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La Banque du Canada maintient son taux à un jour inchangé lors de sa première rencontre de 2020

  • First National Financial LP

Ce matin, la Banque du Canada a fait ce que nombre d’économistes avaient prédit qu’elle ferait : rien. Par conséquent, le taux à un jour cible de la Banque restera à 1,75 %. Le taux de référence n’a pas changé depuis le 24 octobre 2018, et ce, même si la Réserve fédérale aux États-Unis a décrété trois baisses de taux en 2019.

En analysant les deux plus récentes déclarations de la Banque (celle aujourd’hui et celle du 4 décembre 2019), nous trouvons plusieurs commentaires supplémentaires notables cette fois-ci :

  • « L’économie canadienne a été résiliente, mais […] les données relatives au Canada indiquent que la croissance à court terme sera plus faible, et l’écart de production plus grand, que la Banque le projetait en octobre. »
  • « La Banque estime maintenant que la croissance était de 0,3 % au quatrième trimestre de 2019 et sera de 1,3 % au premier trimestre de 2020. »
  • « Les exportations ont diminué à la fin de 2019, et les investissements des entreprises semblent avoir faibli après un troisième trimestre vigoureux. »
  • « Le ralentissement de la croissance à la fin de 2019 était lié en partie à des facteurs particuliers, y compris les grèves, le mauvais temps et les ajustements des stocks. »
  • « Les données défavorables pourraient aussi être un signe que les conditions économiques mondiales affectent l’économie canadienne davantage qu’on le prévoyait. »
  • La création d’emplois, habituellement un signe positif pour l’économie canadienne « a ralenti et les indicateurs de la confiance et des dépenses des consommateurs ont affiché une faiblesse inattendue. »
  • « [A]u cours de la dernière année, les Canadiens ont épargné une plus grande part de leurs revenus, ce qui pourrait être révélateur d’une prudence accrue de la part des consommateurs. »
  • « La Banque prévoit aussi un redressement des dépenses des ménages, soutenu par la croissance de la population et du revenu, ainsi que par la récente réduction de l’impôt fédéral sur le revenu. »

Pour ce qui est du Canada, La Banque prévoit que le PIB réel progressera de 1,6 % en 2020 et de 2 % en 2021. Cependant, l’atteinte de cette cible dépendra de l’augmentation de la capacité des pipelines. Dans le même ordre d’idées, la Banque estime que l’élargissement de l’écart de production au cours des derniers mois fera que l’inflation se maintiendra autour de 2 %.

La prochaine déclaration politique de la BdC est prévue le 4 mars 2020 et, dans l’intérim, « le Conseil de direction surveillera de près la situation afin de voir si le récent ralentissement de la croissance est plus persistant que prévu. » Nous comptons aussi surveiller la situation de près.

Si vous avez des questions, n’hésitez pas à communiquer avec moi.

*L’information présentée dans ce survol est tirée du communiqué de presse de la BdC.

La Banque du Canada maintient son taux à un jour inchangé lors de sa première rencontre de 2020

  • First National Financial LP

Ce matin, la Banque du Canada a fait ce que nombre d’économistes avaient prédit qu’elle ferait : rien. Par conséquent, le taux à un jour cible de la Banque restera à 1,75 %. Le taux de référence n’a pas changé depuis le 24 octobre 2018, et ce, même si la Réserve fédérale aux États-Unis a décrété trois baisses de taux en 2019.

