement de la Colombie-Britannique n’ait pas fermé le secteur de la construction joue également dans le calcul du client.

Octroyez-vous toujours des prêts à ce jour?

Oui, à la fois de nouveaux prêts et des renouvellements. L’achat du terrain dont je viens de parler serait financé par un prêt conventionnel. 

Avez-vous réalisé des gains dans cet environnement?

Absolument, nous avons enregistré de très beaux gains depuis le mois de mars. Pour n’en citer que quelques-uns, dès le début du confinement, nous nous sommes engagés à octroyer deux prêts à terme conventionnels et nous les avons financés en plein cœur de la pandémie. Nos clients ont été ravis d’obtenir ces financements et ils n’auraient pas pu procéder à un moment plus opportun compte tenu des problèmes de disponibilité dans le marché des prêts à terme conventionnels.

Qu’en est-il des prêts-relais conventionnels?

Nous en avons octroyé plusieurs à des clients à la recherche de liquidités ou voulant saisir des occasions d’achat. Il faut un certain esprit entrepreneurial pour rechercher des occasions dans un tel environnement, mais nous avons des clients très intelligents qui ont créé une valeur importante en adoptant un point de vue contraire.

First National continue d’avoir accès aux programmes de la SCHL. Demeurez-vous actifs dans ce créneau également?

Absolument. J’ai plusieurs clients qui envisagent de construire des logements locatifs abordables et ils nous ont demandé d’analyser les options en matière de financement. Nous avons une grande expertise des programmes de la SCHL, de la formulation de propositions à l’intention de la SCHL et de l’obtention d’approbations au plein montant demandé.   

Avez-vous été pris de court pendant la pandémie?

J’ai été surpris et impressionné par la rapidité avec laquelle nos clients ont reconnu les défis qu’ils allaient devoir relever et les occasions qui pourraient se présenter ainsi que par la rapidité avec laquelle First National a fait de même et a fait preuve de leadership dans le marché. Je travaille avec des clients futés et des collègues futés et cela fait toute la différence dans des moments comme celui-ci.

Autre chose à ajouter?

Nous sommes prêts à faire des affaires et prêts à servir.

Bien que Russ travaille de façon sûre, sécuritaire et productive de la maison, vous pouvez néanmoins le joindre à l’adresse russell.syme@firstnational.ca ou encore composer le 1 866 298-0929 pour parler à un membre de l’équipe des prêts commerciaux de First National.

Des mots remplis de sagesse : Russ Syme partage ses réflexions sur le travail en pleine pandémie

  • First National Financial LP

À la mi-mars, l’équipe des prêts commerciaux de First National est passée au travail à domicile d’un bout à l’autre du pays pour aider à freiner la propagation de la COVID-19. Aujourd’hui, plus d’un mois plus tard, nous prenons contact avec les membres de nos équipes de production pour voir comment ils composent avec la pandémie et quel type de travail ils effectuent pour les clients. Ces mots remplis de sagesse nous proviennent de Russ Syme, vice-présidente adjoint, Financement commercial pour First National à Vancouver. Russ s’est entretenu avec nous depuis son domicile le 23 avril 2020.

Comment vous en sortez-vous face au confinement?

J’ai beaucoup de chance que le travail à domicile soit facile. Ma femme et moi n’avons pas de distractions et pas d’enfants à charge. Je suis assez autonome avec un ordinateur portable et un téléphone portable. Je n’ai donc rien perdu en quelque sorte. Trois des cinq membres de notre équipe travaillent régulièrement à domicile pour servir nos clients. Pour eux, donc, pas grand-chose n’a changé. Cependant, deux de nos analystes ont des enfants à la maison, ce qui rend la tâche très difficile pour eux. Il est à leur honneur de s’être bien adaptés en assouplissant leur horaire de travail et leurs heures passées en famille chaque fois que cela s’avère judicieux. J’ai toujours trouvé que First National était prête à s’adapter à différents horaires et à différentes façons de travailler, ce qui est une des nombreuses caractéristiques du travail ici.

Sur quoi travaillez-vous? 

Nous avons eu un volume assez important d’interactions avec nos clients – autant des appels sortants que des appels entrants. Nous avons essayé d’être très proactifs dans nos communications, car il y avait beaucoup d’anxiété à dissiper. Nous fournissons des conseils sur les options et les produits que nous avons à notre disposition et faisons savoir aux clients que nous continuons d’octroyer des prêts. Les clients nous disent parfois qu’ils apprécient tout simplement le fait d’avoir quelqu’un à qui parler, quelqu’un qui connaît leur entreprise et leurs marchés et qui comprend les défis auxquels ils sont confrontés. Sur le plan des affaires, les volumes de renouvellements et d’octroi de nouveaux prêts au cours du dernier mois ont atteint des niveaux assez typiques.

