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Une mise à jour sur les rendements obligataires, les données du PIB et l’annonce de la BdC de cette semaine

  • First National Financial LP

Bonjour,

Vous vous demandez peut-être pourquoi il n’y a pas eu de commentaires depuis quelques semaines. Bien, ici à FN, nous ne sommes pas superstitieux, mais ma diseuse de bonne aventure me dit que c’est de la mauvaise sorcellerie de continuer d’écrire à propos des équipes sportives de Toronto. Hé bien! Cette diseuse sait de quoi qu’elle parle. Les Raptors sont bien en voie de réaliser ce que Vancouver et Montréal n’ont jamais réussi : remporter un championnat de la NBA.

Malheureusement, le service du marketing a insisté pour que je reprenne aujourd’hui mon habitude de commenter l’actualité. Ça a rapport aux statistiques qu’il tient sur le site Web. Alors, si les choses se mettent à mal aller pour les Raptors, vous saurez qui blâmer.

Taux

C’est toujours de bonne augure de se rafraîchir les tendances récentes en matière de rendements obligataires. Voici un indice : les taux sont en baisse. Vraiment en baisse par rapport à il y a un an. À l’heure actuelle, l’obligation du GDC de 5 ans, utilisée comme indicateur pour les taux hypothécaires, produit un rendement de 1,40 %. C’est 10 points de base de moins que vendredi dernier et un resserrement d’environ 72 points de base par rapport il y a exactement un an. L’obligation du GdC de 10 ans affiche un rendement de 1,50 %, près de 75 points de base de moins qu’il y a un an.

Les obligations hypothécaires du Canada (OHC) ont connu un sort semblable. Les OHC de 5 ans et de 10 ans affichent des rendements respectifs de 1,75 % et de 1,94 %. L’obligation de 5 ans s’est resserrée de 8 points de base depuis une semaine et celle de 10 ans, de 10 points de base. Étrangement, du moins peut-être juste pour moi, mais au moment de rédiger ces lignes, les deux affichent des rendements resserrés de 69,7 points de base par rapport au même jour en 2018.

Si vous avez porté attention aux commentaires passés, vous vous rendez compte que les rendements obligataires ont pratiquement abandonné toutes les hausses de taux de 2018 (soit 3 fois 25 points de base). Ça vaut la peine de le souligner, car ça démontre comment la Banque du Canada tente d’influencer les taux d’emprunt. Toutefois, ce sont ultimement les perspectives et les observateurs du marché qui déterminent la partie la plus longue de la courbe des taux d’intérêt. De toute évidence, le marché ne se préoccupe pas trop d’inflation ou d’une croissance galopante.

Banque du Canada et PIB

Donc, qu’est-ce que la BdC pense de ses interventions en 2018 et du cours actuel des événements? Bien, les gouverneurs de la Banque du Canada se sont réunis mercredi de cette semaine et ils ont décidé de maintenir le taux à un jour à 1,75 %. Aucune surprise là, car tout le monde s’attendait au maintien du statu quo. La BdC continue de réitérer la nécessité de dépendre de données et maintient dans sa mire le commerce entre le Canada et les États-Unis, les tensions entre la Canada et la Chine et, de façon générale, l’ensemble des tensions commerciales sur la planète. La BdC perçoit l’économie en bonne partie comme elle s’y attendait. Par conséquent, la probabilité de nouvelles hausses en 2019 demeure au beau fixe et les rendements obligataires ont baissé.

Les données du PIB pour mars ont été rendues publiques vendredi matin. Pratiquement tous les économistes se sont trompés dans leurs prédictions. Les économistes s’attendaient à une croissance de +0,7 % pour mars; les chiffres réels indiquent plutôt une croissance mensuelle du PIB de l’ordre de +0,4 %. Le portrait n’est pas tout sombre, car c’est plus en ligne avec l’ensemble des prévisions et des modèles de la Banque du Canada. Peut-être bien que les gouverneurs savent ce qu’ils font après tout... Si on creuse les résultats un peu plus, comme il était attendu, les exportations nettes (-3,9 %) ont beaucoup contribué à la faible croissance; cependant, la consommation et les investissements commerciaux se sont portés beaucoup mieux que prévu et ont contribué à redorer le portrait global. Globalement, la croissance du PIB au deuxième trimestre demeure à +2,2 %, et c’est pas mal ce qui était prévu.