En analysant les deux plus récentes déclarations de la Banque (celle aujourd’hui et celle du 4 décembre 2019), nous trouvons plusieurs commentaires supplémentaires notables cette fois-ci :

  • « L’économie canadienne a été résiliente, mais […] les données relatives au Canada indiquent que la croissance à court terme sera plus faible, et l’écart de production plus grand, que la Banque le projetait en octobre. »
  • « La Banque estime maintenant que la croissance était de 0,3 % au quatrième trimestre de 2019 et sera de 1,3 % au premier trimestre de 2020. »
  • « Les exportations ont diminué à la fin de 2019, et les investissements des entreprises semblent avoir faibli après un troisième trimestre vigoureux. »
  • « Le ralentissement de la croissance à la fin de 2019 était lié en partie à des facteurs particuliers, y compris les grèves, le mauvais temps et les ajustements des stocks. »
  • « Les données défavorables pourraient aussi être un signe que les conditions économiques mondiales affectent l’économie canadienne davantage qu’on le prévoyait. »
  • La création d’emplois, habituellement un signe positif pour l’économie canadienne « a ralenti et les indicateurs de la confiance et des dépenses des consommateurs ont affiché une faiblesse inattendue. »
  • « [A]u cours de la dernière année, les Canadiens ont épargné une plus grande part de leurs revenus, ce qui pourrait être révélateur d’une prudence accrue de la part des consommateurs. »
  • « La Banque prévoit aussi un redressement des dépenses des ménages, soutenu par la croissance de la population et du revenu, ainsi que par la récente réduction de l’impôt fédéral sur le revenu. »

Pour ce qui est du Canada, La Banque prévoit que le PIB réel progressera de 1,6 % en 2020 et de 2 % en 2021. Cependant, l’atteinte de cette cible dépendra de l’augmentation de la capacité des pipelines. Dans le même ordre d’idées, la Banque estime que l’élargissement de l’écart de production au cours des derniers mois fera que l’inflation se maintiendra autour de 2 %.

La prochaine déclaration politique de la BdC est prévue le 4 mars 2020 et, dans l’intérim, « le Conseil de direction surveillera de près la situation afin de voir si le récent ralentissement de la croissance est plus persistant que prévu. » Nous comptons aussi surveiller la situation de près.

Si vous avez des questions, n’hésitez pas à communiquer avec moi.

*L’information présentée dans ce survol est tirée du communiqué de presse de la BdC.

La Banque du Canada maintient son taux à un jour inchangé lors de sa première rencontre de 2020

  • First National Financial LP

Ce matin, la Banque du Canada a fait ce que nombre d’économistes avaient prédit qu’elle ferait : rien. Par conséquent, le taux à un jour cible de la Banque restera à 1,75 %. Le taux de référence n’a pas changé depuis le 24 octobre 2018, et ce, même si la Réserve fédérale aux États-Unis a décrété trois baisses de taux en 2019.

En analysant les deux plus récentes déclarations de la Banque (celle aujourd’hui et celle du 4 décembre 2019), nous trouvons plusieurs commentaires supplémentaires notables cette fois-ci :

  • « L’économie canadienne a été résiliente, mais […] les données relatives au Canada indiquent que la croissance à court terme sera plus faible, et l’écart de production plus grand, que la Banque le projetait en octobre. »
  • « La Banque estime maintenant que la croissance était de 0,3 % au quatrième trimestre de 2019 et sera de 1,3 % au premier trimestre de 2020. »
  • « Les exportations ont diminué à la fin de 2019, et les investissements des entreprises semblent avoir faibli après un troisième trimestre vigoureux. »
  • « Le ralentissement de la croissance à la fin de 2019 était lié en partie à des facteurs particuliers, y compris les grèves, le mauvais temps et les ajustements des stocks. »
  • « Les données défavorables pourraient aussi être un signe que les conditions économiques mondiales affectent l’économie canadienne davantage qu’on le prévoyait. »
  • La création d’emplois, habituellement un signe positif pour l’économie canadienne « a ralenti et les indicateurs de la confiance et des dépenses des consommateurs ont affiché une faiblesse inattendue. »
  • « [A]u cours de la dernière année, les Canadiens ont épargné une plus grande part de leurs revenus, ce qui pourrait être révélateur d’une prudence accrue de la part des consommateurs. »
  • « La Banque prévoit aussi un redressement des dépenses des ménages, soutenu par la croissance de la population et du revenu, ainsi que par la récente réduction de l’impôt fédéral sur le revenu. »

Pour ce qui est du Canada, La Banque prévoit que le PIB réel progressera de 1,6 % en 2020 et de 2 % en 2021. Cependant, l’atteinte de cette cible dépendra de l’augmentation de la capacité des pipelines. Dans le même ordre d’idées, la Banque estime que l’élargissement de l’écart de production au cours des derniers mois fera que l’inflation se maintiendra autour de 2 %.