Certains spéculent que la pandémie pourrait entraîner des changements sociétaux permanents. Voyez-vous des changements dans la façon dont vos clients envisagent l’avenir?

Il est trop tôt pour le dire, mais une tendance qui gagne du terrain depuis le début de la pandémie est un intérêt pour les appartements locatifs. Je pense que cela pourrait continuer et peut-être même s’accélérer, en particulier ici à Vancouver. Certains de nos clients actuels et un certain nombre de nouveaux clients potentiels envisagent de passer de la construction d’unités en copropriété à la construction de logements locatifs sur mesure. Les facteurs fondamentaux à l’origine de ce changement, notamment le faible taux d’inoccupation des appartements, les politiques d’aménagement du territoire favorisant la location par rapport aux projets d’unités en copropriété afin de résoudre les problèmes d’accessibilité financière et l’attrait de la détention d’actifs immobiliers, ne devraient pas changer après la pandémie. Aussi, la prévente d’unités en copropriété dans cet environnement n’est pas une tâche enviable.

Encouragez-vous les clients à envisager d’investir dans le marché des appartements?

La valeur d’une stratégie d’achat et de possession pour les locations multifamiliales est étayée par des décennies de données en général, mais, comme toute autre chose, cette stratégie dépend de la propriété, du quartier et du prix payé. Comme nous sommes le chef de file des prêteurs dans le secteur de l’immobilier résidentiel, nous pouvons partager des données avec nos clients et ceux-ci se tournent vers nous pour comparer les conditions du marché et analyser les occasions à saisir.

Quel est le rendement actuel des logements locatifs?

En avril, les taux d’occupation étaient élevés et les propriétaires avec lesquels nous travaillons ont annoncé de bonnes nouvelles en matière de perception des loyers. Ceux qui sont en cours de location font également état d’excellents résultats. C’est une remarque générale concernant le marché de la Colombie-Britannique et nous devons encore voir comment se passera la perception des loyers du 1er mai, mais souvenez-vous que c’est comme une inondation qui ne se produit qu’une fois par siècle. Les immeubles d’appartements sont une réserve de valeur reconnue et fiable.

Qu’en est-il des conditions en Alberta?

La conjoncture du marché est très différente. Du point de vue de la location, la Colombie-Britannique et l’Alberta sont dans deux mondes différents. L’Alberta est actuellement confrontée à la pandémie avec la pression supplémentaire d’un effondrement des cours mondiaux du pétrole. La location prend donc plus de temps que la normale et plus longtemps qu’en Colombie-Britannique. Cela dit, je suis convaincu que les immeubles d’appartements dans des villes comme Calgary affichent et afficheront un rendement supérieur à celui d’autres types de propriétés commerciales.

Voyez-vous des signes de stabilisation en Colombie-Britannique? 

Je vais répondre à cette question par un exemple. Avant la pandémie, nous parlions avec un client qui envisageait d’acheter un terrain pour un projet de construction. Rendu en mars, il a décidé de ne pas aller de l’avant. Pas plus tard que la semaine dernière, il est revenu et a dit qu’il se sentait plus à l’aise face à la situation et qu’il voulait savoir si nous accepterions de financer son projet après tout. L’opinion d’un client ne marque pas une tendance, mais elle est certainement encourageante et le fait que le gouvernement de la Colombie-Britannique n’ait pas fermé le secteur de la construction joue également dans le calcul du client.

Octroyez-vous toujours des prêts à ce jour?

Oui, à la fois de nouveaux prêts et des renouvellements. L’achat du terrain dont je viens de parler serait financé par un prêt conventionnel. 

Avez-vous réalisé des gains dans cet environnement?

Absolument, nous avons enregistré de très beaux gains depuis le mois de mars. Pour n’en citer que quelques-uns, dès le début du confinement, nous nous sommes engagés à octroyer deux prêts à terme conventionnels et nous les avons financés en plein cœur de la pandémie. Nos clients ont été ravis d’obtenir ces financements et ils n’auraient pas pu procéder à un moment plus opportun compte tenu des problèmes de disponibilité dans le marché des prêts à terme conventionnels.