D’autres nouvelles que vous avez peut-être manqué

Bien, le marché est continuellement déstabilisé par des barrières tarifaires. Les États-Unis ont annoncé leur intention de hausser les tarifs contre le Mexique de 25 % (dans le pire des cas) si l’immigration illégale au pays n’est pas freinée. Cela pourrait être lourd de conséquences pour AEUMC, qui n’a toujours pas été ratifié par le Canada. Nous pourrions nous retrouver avec une entente bilatérale avec nos voisins du sud ou encore l’ALENA, l’AEUMC pourrait carrément être mis en péril. Seul le temps le dira. Dans d’autres nouvelles :

  • En Allemagne, les rendements des obligations de 10 ans atteignent un creux historique de -0,206 % (oh la la!)
  • L’indice VIX (volatilité) est en hausse
  • Le peso mexicain a perdu plus de 3 % de sa valeur

Pour terminer, parlant de ratification, la Ville de New York est à son tour en pleine « ratification ». Selon la ligne 311 de la ville, les observations de rats ont augmenté de 38 % pour atteindre 17 535 l’an dernier, par rapport à 12 617 en 2017. Les inspecteurs sanitaires de la ville ont aussi observé l’afflux de rats, le nombre d’observations actives ayant presque doublé au cours des cinq dernières années.

Donc, qui blâmer pour tous ces rats? Les milléniaux,

voyons…

Des scientifiques et des experts de la lutte antiparasitaire affirment que l’embourgeoisement sw plusieurs quartiers de la ville mène à un boom de la construction qui détruit des terriers de rats. Par conséquent, les rats n’ont plus d’endroit où se terrer. Donc, le nombre de rats n’a pas nécessairement augmenté, mais les rats n’ont plus d’endroit où se cacher.

 Mais bon… Ce n’est pas de ma faute si les rats apprécient les avocats pourris, le fromage sans gluten et les kombuchas hors de prix.

Les Raptors en six…

Andrew

 

Une mise à jour sur les rendements obligataires, les données du PIB et l’annonce de la BdC de cette semaine

  • First National Financial LP

Bonjour,

Vous vous demandez peut-être pourquoi il n’y a pas eu de commentaires depuis quelques semaines. Bien, ici à FN, nous ne sommes pas superstitieux, mais ma diseuse de bonne aventure me dit que c’est de la mauvaise sorcellerie de continuer d’écrire à propos des équipes sportives de Toronto. Hé bien! Cette diseuse sait de quoi qu’elle parle. Les Raptors sont bien en voie de réaliser ce que Vancouver et Montréal n’ont jamais réussi : remporter un championnat de la NBA.

Malheureusement, le service du marketing a insisté pour que je reprenne aujourd’hui mon habitude de commenter l’actualité. Ça a rapport aux statistiques qu’il tient sur le site Web. Alors, si les choses se mettent à mal aller pour les Raptors, vous saurez qui blâmer.

Taux

C’est toujours de bonne augure de se rafraîchir les tendances récentes en matière de rendements obligataires. Voici un indice : les taux sont en baisse. Vraiment en baisse par rapport à il y a un an. À l’heure actuelle, l’obligation du GDC de 5 ans, utilisée comme indicateur pour les taux hypothécaires, produit un rendement de 1,40 %. C’est 10 points de base de moins que vendredi dernier et un resserrement d’environ 72 points de base par rapport il y a exactement un an. L’obligation du GdC de 10 ans affiche un rendement de 1,50 %, près de 75 points de base de moins qu’il y a un an.

Les obligations hypothécaires du Canada (OHC) ont connu un sort semblable. Les OHC de 5 ans et de 10 ans affichent des rendements respectifs de 1,75 % et de 1,94 %. L’obligation de 5 ans s’est resserrée de 8 points de base depuis une semaine et celle de 10 ans, de 10 points de base. Étrangement, du moins peut-être juste pour moi, mais au moment de rédiger ces lignes, les deux affichent des rendements resserrés de 69,7 points de base par rapport au même jour en 2018.

