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Qu’arrive-t-il avec les rendements obligataires et les OHC? Découvrez la réponse ici.

  • First National Financial LP

Bonjour,

C’est vendredi! Je me fais dire que mon équipe favorite, celle du marketing, prendra des vacances prolongées bientôt. Par conséquent, si vous n’avez pas de nos nouvelles, ce n’est pas parce que nous vous avons oubliés. C’est tout simplement parce que personne autre que nous ne sait comment mettre notre site Web à jour.

Il s’est passé beaucoup de grandes choses au cours de la dernière semaine. Malheureusement, même si les journées s’allongent, j’ai de moins en moins de temps pour rédiger mes commentaires. Je veux dire, j’aimerais beaucoup pouvoir vous expliquer le contrat de Matthews de long en large d’une perspective fiscale ainsi que les répercussions possibles sur la croissance future de l’organisation des Maple Leafs, mais nous ne disposons tout simplement pas du temps nécessaire. Aujourd’hui, je dois plutôt me concentrer sur les marchés.

Retenez simplement ceci : notre bureau aura une vue magnifique sur les défilés des Raptors et des Leafs.

 « Jusqu’où peut-on descendre? » est la thématique depuis maintenant un certain temps lorsqu’il est question de rendements obligataires. Dans l’immédiat, si mon café matinal fait effet, je vois que les obligations de 5 ans du gouvernement du Canada affichent un rendement de 1,79 %. Ce rendement est en baisse (et les prix sont donc en hausse, ça va de soi) par rapport à il y a une semaine (1,86 %). Rappelons-nous que, il y a trois mois, le rendement des obligations de 5 ans était de 2,43 %. Le moment présent est donc plus propice que jamais pour utiliser des obligations de 5 ans à des fins d’emprunt. La tendance est similaire pour ce qui est de l’obligation de 10 ans du gouvernement du Canada. Les obligations de 10 ans affichent un rendement d’autour de 1,88 %, ce qui établit l’écart entre celles de 5 ans et celles de 10 ans à 9 points de base. Ce n’est pas beaucoup et c’est plus large que dans le passé, mais la nouvelle normale depuis maintenant un certain temps est une courbe de rendement plus plane sur 5 ou 10 ans. Il y a trois mois, les obligations de 10 ans du gouvernement du Canada se négociaient à 2,50 %.

La semaine prochaine sera une grande semaine pour les émetteurs d’obligations hypothécaires du Canada (dont votre humble serviteur). Ce qu’on me dit, c’est que la prochaine émission d’OHC fait l’objet d’une demande solide, car les écarts actuels relatifs aux OHC semblent plus favorables que ceux d’autres produits de crédit comme les écarts d’obligations provinciales. Actuellement, l’écart entre les OHC de 5 ans et les obligations de 5 ans du gouvernement du Canada s’affiche à +36 points de base. Sur 10 ans, l’écart s’établit à +50 points de base. Comme mon patron aime toujours dire, « les OHC sont garanties par la Reine elle-même ». Par conséquent, tout écart avec l’obligation du gouvernement du Canada est déconcertant, mais voilà où nous en sommes. Règle générale, les écarts d’obligations de sociétés sont de 2 à 4 points de base plus larges à un jour et au cours de la dernière semaine. N’oublions pas que les guerres commerciales et les tensions mondiales demeurent bien présentes dans l’esprit des gens.

Voici une information intéressante sur les firmes immobilières qui nous provient de nos amis de la TD. Des sociétés de placement immobilier délaissent de plus en plus les obligations pour financer des transactions immobilières. Hier, encore une fois, RioCan a annoncé une clôture ainsi que le prolongement d’une facilité de crédit non garantie et non renouvelable. Autre détail intéressant, au cours des derniers mois, il y a eu pour environ 1,7 milliard de dollars en financement par prêts à terme du côté de sociétés immobilières. Par conséquent, une valeur de 1,7 milliard de dollars en obligations ne seras pas échangée dans le marché secondaire. Par conséquent, vous ne trouverez pas ces autres écarts obligataires des sociétés de placement immobilier pour les types commerciaux lorsqu’ils auront besoin de tableaux élaborés. Ça ne me dérange pas, mais c’est un changement de préférence du marché qui est digne de mention.