Qu’en est-il des prêts-relais conventionnels?

Nous en avons octroyé plusieurs à des clients à la recherche de liquidités ou voulant saisir des occasions d’achat. Il faut un certain esprit entrepreneurial pour rechercher des occasions dans un tel environnement, mais nous avons des clients très intelligents qui ont créé une valeur importante en adoptant un point de vue contraire.

First National continue d’avoir accès aux programmes de la SCHL. Demeurez-vous actifs dans ce créneau également?

Absolument. J’ai plusieurs clients qui envisagent de construire des logements locatifs abordables et ils nous ont demandé d’analyser les options en matière de financement. Nous avons une grande expertise des programmes de la SCHL, de la formulation de propositions à l’intention de la SCHL et de l’obtention d’approbations au plein montant demandé.   

Avez-vous été pris de court pendant la pandémie?

J’ai été surpris et impressionné par la rapidité avec laquelle nos clients ont reconnu les défis qu’ils allaient devoir relever et les occasions qui pourraient se présenter ainsi que par la rapidité avec laquelle First National a fait de même et a fait preuve de leadership dans le marché. Je travaille avec des clients futés et des collègues futés et cela fait toute la différence dans des moments comme celui-ci.

Autre chose à ajouter?

Nous sommes prêts à faire des affaires et prêts à servir.

Bien que Russ travaille de façon sûre, sécuritaire et productive de la maison, vous pouvez néanmoins le joindre à l’adresse russell.syme@firstnational.ca ou encore composer le 1 866 298-0929 pour parler à un membre de l’équipe des prêts commerciaux de First National.

Des mots remplis de sagesse : Russ Syme partage ses réflexions sur le travail en pleine pandémie

  • First National Financial LP

À la mi-mars, l’équipe des prêts commerciaux de First National est passée au travail à domicile d’un bout à l’autre du pays pour aider à freiner la propagation de la COVID-19. Aujourd’hui, plus d’un mois plus tard, nous prenons contact avec les membres de nos équipes de production pour voir comment ils composent avec la pandémie et quel type de travail ils effectuent pour les clients. Ces mots remplis de sagesse nous proviennent de Russ Syme, vice-présidente adjoint, Financement commercial pour First National à Vancouver. Russ s’est entretenu avec nous depuis son domicile le 23 avril 2020.

Comment vous en sortez-vous face au confinement?

J’ai beaucoup de chance que le travail à domicile soit facile. Ma femme et moi n’avons pas de distractions et pas d’enfants à charge. Je suis assez autonome avec un ordinateur portable et un téléphone portable. Je n’ai donc rien perdu en quelque sorte. Trois des cinq membres de notre équipe travaillent régulièrement à domicile pour servir nos clients. Pour eux, donc, pas grand-chose n’a changé. Cependant, deux de nos analystes ont des enfants à la maison, ce qui rend la tâche très difficile pour eux. Il est à leur honneur de s’être bien adaptés en assouplissant leur horaire de travail et leurs heures passées en famille chaque fois que cela s’avère judicieux. J’ai toujours trouvé que First National était prête à s’adapter à différents horaires et à différentes façons de travailler, ce qui est une des nombreuses caractéristiques du travail ici.

Sur quoi travaillez-vous? 

Nous avons eu un volume assez important d’interactions avec nos clients – autant des appels sortants que des appels entrants. Nous avons essayé d’être très proactifs dans nos communications, car il y avait beaucoup d’anxiété à dissiper. Nous fournissons des conseils sur les options et les produits que nous avons à notre disposition et faisons savoir aux clients que nous continuons d’octroyer des prêts. Les clients nous disent parfois qu’ils apprécient tout simplement le fait d’avoir quelqu’un à qui parler, quelqu’un qui connaît leur entreprise et leurs marchés et qui comprend les défis auxquels ils sont confrontés. Sur le plan des affaires, les volumes de renouvellements et d’octroi de nouveaux prêts au cours du dernier mois ont atteint des niveaux assez typiques.

Certains spéculent que la pandémie pourrait entraîner des changements sociétaux permanents. Voyez-vous des changements dans la façon dont vos clients envisagent l’avenir?