Si vous avez porté attention aux commentaires passés, vous vous rendez compte que les rendements obligataires ont pratiquement abandonné toutes les hausses de taux de 2018 (soit 3 fois 25 points de base). Ça vaut la peine de le souligner, car ça démontre comment la Banque du Canada tente d’influencer les taux d’emprunt. Toutefois, ce sont ultimement les perspectives et les observateurs du marché qui déterminent la partie la plus longue de la courbe des taux d’intérêt. De toute évidence, le marché ne se préoccupe pas trop d’inflation ou d’une croissance galopante.

Banque du Canada et PIB

Donc, qu’est-ce que la BdC pense de ses interventions en 2018 et du cours actuel des événements? Bien, les gouverneurs de la Banque du Canada se sont réunis mercredi de cette semaine et ils ont décidé de maintenir le taux à un jour à 1,75 %. Aucune surprise là, car tout le monde s’attendait au maintien du statu quo. La BdC continue de réitérer la nécessité de dépendre de données et maintient dans sa mire le commerce entre le Canada et les États-Unis, les tensions entre la Canada et la Chine et, de façon générale, l’ensemble des tensions commerciales sur la planète. La BdC perçoit l’économie en bonne partie comme elle s’y attendait. Par conséquent, la probabilité de nouvelles hausses en 2019 demeure au beau fixe et les rendements obligataires ont baissé.

Les données du PIB pour mars ont été rendues publiques vendredi matin. Pratiquement tous les économistes se sont trompés dans leurs prédictions. Les économistes s’attendaient à une croissance de +0,7 % pour mars; les chiffres réels indiquent plutôt une croissance mensuelle du PIB de l’ordre de +0,4 %. Le portrait n’est pas tout sombre, car c’est plus en ligne avec l’ensemble des prévisions et des modèles de la Banque du Canada. Peut-être bien que les gouverneurs savent ce qu’ils font après tout... Si on creuse les résultats un peu plus, comme il était attendu, les exportations nettes (-3,9 %) ont beaucoup contribué à la faible croissance; cependant, la consommation et les investissements commerciaux se sont portés beaucoup mieux que prévu et ont contribué à redorer le portrait global. Globalement, la croissance du PIB au deuxième trimestre demeure à +2,2 %, et c’est pas mal ce qui était prévu.

D’autres nouvelles que vous avez peut-être manqué

Bien, le marché est continuellement déstabilisé par des barrières tarifaires. Les États-Unis ont annoncé leur intention de hausser les tarifs contre le Mexique de 25 % (dans le pire des cas) si l’immigration illégale au pays n’est pas freinée. Cela pourrait être lourd de conséquences pour AEUMC, qui n’a toujours pas été ratifié par le Canada. Nous pourrions nous retrouver avec une entente bilatérale avec nos voisins du sud ou encore l’ALENA, l’AEUMC pourrait carrément être mis en péril. Seul le temps le dira. Dans d’autres nouvelles :

  • En Allemagne, les rendements des obligations de 10 ans atteignent un creux historique de -0,206 % (oh la la!)
  • L’indice VIX (volatilité) est en hausse
  • Le peso mexicain a perdu plus de 3 % de sa valeur

Pour terminer, parlant de ratification, la Ville de New York est à son tour en pleine « ratification ». Selon la ligne 311 de la ville, les observations de rats ont augmenté de 38 % pour atteindre 17 535 l’an dernier, par rapport à 12 617 en 2017. Les inspecteurs sanitaires de la ville ont aussi observé l’afflux de rats, le nombre d’observations actives ayant presque doublé au cours des cinq dernières années.

Donc, qui blâmer pour tous ces rats? Les milléniaux,

voyons…

Des scientifiques et des experts de la lutte antiparasitaire affirment que l’embourgeoisement sw plusieurs quartiers de la ville mène à un boom de la construction qui détruit des terriers de rats. Par conséquent, les rats n’ont plus d’endroit où se terrer. Donc, le nombre de rats n’a pas nécessairement augmenté, mais les rats n’ont plus d’endroit où se cacher.

 Mais bon… Ce n’est pas de ma faute si les rats apprécient les avocats pourris, le fromage sans gluten et les kombuchas hors de prix.