Nous avons eu droit aux chiffres sur le PIB pour novembre la semaine dernière. Exactement comme prévu, nous en sommes à -0,1 % sur un mois. Par conséquent, le chiffre annuel s’établit à 1,7 %. Il y a eu peu de surprises, vu que certains économistes avaient prédit une décroissance du côté des activités de fabrication, de la vente en gros et de la vente au détail. Donc, on ne peut pas dire que ce fut la frénésie en novembre au Canada pour le Vendredi noir et l’achat hâtif de cadeaux de Noël. Une des principales causes de la baisse du PIB a été la grève à Postes Canada. À elle seule, cette grève s’est soldée par une baisse de -0,5 % des activités de transport et d’entreposage.

Aussi, Carolyn Wilkins de la Banque du Canada a pris la parole la semaine dernière. En gros, Mme Wilkins a fait savoir que la croissance des salaires a été plus faible qu’attendu, et ce, malgré les actuelles tensions dans le marché de l’emploi. Elle a également réitéré les quelques éléments que surveille la Banque du Canada : salaires, prix du pétrole, logement et commerce mondial. Si vous vous demandez ce qui arrivera des taux d’intérêt allant de l’avant, vous aurez probablement intérêt à garder ces éléments en tête à l’avenir. Mme Wilkins a aussi laissé savoir que le taux de chômage naturel se situe entre 5,5 % et 6,5 %.

Cela me permet d’enchaîner tout naturellement sur la nouvelle économique du jour. Aujourd’hui, nous avons eu droit aux chiffres sur le chômage, les emplois et les salaires. Au chapitre des emplois, les données sont solides : il s’est créé 66 900 emplois, principalement dans le secteur des services. Aussi, ce chiffre est divisé à peu de choses près également entre des emplois à temps plein et des emplois à temps partiel, ce qui est en soi une assez bonne nouvelle. Cependant, sur le plan des salaires, une donnée préférée de la BdC, la croissance a été minime. Les gains horaires moyens des travailleurs n’ont crû que de 1,8 % par rapport à 1,5 % en décembre. Le taux de chômage se situe à l’intérieur de la « plage naturelle » de la BdC, à 5,8 %, soit +0,1 % de plus qu’attendu. En tout et partout, le communiqué sur le marché de l’emploi a été positif, mais il n’a pas suscité un grand intérêt dans le marché pour autant. La probabilité d’une hausse de taux d’ici décembre 2019 n’est que de 33 % à l’heure actuelle.

Aujourd’hui marque une importante échéance. Les États-Unis et la Chine ne s’entendront pas sur la question du commerce et des tarifs. C’est une grande préoccupation dans le marché, mais vous serez probablement informés de l’issue en même temps que moi. À mon avis, en amour comme à la guerre, tous les coups sont permis, mais je ne sais toujours pas si Xi Jinping prône l’amour ou la guerre. Merci de me laisser savoir si vous en savez plus que moi à ce sujet.

Enfin, il est rare que je formule des prédictions, car je n’aime pas du tout qu’on puisse prouver que j’ai tort, mais je vais faire une prédiction risquée et affirmer qu’il est impossible que This Is America ne remporte pas le prix Grammy de l’album de l’année en fin de semaine. It’s sung by Lando Calrissian after all.

Bon voyage!

Andrew

 

 

Qu’arrive-t-il avec les rendements obligataires et les OHC? Découvrez la réponse ici.

  • First National Financial LP

Bonjour,

C’est vendredi! Je me fais dire que mon équipe favorite, celle du marketing, prendra des vacances prolongées bientôt. Par conséquent, si vous n’avez pas de nos nouvelles, ce n’est pas parce que nous vous avons oubliés. C’est tout simplement parce que personne autre que nous ne sait comment mettre notre site Web à jour.