Il est trop tôt pour le dire, mais une tendance qui gagne du terrain depuis le début de la pandémie est un intérêt pour les appartements locatifs. Je pense que cela pourrait continuer et peut-être même s’accélérer, en particulier ici à Vancouver. Certains de nos clients actuels et un certain nombre de nouveaux clients potentiels envisagent de passer de la construction d’unités en copropriété à la construction de logements locatifs sur mesure. Les facteurs fondamentaux à l’origine de ce changement, notamment le faible taux d’inoccupation des appartements, les politiques d’aménagement du territoire favorisant la location par rapport aux projets d’unités en copropriété afin de résoudre les problèmes d’accessibilité financière et l’attrait de la détention d’actifs immobiliers, ne devraient pas changer après la pandémie. Aussi, la prévente d’unités en copropriété dans cet environnement n’est pas une tâche enviable.

Encouragez-vous les clients à envisager d’investir dans le marché des appartements?

La valeur d’une stratégie d’achat et de possession pour les locations multifamiliales est étayée par des décennies de données en général, mais, comme toute autre chose, cette stratégie dépend de la propriété, du quartier et du prix payé. Comme nous sommes le chef de file des prêteurs dans le secteur de l’immobilier résidentiel, nous pouvons partager des données avec nos clients et ceux-ci se tournent vers nous pour comparer les conditions du marché et analyser les occasions à saisir.

Quel est le rendement actuel des logements locatifs?

En avril, les taux d’occupation étaient élevés et les propriétaires avec lesquels nous travaillons ont annoncé de bonnes nouvelles en matière de perception des loyers. Ceux qui sont en cours de location font également état d’excellents résultats. C’est une remarque générale concernant le marché de la Colombie-Britannique et nous devons encore voir comment se passera la perception des loyers du 1er mai, mais souvenez-vous que c’est comme une inondation qui ne se produit qu’une fois par siècle. Les immeubles d’appartements sont une réserve de valeur reconnue et fiable.

Qu’en est-il des conditions en Alberta?

La conjoncture du marché est très différente. Du point de vue de la location, la Colombie-Britannique et l’Alberta sont dans deux mondes différents. L’Alberta est actuellement confrontée à la pandémie avec la pression supplémentaire d’un effondrement des cours mondiaux du pétrole. La location prend donc plus de temps que la normale et plus longtemps qu’en Colombie-Britannique. Cela dit, je suis convaincu que les immeubles d’appartements dans des villes comme Calgary affichent et afficheront un rendement supérieur à celui d’autres types de propriétés commerciales.

Voyez-vous des signes de stabilisation en Colombie-Britannique? 

Je vais répondre à cette question par un exemple. Avant la pandémie, nous parlions avec un client qui envisageait d’acheter un terrain pour un projet de construction. Rendu en mars, il a décidé de ne pas aller de l’avant. Pas plus tard que la semaine dernière, il est revenu et a dit qu’il se sentait plus à l’aise face à la situation et qu’il voulait savoir si nous accepterions de financer son projet après tout. L’opinion d’un client ne marque pas une tendance, mais elle est certainement encourageante et le fait que le gouvernement de la Colombie-Britannique n’ait pas fermé le secteur de la construction joue également dans le calcul du client.

Octroyez-vous toujours des prêts à ce jour?

Oui, à la fois de nouveaux prêts et des renouvellements. L’achat du terrain dont je viens de parler serait financé par un prêt conventionnel. 

Avez-vous réalisé des gains dans cet environnement?

Absolument, nous avons enregistré de très beaux gains depuis le mois de mars. Pour n’en citer que quelques-uns, dès le début du confinement, nous nous sommes engagés à octroyer deux prêts à terme conventionnels et nous les avons financés en plein cœur de la pandémie. Nos clients ont été ravis d’obtenir ces financements et ils n’auraient pas pu procéder à un moment plus opportun compte tenu des problèmes de disponibilité dans le marché des prêts à terme conventionnels.

Qu’en est-il des prêts-relais conventionnels?

Nous en avons octroyé plusieurs à des clients à la recherche de liquidités ou voulant saisir des occasions d’achat. Il faut un certain esprit entrepreneurial pour rechercher des occasions dans un tel environnement, mais nous avons des clients très intelligents qui ont créé une valeur importante en adoptant un point de vue contraire.

First National continue d’avoir accès aux programmes de la SCHL. Demeurez-vous actifs dans ce créneau également?

Absolument. J’ai plusieurs clients qui envisagent de construire des logements locatifs abordables et ils nous ont demandé d’analyser les options en matière de financement. Nous avons une grande expertise des programmes de la SCHL, de la formulation de propositions à l’intention de la SCHL et de l’obtention d’approbations au plein montant demandé.   