Les Raptors en six…

Andrew

 

Une mise à jour sur les rendements obligataires, les données du PIB et l’annonce de la BdC de cette semaine

  • First National Financial LP

Bonjour,

Vous vous demandez peut-être pourquoi il n’y a pas eu de commentaires depuis quelques semaines. Bien, ici à FN, nous ne sommes pas superstitieux, mais ma diseuse de bonne aventure me dit que c’est de la mauvaise sorcellerie de continuer d’écrire à propos des équipes sportives de Toronto. Hé bien! Cette diseuse sait de quoi qu’elle parle. Les Raptors sont bien en voie de réaliser ce que Vancouver et Montréal n’ont jamais réussi : remporter un championnat de la NBA.

Malheureusement, le service du marketing a insisté pour que je reprenne aujourd’hui mon habitude de commenter l’actualité. Ça a rapport aux statistiques qu’il tient sur le site Web. Alors, si les choses se mettent à mal aller pour les Raptors, vous saurez qui blâmer.

Taux

C’est toujours de bonne augure de se rafraîchir les tendances récentes en matière de rendements obligataires. Voici un indice : les taux sont en baisse. Vraiment en baisse par rapport à il y a un an. À l’heure actuelle, l’obligation du GDC de 5 ans, utilisée comme indicateur pour les taux hypothécaires, produit un rendement de 1,40 %. C’est 10 points de base de moins que vendredi dernier et un resserrement d’environ 72 points de base par rapport il y a exactement un an. L’obligation du GdC de 10 ans affiche un rendement de 1,50 %, près de 75 points de base de moins qu’il y a un an.

Les obligations hypothécaires du Canada (OHC) ont connu un sort semblable. Les OHC de 5 ans et de 10 ans affichent des rendements respectifs de 1,75 % et de 1,94 %. L’obligation de 5 ans s’est resserrée de 8 points de base depuis une semaine et celle de 10 ans, de 10 points de base. Étrangement, du moins peut-être juste pour moi, mais au moment de rédiger ces lignes, les deux affichent des rendements resserrés de 69,7 points de base par rapport au même jour en 2018.

Si vous avez porté attention aux commentaires passés, vous vous rendez compte que les rendements obligataires ont pratiquement abandonné toutes les hausses de taux de 2018 (soit 3 fois 25 points de base). Ça vaut la peine de le souligner, car ça démontre comment la Banque du Canada tente d’influencer les taux d’emprunt. Toutefois, ce sont ultimement les perspectives et les observateurs du marché qui déterminent la partie la plus longue de la courbe des taux d’intérêt. De toute évidence, le marché ne se préoccupe pas trop d’inflation ou d’une croissance galopante.

Banque du Canada et PIB

Donc, qu’est-ce que la BdC pense de ses interventions en 2018 et du cours actuel des événements? Bien, les gouverneurs de la Banque du Canada se sont réunis mercredi de cette semaine et ils ont décidé de maintenir le taux à un jour à 1,75 %. Aucune surprise là, car tout le monde s’attendait au maintien du statu quo. La BdC continue de réitérer la nécessité de dépendre de données et maintient dans sa mire le commerce entre le Canada et les États-Unis, les tensions entre la Canada et la Chine et, de façon générale, l’ensemble des tensions commerciales sur la planète. La BdC perçoit l’économie en bonne partie comme elle s’y attendait. Par conséquent, la probabilité de nouvelles hausses en 2019 demeure au beau fixe et les rendements obligataires ont baissé.

Les données du PIB pour mars ont été rendues publiques vendredi matin. Pratiquement tous les économistes se sont trompés dans leurs prédictions. Les économistes s’attendaient à une croissance de +0,7 % pour mars; les chiffres réels indiquent plutôt une croissance mensuelle du PIB de l’ordre de +0,4 %. Le portrait n’est pas tout sombre, car c’est plus en ligne avec l’ensemble des prévisions et des modèles de la Banque du Canada. Peut-être bien que les gouverneurs savent ce qu’ils font après tout... Si on creuse les résultats un peu plus, comme il était attendu, les exportations nettes (-3,9 %) ont beaucoup contribué à la faible croissance; cependant, la consommation et les investissements commerciaux se sont portés beaucoup mieux que prévu et ont contribué à redorer le portrait global. Globalement, la croissance du PIB au deuxième trimestre demeure à +2,2 %, et c’est pas mal ce qui était prévu.