Il s’est passé beaucoup de grandes choses au cours de la dernière semaine. Malheureusement, même si les journées s’allongent, j’ai de moins en moins de temps pour rédiger mes commentaires. Je veux dire, j’aimerais beaucoup pouvoir vous expliquer le contrat de Matthews de long en large d’une perspective fiscale ainsi que les répercussions possibles sur la croissance future de l’organisation des Maple Leafs, mais nous ne disposons tout simplement pas du temps nécessaire. Aujourd’hui, je dois plutôt me concentrer sur les marchés.

Retenez simplement ceci : notre bureau aura une vue magnifique sur les défilés des Raptors et des Leafs.

 « Jusqu’où peut-on descendre? » est la thématique depuis maintenant un certain temps lorsqu’il est question de rendements obligataires. Dans l’immédiat, si mon café matinal fait effet, je vois que les obligations de 5 ans du gouvernement du Canada affichent un rendement de 1,79 %. Ce rendement est en baisse (et les prix sont donc en hausse, ça va de soi) par rapport à il y a une semaine (1,86 %). Rappelons-nous que, il y a trois mois, le rendement des obligations de 5 ans était de 2,43 %. Le moment présent est donc plus propice que jamais pour utiliser des obligations de 5 ans à des fins d’emprunt. La tendance est similaire pour ce qui est de l’obligation de 10 ans du gouvernement du Canada. Les obligations de 10 ans affichent un rendement d’autour de 1,88 %, ce qui établit l’écart entre celles de 5 ans et celles de 10 ans à 9 points de base. Ce n’est pas beaucoup et c’est plus large que dans le passé, mais la nouvelle normale depuis maintenant un certain temps est une courbe de rendement plus plane sur 5 ou 10 ans. Il y a trois mois, les obligations de 10 ans du gouvernement du Canada se négociaient à 2,50 %.

La semaine prochaine sera une grande semaine pour les émetteurs d’obligations hypothécaires du Canada (dont votre humble serviteur). Ce qu’on me dit, c’est que la prochaine émission d’OHC fait l’objet d’une demande solide, car les écarts actuels relatifs aux OHC semblent plus favorables que ceux d’autres produits de crédit comme les écarts d’obligations provinciales. Actuellement, l’écart entre les OHC de 5 ans et les obligations de 5 ans du gouvernement du Canada s’affiche à +36 points de base. Sur 10 ans, l’écart s’établit à +50 points de base. Comme mon patron aime toujours dire, « les OHC sont garanties par la Reine elle-même ». Par conséquent, tout écart avec l’obligation du gouvernement du Canada est déconcertant, mais voilà où nous en sommes. Règle générale, les écarts d’obligations de sociétés sont de 2 à 4 points de base plus larges à un jour et au cours de la dernière semaine. N’oublions pas que les guerres commerciales et les tensions mondiales demeurent bien présentes dans l’esprit des gens.

Voici une information intéressante sur les firmes immobilières qui nous provient de nos amis de la TD. Des sociétés de placement immobilier délaissent de plus en plus les obligations pour financer des transactions immobilières. Hier, encore une fois, RioCan a annoncé une clôture ainsi que le prolongement d’une facilité de crédit non garantie et non renouvelable. Autre détail intéressant, au cours des derniers mois, il y a eu pour environ 1,7 milliard de dollars en financement par prêts à terme du côté de sociétés immobilières. Par conséquent, une valeur de 1,7 milliard de dollars en obligations ne seras pas échangée dans le marché secondaire. Par conséquent, vous ne trouverez pas ces autres écarts obligataires des sociétés de placement immobilier pour les types commerciaux lorsqu’ils auront besoin de tableaux élaborés. Ça ne me dérange pas, mais c’est un changement de préférence du marché qui est digne de mention.