La prochaine déclaration politique de la BdC est prévue le 4 mars 2020 et, dans l’intérim, « le Conseil de direction surveillera de près la situation afin de voir si le récent ralentissement de la croissance est plus persistant que prévu. » Nous comptons aussi surveiller la situation de près.

Si vous avez des questions, n’hésitez pas à communiquer avec moi.

*L’information présentée dans ce survol est tirée du communiqué de presse de la BdC.

La Banque du Canada maintient son taux à un jour inchangé lors de sa première rencontre de 2020

  • First National Financial LP

Ce matin, la Banque du Canada a fait ce que nombre d’économistes avaient prédit qu’elle ferait : rien. Par conséquent, le taux à un jour cible de la Banque restera à 1,75 %. Le taux de référence n’a pas changé depuis le 24 octobre 2018, et ce, même si la Réserve fédérale aux États-Unis a décrété trois baisses de taux en 2019.

En analysant les deux plus récentes déclarations de la Banque (celle aujourd’hui et celle du 4 décembre 2019), nous trouvons plusieurs commentaires supplémentaires notables cette fois-ci :

  • « L’économie canadienne a été résiliente, mais […] les données relatives au Canada indiquent que la croissance à court terme sera plus faible, et l’écart de production plus grand, que la Banque le projetait en octobre. »
  • « La Banque estime maintenant que la croissance était de 0,3 % au quatrième trimestre de 2019 et sera de 1,3 % au premier trimestre de 2020. »
  • « Les exportations ont diminué à la fin de 2019, et les investissements des entreprises semblent avoir faibli après un troisième trimestre vigoureux. »
  • « Le ralentissement de la croissance à la fin de 2019 était lié en partie à des facteurs particuliers, y compris les grèves, le mauvais temps et les ajustements des stocks. »
  • « Les données défavorables pourraient aussi être un signe que les conditions économiques mondiales affectent l’économie canadienne davantage qu’on le prévoyait. »
  • La création d’emplois, habituellement un signe positif pour l’économie canadienne « a ralenti et les indicateurs de la confiance et des dépenses des consommateurs ont affiché une faiblesse inattendue. »
  • « [A]u cours de la dernière année, les Canadiens ont épargné une plus grande part de leurs revenus, ce qui pourrait être révélateur d’une prudence accrue de la part des consommateurs. »
  • « La Banque prévoit aussi un redressement des dépenses des ménages, soutenu par la croissance de la population et du revenu, ainsi que par la récente réduction de l’impôt fédéral sur le revenu. »

Pour ce qui est du Canada, La Banque prévoit que le PIB réel progressera de 1,6 % en 2020 et de 2 % en 2021. Cependant, l’atteinte de cette cible dépendra de l’augmentation de la capacité des pipelines. Dans le même ordre d’idées, la Banque estime que l’élargissement de l’écart de production au cours des derniers mois fera que l’inflation se maintiendra autour de 2 %.

La prochaine déclaration politique de la BdC est prévue le 4 mars 2020 et, dans l’intérim, « le Conseil de direction surveillera de près la situation afin de voir si le récent ralentissement de la croissance est plus persistant que prévu. » Nous comptons aussi surveiller la situation de près.

Si vous avez des questions, n’hésitez pas à communiquer avec moi.

*L’information présentée dans ce survol est tirée du communiqué de presse de la BdC.

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