Avez-vous été pris de court pendant la pandémie?

J’ai été surpris et impressionné par la rapidité avec laquelle nos clients ont reconnu les défis qu’ils allaient devoir relever et les occasions qui pourraient se présenter ainsi que par la rapidité avec laquelle First National a fait de même et a fait preuve de leadership dans le marché. Je travaille avec des clients futés et des collègues futés et cela fait toute la différence dans des moments comme celui-ci.

Autre chose à ajouter?

Nous sommes prêts à faire des affaires et prêts à servir.

Bien que Russ travaille de façon sûre, sécuritaire et productive de la maison, vous pouvez néanmoins le joindre à l’adresse russell.syme@firstnational.ca ou encore composer le 1 866 298-0929 pour parler à un membre de l’équipe des prêts commerciaux de First National.

Des mots remplis de sagesse : Russ Syme partage ses réflexions sur le travail en pleine pandémie

  • First National Financial LP

À la mi-mars, l’équipe des prêts commerciaux de First National est passée au travail à domicile d’un bout à l’autre du pays pour aider à freiner la propagation de la COVID-19. Aujourd’hui, plus d’un mois plus tard, nous prenons contact avec les membres de nos équipes de production pour voir comment ils composent avec la pandémie et quel type de travail ils effectuent pour les clients. Ces mots remplis de sagesse nous proviennent de Russ Syme, vice-présidente adjoint, Financement commercial pour First National à Vancouver. Russ s’est entretenu avec nous depuis son domicile le 23 avril 2020.

Comment vous en sortez-vous face au confinement?

J’ai beaucoup de chance que le travail à domicile soit facile. Ma femme et moi n’avons pas de distractions et pas d’enfants à charge. Je suis assez autonome avec un ordinateur portable et un téléphone portable. Je n’ai donc rien perdu en quelque sorte. Trois des cinq membres de notre équipe travaillent régulièrement à domicile pour servir nos clients. Pour eux, donc, pas grand-chose n’a changé. Cependant, deux de nos analystes ont des enfants à la maison, ce qui rend la tâche très difficile pour eux. Il est à leur honneur de s’être bien adaptés en assouplissant leur horaire de travail et leurs heures passées en famille chaque fois que cela s’avère judicieux. J’ai toujours trouvé que First National était prête à s’adapter à différents horaires et à différentes façons de travailler, ce qui est une des nombreuses caractéristiques du travail ici.

Sur quoi travaillez-vous? 

Nous avons eu un volume assez important d’interactions avec nos clients – autant des appels sortants que des appels entrants. Nous avons essayé d’être très proactifs dans nos communications, car il y avait beaucoup d’anxiété à dissiper. Nous fournissons des conseils sur les options et les produits que nous avons à notre disposition et faisons savoir aux clients que nous continuons d’octroyer des prêts. Les clients nous disent parfois qu’ils apprécient tout simplement le fait d’avoir quelqu’un à qui parler, quelqu’un qui connaît leur entreprise et leurs marchés et qui comprend les défis auxquels ils sont confrontés. Sur le plan des affaires, les volumes de renouvellements et d’octroi de nouveaux prêts au cours du dernier mois ont atteint des niveaux assez typiques.

Certains spéculent que la pandémie pourrait entraîner des changements sociétaux permanents. Voyez-vous des changements dans la façon dont vos clients envisagent l’avenir?

Il est trop tôt pour le dire, mais une tendance qui gagne du terrain depuis le début de la pandémie est un intérêt pour les appartements locatifs. Je pense que cela pourrait continuer et peut-être même s’accélérer, en particulier ici à Vancouver. Certains de nos clients actuels et un certain nombre de nouveaux clients potentiels envisagent de passer de la construction d’unités en copropriété à la construction de logements locatifs sur mesure. Les facteurs fondamentaux à l’origine de ce changement, notamment le faible taux d’inoccupation des appartements, les politiques d’aménagement du territoire favorisant la location par rapport aux projets d’unités en copropriété afin de résoudre les problèmes d’accessibilité financière et l’attrait de la détention d’actifs immobiliers, ne devraient pas changer après la pandémie. Aussi, la prévente d’unités en copropriété dans cet environnement n’est pas une tâche enviable.

Encouragez-vous les clients à envisager d’investir dans le marché des appartements?