Nous avons eu droit aux chiffres sur le PIB pour novembre la semaine dernière. Exactement comme prévu, nous en sommes à -0,1 % sur un mois. Par conséquent, le chiffre annuel s’établit à 1,7 %. Il y a eu peu de surprises, vu que certains économistes avaient prédit une décroissance du côté des activités de fabrication, de la vente en gros et de la vente au détail. Donc, on ne peut pas dire que ce fut la frénésie en novembre au Canada pour le Vendredi noir et l’achat hâtif de cadeaux de Noël. Une des principales causes de la baisse du PIB a été la grève à Postes Canada. À elle seule, cette grève s’est soldée par une baisse de -0,5 % des activités de transport et d’entreposage.

Aussi, Carolyn Wilkins de la Banque du Canada a pris la parole la semaine dernière. En gros, Mme Wilkins a fait savoir que la croissance des salaires a été plus faible qu’attendu, et ce, malgré les actuelles tensions dans le marché de l’emploi. Elle a également réitéré les quelques éléments que surveille la Banque du Canada : salaires, prix du pétrole, logement et commerce mondial. Si vous vous demandez ce qui arrivera des taux d’intérêt allant de l’avant, vous aurez probablement intérêt à garder ces éléments en tête à l’avenir. Mme Wilkins a aussi laissé savoir que le taux de chômage naturel se situe entre 5,5 % et 6,5 %.

Cela me permet d’enchaîner tout naturellement sur la nouvelle économique du jour. Aujourd’hui, nous avons eu droit aux chiffres sur le chômage, les emplois et les salaires. Au chapitre des emplois, les données sont solides : il s’est créé 66 900 emplois, principalement dans le secteur des services. Aussi, ce chiffre est divisé à peu de choses près également entre des emplois à temps plein et des emplois à temps partiel, ce qui est en soi une assez bonne nouvelle. Cependant, sur le plan des salaires, une donnée préférée de la BdC, la croissance a été minime. Les gains horaires moyens des travailleurs n’ont crû que de 1,8 % par rapport à 1,5 % en décembre. Le taux de chômage se situe à l’intérieur de la « plage naturelle » de la BdC, à 5,8 %, soit +0,1 % de plus qu’attendu. En tout et partout, le communiqué sur le marché de l’emploi a été positif, mais il n’a pas suscité un grand intérêt dans le marché pour autant. La probabilité d’une hausse de taux d’ici décembre 2019 n’est que de 33 % à l’heure actuelle.

Aujourd’hui marque une importante échéance. Les États-Unis et la Chine ne s’entendront pas sur la question du commerce et des tarifs. C’est une grande préoccupation dans le marché, mais vous serez probablement informés de l’issue en même temps que moi. À mon avis, en amour comme à la guerre, tous les coups sont permis, mais je ne sais toujours pas si Xi Jinping prône l’amour ou la guerre. Merci de me laisser savoir si vous en savez plus que moi à ce sujet.

Enfin, il est rare que je formule des prédictions, car je n’aime pas du tout qu’on puisse prouver que j’ai tort, mais je vais faire une prédiction risquée et affirmer qu’il est impossible que This Is America ne remporte pas le prix Grammy de l’album de l’année en fin de semaine. It’s sung by Lando Calrissian after all.

Bon voyage!

Andrew

 

 

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Il s’est passé beaucoup de grandes choses au cours de la dernière semaine. Malheureusement, même si les journées s’allongent, j’ai de moins en moins de temps pour rédiger mes commentaires. Je veux dire, j’aimerais beaucoup pouvoir vous expliquer le contrat de Matthews de long en large d’une perspective fiscale ainsi que les répercussions possibles sur la croissance future de l’organisation des Maple Leafs, mais nous ne disposons tout simplement pas du temps nécessaire. Aujourd’hui, je dois plutôt me concentrer sur les marchés.

Retenez simplement ceci : notre bureau aura une vue magnifique sur les défilés des Raptors et des Leafs.

