1. La construction d’immeubles d’appartements s’inscrit dans un marché haussier.
La construction d’immeubles multi-résidentiels s’est engagée dans une phase de croissance soutenue il y a deux ans et la croissance s’est récemment accélérée, car de plus en plus de promoteurs redécouvrent les avantages d’être propriétaires d’immeubles locatifs neufs.
2. Les loyers que commandent les constructions neuves ont monté en flèche.
Les propriétaires futés, avec l’aide de leurs prêteurs et en recourant à des produits financiers innovateurs, prennent leur temps pour trouver les meilleurs locataires à qui louer leurs unités aux meilleurs taux de loyer possibles.
3. Des capitaux sont accessibles pour les bons constructeurs et les bons projets.
Obtenir les montants de prêt souhaités pour la construction de nouvelles unités de logement n’est pas un obstacle pour les constructeurs ayant de solides antécédents, à la condition de savoir où trouver le financement.
4. L’inflation des coûts de construction est au centre des préoccupations.
L’inflation des coûts de main-d’œuvre et de matériaux de construction et son incidence sur les marges bénéficiaires représentent aujourd’hui les principales préoccupations des emprunteurs qui font affaire avec First National. Ce ne sont plus les taux d’intérêt qui préoccupent le plus.
5. Des promoteurs tirent parti de la communauté de constructeurs-emprunteurs de First National.
First National sert de carrefour aux emprunteurs qui cherchent à conclure des partenariats avec des promoteurs et à réaliser ainsi des économies d’échelle pour lutter contre les hausses des coûts de construction.
6. Avoir une stratégie en matière de taux d’intérêt est essentiel dans le cas d’un projet de construction.
La perspective de taux d’intérêt plus élevés fait en sorte que les constructeurs doivent envisager des stratégies de couverture du risque de taux d’intérêt – incluant la fixation du taux d’intérêt à l’avance – afin de réaliser leurs objectifs en matière du rendement du capital investi au moment du retrait.
7. Les emprunteurs investissent des fonds à court terme dans de plus vieux parcs résidentiels locatifs.
En moyenne, nos emprunteurs investissent entre 5 000 $ et 50 000 $ par porte pour rénover de plus vieilles unités et ont recours à du financement à court terme – incluant pour des immobilisations – afin de réaliser des taux de location et de capitalisation plus élevés.
8. Financer la rénovation de logements locatifs est logique jusqu’à un certain point.
Les emprunteurs futés ne rénovent qu’une fois qu’ils ont l’assurance de pouvoir réaliser leurs objectifs en matière de taux de location et compléter la construction en temps opportun de sorte à éviter tout risque de taux d’intérêt indu.
La technologie débarque dans le marché de l’immobilier commercial.
La capacité de gérer des mégadonnées refaçonnera des aspects du marché commercial et pourrait faciliter la prise de décisions par prêteurs et emprunteurs tout en leur permettant de se conformer plus rapidement en matière de lutte contre le blanchiment d’argent.