« Félicitations! Nous reconnaissons que vous avez toujours été là pour nous. Allons célébrer! »
Gord McMehen a commencé sa carrière en droit, avec un fort penchant pour l’immobilier. À la fin des années 1990, il s’est joint à une grande chaîne de maisons de retraite comme chef de l’exploitation. Ses responsabilités étaient variées et incluaient le financement. Sa transition de carrière suivante a eu lieu en 2000-2001, période au cours de laquelle il a fondé Conundrum Capital Corporation avec deux associés. Conundrum est une société de gestion de fonds privés d’investissements immobiliers qui offre ses services à des régimes de retraite et des compagnies d’assurance cherchant à investir dans l’immobilier. La société gère actuellement quatre fonds d’investissements immobiliers dans le secteur des multifamiliales et procède actuellement au lancement d’un cinquième.
Gord partage ses points de vue sur l’évolution de l’industrie, pourquoi il a si confiance dans sa relation avec First National et ce qui a contribué à la longévité de First National depuis maintenant 30 ans.
Comment avez-vous vu l’industrie évoluer au cours des 30 dernières années?GM : L’industrie a complètement changé. Si je remonte à l’époque où je pratiquais le droit, l’industrie était dominée par de grandes sociétés privées ou quasi privées. Il y avait beaucoup d’entreprises familiales dirigées par des propriétaires et des promoteurs. La plupart des membres de cette génération ont depuis cédé leur place et leurs enfants ont une autre perspective sur les portefeuilles. Ces derniers se préoccupent davantage de distributions en espèces que d’investissements.
Aujourd'hui, ce sont les sociétés de placement immobilier qui dominent le secteur des habitations multifamiliales. Aujourd’hui, la plupart des propriétaires sont professionnels et institutionnels et le marché est très concentré. Nous observons le même genre de tendance se dessiner dans le secteur industriel, mais la concentration y est moindre.
Quand avez-vous commencé à travailler avec First National?
GM : Mes premières interactions avec First National remontent à l’époque où je pratiquais le droit. Je dirais donc que c’était autour de 1992-1993. J’avais à l’époque un client qui procédait à l’acquisition d’une grande chaîne de maisons de retraite. First National m’a aidé à organiser le financement d’un certain nombre de propriétés. À l’époque, Brian Kimmel travaillait pour la chaîne de maisons de retraite en question. Peu après la clôture de la transaction, il est passé à l’emploi de First National.
Pourquoi avez-vous initialement choisi First National et qu’est-ce qui fait en sorte que vous avez continué de choisir First National?
GM : Lorsque j’ai travaillé avec First National sur cette première transaction en 1993, j’ai été impressionné par la façon dont ses professionnels en financement ont géré la transaction. First National a vraiment joué un rôle actif et nous a aidés à mettre le financement hypothécaire en place.
Je me rappelle que le vendeur mettait en doute notre capacité de mener le dossier à terme. Mais nous l’avons mené à terme. First National a trouvé le financement dont mon client avait besoin. Nous avons rendu visite à divers intermédiaires et groupes de prêteurs avec Mike et Stephen. Je dois leur donner crédit pour leur ténacité. Ce fut une transaction de prêt complexe, mais First National n’a jamais semblé vouloir reculer devant la complexité.
Depuis ce temps-là, je suis fidèle à First National. J’ai eu recours aux services de First National à intervalles réguliers afin de financer un agressif programme d’acquisition de maisons de retraite. Lorsque j’ai quitté pour fonder Conundrum, mon entreprise avait encore des besoins de financement hypothécaire. J’ai continué de travailler avec Mike et Brian. J’appréciais la tarification concurrentielle et l’exécution rapide. Au cours des trois dernières décennies, j’ai toujours eu droit à ce niveau élevé de service de First National.
Comment, selon vous, First National a-t-elle démontré son engagement continu à l’égard des investisseurs immobiliers commerciaux?
GM : À mesure que le marché s’est développé, First National a toujours su maintenir son positionnement parmi les principaux prêteurs. La société a toujours su innover. Je suis pas mal certain que First National a été parmi les premiers prêteurs à proposer des blocs de créances hypothécaires assurées par la SCHL aux marchés boursiers.
Historiquement, nous n’avons pas transigé activement avec la SCHL, car nos financements n’étaient pas vraiment conventionnels. Cependant, nous avons tiré parti du bloc de créances hypothécaires pour financer notre fonds industriel. En fait, First National a financé l’ensemble du portefeuille – 3 millions de pieds carrés – au moyen de deux prêts importants.
Qu’est-ce que vous appréciez en ce qui concerne votre relation avec First National?
GM : Comme j’ai mentionné précédemment, First National a financé deux emprunts importants pour notre portefeuille industriel. Les prêts eux-mêmes avaient de quoi impressionner. Mais l’époque était encore plus impressionnante. Nous étions en 2006-2007 et nous savons tous ce qui s’est produit peu de temps après.
Dans les deux cas, il s’agissait d’ententes à long terme. First National nous a aidés à traverser la récession sans la moindre difficulté. Nous n’avons jamais eu de difficulté à rembourser la dette. Nous avons connu notre lot d’unités vacantes, mais First National a travaillé avec nous en tenant compte de cette réalité. Nous n’avons jamais eu à envisager de vendre des propriétés.
Plus récemment, c’est Moray qui est intervenu pour nous aider à clore une transaction. Pendant la transition d’un deuxième fonds à une société privée de placement immobilier, nous avions besoin d’argent pour rembourser les investisseurs qui refusaient la conversion. Il s’avère que nous avions besoin de fonds supplémentaires après qu’une personne nous a pris de court et a décidé de retirer ses billes. Moray nous a aidés à obtenir un financement supplémentaire sur six mois, et ce, en moins de 30 jours.
First National est toujours là pour nous, quand ça va bien comme quand ça va mal. Un tel soutien nous inspire confiance dans le cadre de notre stratégie commerciale. Nous avons confiance en First National. L’entreprise est depuis toujours un partenaire commercial qui est prêt à prendre des risques calculés pour nous, car les personnes avec qui nous y travaillons savent que nous livrerons la marchandise. Ces personnes savent que nous sommes des exploitants professionnels et chevronnés.
Trente ans marque une étape significative. Selon vous, qu’est-ce qui a contribué à la longévité de First National?
GM : First National réussit bien ce qu’elle fait. À mon avis, First National a toujours été un chef de file dans l’industrie et continuera de l’être, pourvu que la société maintienne ses normes d’excellence. Jusqu’à maintenant, First National a démontré qu’elle peut le faire et je n’ai aucun doute qu’elle continuera de le faire.