 « Jusqu’où peut-on descendre? » est la thématique depuis maintenant un certain temps lorsqu’il est question de rendements obligataires. Dans l’immédiat, si mon café matinal fait effet, je vois que les obligations de 5 ans du gouvernement du Canada affichent un rendement de 1,79 %. Ce rendement est en baisse (et les prix sont donc en hausse, ça va de soi) par rapport à il y a une semaine (1,86 %). Rappelons-nous que, il y a trois mois, le rendement des obligations de 5 ans était de 2,43 %. Le moment présent est donc plus propice que jamais pour utiliser des obligations de 5 ans à des fins d’emprunt. La tendance est similaire pour ce qui est de l’obligation de 10 ans du gouvernement du Canada. Les obligations de 10 ans affichent un rendement d’autour de 1,88 %, ce qui établit l’écart entre celles de 5 ans et celles de 10 ans à 9 points de base. Ce n’est pas beaucoup et c’est plus large que dans le passé, mais la nouvelle normale depuis maintenant un certain temps est une courbe de rendement plus plane sur 5 ou 10 ans. Il y a trois mois, les obligations de 10 ans du gouvernement du Canada se négociaient à 2,50 %.

La semaine prochaine sera une grande semaine pour les émetteurs d’obligations hypothécaires du Canada (dont votre humble serviteur). Ce qu’on me dit, c’est que la prochaine émission d’OHC fait l’objet d’une demande solide, car les écarts actuels relatifs aux OHC semblent plus favorables que ceux d’autres produits de crédit comme les écarts d’obligations provinciales. Actuellement, l’écart entre les OHC de 5 ans et les obligations de 5 ans du gouvernement du Canada s’affiche à +36 points de base. Sur 10 ans, l’écart s’établit à +50 points de base. Comme mon patron aime toujours dire, « les OHC sont garanties par la Reine elle-même ». Par conséquent, tout écart avec l’obligation du gouvernement du Canada est déconcertant, mais voilà où nous en sommes. Règle générale, les écarts d’obligations de sociétés sont de 2 à 4 points de base plus larges à un jour et au cours de la dernière semaine. N’oublions pas que les guerres commerciales et les tensions mondiales demeurent bien présentes dans l’esprit des gens.

Voici une information intéressante sur les firmes immobilières qui nous provient de nos amis de la TD. Des sociétés de placement immobilier délaissent de plus en plus les obligations pour financer des transactions immobilières. Hier, encore une fois, RioCan a annoncé une clôture ainsi que le prolongement d’une facilité de crédit non garantie et non renouvelable. Autre détail intéressant, au cours des derniers mois, il y a eu pour environ 1,7 milliard de dollars en financement par prêts à terme du côté de sociétés immobilières. Par conséquent, une valeur de 1,7 milliard de dollars en obligations ne seras pas échangée dans le marché secondaire. Par conséquent, vous ne trouverez pas ces autres écarts obligataires des sociétés de placement immobilier pour les types commerciaux lorsqu’ils auront besoin de tableaux élaborés. Ça ne me dérange pas, mais c’est un changement de préférence du marché qui est digne de mention.

Nous avons eu droit aux chiffres sur le PIB pour novembre la semaine dernière. Exactement comme prévu, nous en sommes à -0,1 % sur un mois. Par conséquent, le chiffre annuel s’établit à 1,7 %. Il y a eu peu de surprises, vu que certains économistes avaient prédit une décroissance du côté des activités de fabrication, de la vente en gros et de la vente au détail. Donc, on ne peut pas dire que ce fut la frénésie en novembre au Canada pour le Vendredi noir et l’achat hâtif de cadeaux de Noël. Une des principales causes de la baisse du PIB a été la grève à Postes Canada. À elle seule, cette grève s’est soldée par une baisse de -0,5 % des activités de transport et d’entreposage.

Aussi, Carolyn Wilkins de la Banque du Canada a pris la parole la semaine dernière. En gros, Mme Wilkins a fait savoir que la croissance des salaires a été plus faible qu’attendu, et ce, malgré les actuelles tensions dans le marché de l’emploi. Elle a également réitéré les quelques éléments que surveille la Banque du Canada : salaires, prix du pétrole, logement et commerce mondial. Si vous vous demandez ce qui arrivera des taux d’intérêt allant de l’avant, vous aurez probablement intérêt à garder ces éléments en tête à l’avenir. Mme Wilkins a aussi laissé savoir que le taux de chômage naturel se situe entre 5,5 % et 6,5 %.