D’autres nouvelles que vous avez peut-être manqué

Bien, le marché est continuellement déstabilisé par des barrières tarifaires. Les États-Unis ont annoncé leur intention de hausser les tarifs contre le Mexique de 25 % (dans le pire des cas) si l’immigration illégale au pays n’est pas freinée. Cela pourrait être lourd de conséquences pour AEUMC, qui n’a toujours pas été ratifié par le Canada. Nous pourrions nous retrouver avec une entente bilatérale avec nos voisins du sud ou encore l’ALENA, l’AEUMC pourrait carrément être mis en péril. Seul le temps le dira. Dans d’autres nouvelles :

  • En Allemagne, les rendements des obligations de 10 ans atteignent un creux historique de -0,206 % (oh la la!)
  • L’indice VIX (volatilité) est en hausse
  • Le peso mexicain a perdu plus de 3 % de sa valeur

Pour terminer, parlant de ratification, la Ville de New York est à son tour en pleine « ratification ». Selon la ligne 311 de la ville, les observations de rats ont augmenté de 38 % pour atteindre 17 535 l’an dernier, par rapport à 12 617 en 2017. Les inspecteurs sanitaires de la ville ont aussi observé l’afflux de rats, le nombre d’observations actives ayant presque doublé au cours des cinq dernières années.

Donc, qui blâmer pour tous ces rats? Les milléniaux,

voyons…

Des scientifiques et des experts de la lutte antiparasitaire affirment que l’embourgeoisement sw plusieurs quartiers de la ville mène à un boom de la construction qui détruit des terriers de rats. Par conséquent, les rats n’ont plus d’endroit où se terrer. Donc, le nombre de rats n’a pas nécessairement augmenté, mais les rats n’ont plus d’endroit où se cacher.

 Mais bon… Ce n’est pas de ma faute si les rats apprécient les avocats pourris, le fromage sans gluten et les kombuchas hors de prix.

Les Raptors en six…

Andrew

 

Une mise à jour sur les rendements obligataires, les données du PIB et l’annonce de la BdC de cette semaine

  • First National Financial LP

Bonjour,

Vous vous demandez peut-être pourquoi il n’y a pas eu de commentaires depuis quelques semaines. Bien, ici à FN, nous ne sommes pas superstitieux, mais ma diseuse de bonne aventure me dit que c’est de la mauvaise sorcellerie de continuer d’écrire à propos des équipes sportives de Toronto. Hé bien! Cette diseuse sait de quoi qu’elle parle. Les Raptors sont bien en voie de réaliser ce que Vancouver et Montréal n’ont jamais réussi : remporter un championnat de la NBA.

Malheureusement, le service du marketing a insisté pour que je reprenne aujourd’hui mon habitude de commenter l’actualité. Ça a rapport aux statistiques qu’il tient sur le site Web. Alors, si les choses se mettent à mal aller pour les Raptors, vous saurez qui blâmer.

Taux

C’est toujours de bonne augure de se rafraîchir les tendances récentes en matière de rendements obligataires. Voici un indice : les taux sont en baisse. Vraiment en baisse par rapport à il y a un an. À l’heure actuelle, l’obligation du GDC de 5 ans, utilisée comme indicateur pour les taux hypothécaires, produit un rendement de 1,40 %. C’est 10 points de base de moins que vendredi dernier et un resserrement d’environ 72 points de base par rapport il y a exactement un an. L’obligation du GdC de 10 ans affiche un rendement de 1,50 %, près de 75 points de base de moins qu’il y a un an.

Les obligations hypothécaires du Canada (OHC) ont connu un sort semblable. Les OHC de 5 ans et de 10 ans affichent des rendements respectifs de 1,75 % et de 1,94 %. L’obligation de 5 ans s’est resserrée de 8 points de base depuis une semaine et celle de 10 ans, de 10 points de base. Étrangement, du moins peut-être juste pour moi, mais au moment de rédiger ces lignes, les deux affichent des rendements resserrés de 69,7 points de base par rapport au même jour en 2018.