La valeur d’une stratégie d’achat et de possession pour les locations multifamiliales est étayée par des décennies de données en général, mais, comme toute autre chose, cette stratégie dépend de la propriété, du quartier et du prix payé. Comme nous sommes le chef de file des prêteurs dans le secteur de l’immobilier résidentiel, nous pouvons partager des données avec nos clients et ceux-ci se tournent vers nous pour comparer les conditions du marché et analyser les occasions à saisir.

Quel est le rendement actuel des logements locatifs?

En avril, les taux d’occupation étaient élevés et les propriétaires avec lesquels nous travaillons ont annoncé de bonnes nouvelles en matière de perception des loyers. Ceux qui sont en cours de location font également état d’excellents résultats. C’est une remarque générale concernant le marché de la Colombie-Britannique et nous devons encore voir comment se passera la perception des loyers du 1er mai, mais souvenez-vous que c’est comme une inondation qui ne se produit qu’une fois par siècle. Les immeubles d’appartements sont une réserve de valeur reconnue et fiable.

Qu’en est-il des conditions en Alberta?

La conjoncture du marché est très différente. Du point de vue de la location, la Colombie-Britannique et l’Alberta sont dans deux mondes différents. L’Alberta est actuellement confrontée à la pandémie avec la pression supplémentaire d’un effondrement des cours mondiaux du pétrole. La location prend donc plus de temps que la normale et plus longtemps qu’en Colombie-Britannique. Cela dit, je suis convaincu que les immeubles d’appartements dans des villes comme Calgary affichent et afficheront un rendement supérieur à celui d’autres types de propriétés commerciales.

Voyez-vous des signes de stabilisation en Colombie-Britannique? 

Je vais répondre à cette question par un exemple. Avant la pandémie, nous parlions avec un client qui envisageait d’acheter un terrain pour un projet de construction. Rendu en mars, il a décidé de ne pas aller de l’avant. Pas plus tard que la semaine dernière, il est revenu et a dit qu’il se sentait plus à l’aise face à la situation et qu’il voulait savoir si nous accepterions de financer son projet après tout. L’opinion d’un client ne marque pas une tendance, mais elle est certainement encourageante et le fait que le gouvernement de la Colombie-Britannique n’ait pas fermé le secteur de la construction joue également dans le calcul du client.

Octroyez-vous toujours des prêts à ce jour?

Oui, à la fois de nouveaux prêts et des renouvellements. L’achat du terrain dont je viens de parler serait financé par un prêt conventionnel. 

Avez-vous réalisé des gains dans cet environnement?

Absolument, nous avons enregistré de très beaux gains depuis le mois de mars. Pour n’en citer que quelques-uns, dès le début du confinement, nous nous sommes engagés à octroyer deux prêts à terme conventionnels et nous les avons financés en plein cœur de la pandémie. Nos clients ont été ravis d’obtenir ces financements et ils n’auraient pas pu procéder à un moment plus opportun compte tenu des problèmes de disponibilité dans le marché des prêts à terme conventionnels.

Qu’en est-il des prêts-relais conventionnels?

Nous en avons octroyé plusieurs à des clients à la recherche de liquidités ou voulant saisir des occasions d’achat. Il faut un certain esprit entrepreneurial pour rechercher des occasions dans un tel environnement, mais nous avons des clients très intelligents qui ont créé une valeur importante en adoptant un point de vue contraire.

First National continue d’avoir accès aux programmes de la SCHL. Demeurez-vous actifs dans ce créneau également?

Absolument. J’ai plusieurs clients qui envisagent de construire des logements locatifs abordables et ils nous ont demandé d’analyser les options en matière de financement. Nous avons une grande expertise des programmes de la SCHL, de la formulation de propositions à l’intention de la SCHL et de l’obtention d’approbations au plein montant demandé.   

Avez-vous été pris de court pendant la pandémie?

J’ai été surpris et impressionné par la rapidité avec laquelle nos clients ont reconnu les défis qu’ils allaient devoir relever et les occasions qui pourraient se présenter ainsi que par la rapidité avec laquelle First National a fait de même et a fait preuve de leadership dans le marché. Je travaille avec des clients futés et des collègues futés et cela fait toute la différence dans des moments comme celui-ci.

Autre chose à ajouter?

Nous sommes prêts à faire des affaires et prêts à servir.

Bien que Russ travaille de façon sûre, sécuritaire et productive de la maison, vous pouvez néanmoins le joindre à l’adresse russell.syme@firstnational.ca ou encore composer le 1 866 298-0929 pour parler à un membre de l’équipe des prêts commerciaux de First National.

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