Cela me permet d’enchaîner tout naturellement sur la nouvelle économique du jour. Aujourd’hui, nous avons eu droit aux chiffres sur le chômage, les emplois et les salaires. Au chapitre des emplois, les données sont solides : il s’est créé 66 900 emplois, principalement dans le secteur des services. Aussi, ce chiffre est divisé à peu de choses près également entre des emplois à temps plein et des emplois à temps partiel, ce qui est en soi une assez bonne nouvelle. Cependant, sur le plan des salaires, une donnée préférée de la BdC, la croissance a été minime. Les gains horaires moyens des travailleurs n’ont crû que de 1,8 % par rapport à 1,5 % en décembre. Le taux de chômage se situe à l’intérieur de la « plage naturelle » de la BdC, à 5,8 %, soit +0,1 % de plus qu’attendu. En tout et partout, le communiqué sur le marché de l’emploi a été positif, mais il n’a pas suscité un grand intérêt dans le marché pour autant. La probabilité d’une hausse de taux d’ici décembre 2019 n’est que de 33 % à l’heure actuelle.

Aujourd’hui marque une importante échéance. Les États-Unis et la Chine ne s’entendront pas sur la question du commerce et des tarifs. C’est une grande préoccupation dans le marché, mais vous serez probablement informés de l’issue en même temps que moi. À mon avis, en amour comme à la guerre, tous les coups sont permis, mais je ne sais toujours pas si Xi Jinping prône l’amour ou la guerre. Merci de me laisser savoir si vous en savez plus que moi à ce sujet.

Enfin, il est rare que je formule des prédictions, car je n’aime pas du tout qu’on puisse prouver que j’ai tort, mais je vais faire une prédiction risquée et affirmer qu’il est impossible que This Is America ne remporte pas le prix Grammy de l’album de l’année en fin de semaine. It’s sung by Lando Calrissian after all.

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 « Jusqu’où peut-on descendre? » est la thématique depuis maintenant un certain temps lorsqu’il est question de rendements obligataires. Dans l’immédiat, si mon café matinal fait effet, je vois que les obligations de 5 ans du gouvernement du Canada affichent un rendement de 1,79 %. Ce rendement est en baisse (et les prix sont donc en hausse, ça va de soi) par rapport à il y a une semaine (1,86 %). Rappelons-nous que, il y a trois mois, le rendement des obligations de 5 ans était de 2,43 %. Le moment présent est donc plus propice que jamais pour utiliser des obligations de 5 ans à des fins d’emprunt. La tendance est similaire pour ce qui est de l’obligation de 10 ans du gouvernement du Canada. Les obligations de 10 ans affichent un rendement d’autour de 1,88 %, ce qui établit l’écart entre celles de 5 ans et celles de 10 ans à 9 points de base. Ce n’est pas beaucoup et c’est plus large que dans le passé, mais la nouvelle normale depuis maintenant un certain temps est une courbe de rendement plus plane sur 5 ou 10 ans. Il y a trois mois, les obligations de 10 ans du gouvernement du Canada se négociaient à 2,50 %.

La semaine prochaine sera une grande semaine pour les émetteurs d’obligations hypothécaires du Canada (dont votre humble serviteur). Ce qu’on me dit, c’est que la prochaine émission d’OHC fait l’objet d’une demande solide, car les écarts actuels relatifs aux OHC semblent plus favorables que ceux d’autres produits de crédit comme les écarts d’obligations provinciales. Actuellement, l’écart entre les OHC de 5 ans et les obligations de 5 ans du gouvernement du Canada s’affiche à +36 points de base. Sur 10 ans, l’écart s’établit à +50 points de base. Comme mon patron aime toujours dire, « les OHC sont garanties par la Reine elle-même ». Par conséquent, tout écart avec l’obligation du gouvernement du Canada est déconcertant, mais voilà où nous en sommes. Règle générale, les écarts d’obligations de sociétés sont de 2 à 4 points de base plus larges à un jour et au cours de la dernière semaine. N’oublions pas que les guerres commerciales et les tensions mondiales demeurent bien présentes dans l’esprit des gens.