Si vous avez porté attention aux commentaires passés, vous vous rendez compte que les rendements obligataires ont pratiquement abandonné toutes les hausses de taux de 2018 (soit 3 fois 25 points de base). Ça vaut la peine de le souligner, car ça démontre comment la Banque du Canada tente d’influencer les taux d’emprunt. Toutefois, ce sont ultimement les perspectives et les observateurs du marché qui déterminent la partie la plus longue de la courbe des taux d’intérêt. De toute évidence, le marché ne se préoccupe pas trop d’inflation ou d’une croissance galopante.

Banque du Canada et PIB

Donc, qu’est-ce que la BdC pense de ses interventions en 2018 et du cours actuel des événements? Bien, les gouverneurs de la Banque du Canada se sont réunis mercredi de cette semaine et ils ont décidé de maintenir le taux à un jour à 1,75 %. Aucune surprise là, car tout le monde s’attendait au maintien du statu quo. La BdC continue de réitérer la nécessité de dépendre de données et maintient dans sa mire le commerce entre le Canada et les États-Unis, les tensions entre la Canada et la Chine et, de façon générale, l’ensemble des tensions commerciales sur la planète. La BdC perçoit l’économie en bonne partie comme elle s’y attendait. Par conséquent, la probabilité de nouvelles hausses en 2019 demeure au beau fixe et les rendements obligataires ont baissé.

Les données du PIB pour mars ont été rendues publiques vendredi matin. Pratiquement tous les économistes se sont trompés dans leurs prédictions. Les économistes s’attendaient à une croissance de +0,7 % pour mars; les chiffres réels indiquent plutôt une croissance mensuelle du PIB de l’ordre de +0,4 %. Le portrait n’est pas tout sombre, car c’est plus en ligne avec l’ensemble des prévisions et des modèles de la Banque du Canada. Peut-être bien que les gouverneurs savent ce qu’ils font après tout... Si on creuse les résultats un peu plus, comme il était attendu, les exportations nettes (-3,9 %) ont beaucoup contribué à la faible croissance; cependant, la consommation et les investissements commerciaux se sont portés beaucoup mieux que prévu et ont contribué à redorer le portrait global. Globalement, la croissance du PIB au deuxième trimestre demeure à +2,2 %, et c’est pas mal ce qui était prévu.

D’autres nouvelles que vous avez peut-être manqué

Bien, le marché est continuellement déstabilisé par des barrières tarifaires. Les États-Unis ont annoncé leur intention de hausser les tarifs contre le Mexique de 25 % (dans le pire des cas) si l’immigration illégale au pays n’est pas freinée. Cela pourrait être lourd de conséquences pour AEUMC, qui n’a toujours pas été ratifié par le Canada. Nous pourrions nous retrouver avec une entente bilatérale avec nos voisins du sud ou encore l’ALENA, l’AEUMC pourrait carrément être mis en péril. Seul le temps le dira. Dans d’autres nouvelles :

  • En Allemagne, les rendements des obligations de 10 ans atteignent un creux historique de -0,206 % (oh la la!)
  • L’indice VIX (volatilité) est en hausse
  • Le peso mexicain a perdu plus de 3 % de sa valeur

Pour terminer, parlant de ratification, la Ville de New York est à son tour en pleine « ratification ». Selon la ligne 311 de la ville, les observations de rats ont augmenté de 38 % pour atteindre 17 535 l’an dernier, par rapport à 12 617 en 2017. Les inspecteurs sanitaires de la ville ont aussi observé l’afflux de rats, le nombre d’observations actives ayant presque doublé au cours des cinq dernières années.

Donc, qui blâmer pour tous ces rats? Les milléniaux,

voyons…

Des scientifiques et des experts de la lutte antiparasitaire affirment que l’embourgeoisement sw plusieurs quartiers de la ville mène à un boom de la construction qui détruit des terriers de rats. Par conséquent, les rats n’ont plus d’endroit où se terrer. Donc, le nombre de rats n’a pas nécessairement augmenté, mais les rats n’ont plus d’endroit où se cacher.

 Mais bon… Ce n’est pas de ma faute si les rats apprécient les avocats pourris, le fromage sans gluten et les kombuchas hors de prix.

Les Raptors en six…

Andrew

 

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