Voici une information intéressante sur les firmes immobilières qui nous provient de nos amis de la TD. Des sociétés de placement immobilier délaissent de plus en plus les obligations pour financer des transactions immobilières. Hier, encore une fois, RioCan a annoncé une clôture ainsi que le prolongement d’une facilité de crédit non garantie et non renouvelable. Autre détail intéressant, au cours des derniers mois, il y a eu pour environ 1,7 milliard de dollars en financement par prêts à terme du côté de sociétés immobilières. Par conséquent, une valeur de 1,7 milliard de dollars en obligations ne seras pas échangée dans le marché secondaire. Par conséquent, vous ne trouverez pas ces autres écarts obligataires des sociétés de placement immobilier pour les types commerciaux lorsqu’ils auront besoin de tableaux élaborés. Ça ne me dérange pas, mais c’est un changement de préférence du marché qui est digne de mention.

Nous avons eu droit aux chiffres sur le PIB pour novembre la semaine dernière. Exactement comme prévu, nous en sommes à -0,1 % sur un mois. Par conséquent, le chiffre annuel s’établit à 1,7 %. Il y a eu peu de surprises, vu que certains économistes avaient prédit une décroissance du côté des activités de fabrication, de la vente en gros et de la vente au détail. Donc, on ne peut pas dire que ce fut la frénésie en novembre au Canada pour le Vendredi noir et l’achat hâtif de cadeaux de Noël. Une des principales causes de la baisse du PIB a été la grève à Postes Canada. À elle seule, cette grève s’est soldée par une baisse de -0,5 % des activités de transport et d’entreposage.

Aussi, Carolyn Wilkins de la Banque du Canada a pris la parole la semaine dernière. En gros, Mme Wilkins a fait savoir que la croissance des salaires a été plus faible qu’attendu, et ce, malgré les actuelles tensions dans le marché de l’emploi. Elle a également réitéré les quelques éléments que surveille la Banque du Canada : salaires, prix du pétrole, logement et commerce mondial. Si vous vous demandez ce qui arrivera des taux d’intérêt allant de l’avant, vous aurez probablement intérêt à garder ces éléments en tête à l’avenir. Mme Wilkins a aussi laissé savoir que le taux de chômage naturel se situe entre 5,5 % et 6,5 %.

Cela me permet d’enchaîner tout naturellement sur la nouvelle économique du jour. Aujourd’hui, nous avons eu droit aux chiffres sur le chômage, les emplois et les salaires. Au chapitre des emplois, les données sont solides : il s’est créé 66 900 emplois, principalement dans le secteur des services. Aussi, ce chiffre est divisé à peu de choses près également entre des emplois à temps plein et des emplois à temps partiel, ce qui est en soi une assez bonne nouvelle. Cependant, sur le plan des salaires, une donnée préférée de la BdC, la croissance a été minime. Les gains horaires moyens des travailleurs n’ont crû que de 1,8 % par rapport à 1,5 % en décembre. Le taux de chômage se situe à l’intérieur de la « plage naturelle » de la BdC, à 5,8 %, soit +0,1 % de plus qu’attendu. En tout et partout, le communiqué sur le marché de l’emploi a été positif, mais il n’a pas suscité un grand intérêt dans le marché pour autant. La probabilité d’une hausse de taux d’ici décembre 2019 n’est que de 33 % à l’heure actuelle.

Aujourd’hui marque une importante échéance. Les États-Unis et la Chine ne s’entendront pas sur la question du commerce et des tarifs. C’est une grande préoccupation dans le marché, mais vous serez probablement informés de l’issue en même temps que moi. À mon avis, en amour comme à la guerre, tous les coups sont permis, mais je ne sais toujours pas si Xi Jinping prône l’amour ou la guerre. Merci de me laisser savoir si vous en savez plus que moi à ce sujet.

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