Financière First National SEC

Perspectives d’un emprunteur : Ash et Mona Singh, Equity Builders

  • Financière First National SEC

Il y a 12 ans, Ash et Mona Singh achetaient leur premier immeuble multifamilial de 48 unités à Mississauga. Leur objectif était d’investir tout en gagnant un certain revenu résiduel. Ce premier investissement passif a rapidement donné lieu à un investissement actif. Sous la bannière d’Equity Builders, les Singh ont développé leur portefeuille, qui compte aujourd’hui 850 unités dans le Grand Toronto.

Ash partage ses perspectives et celles de Mona sur les marchés du Grand Toronto et du sud-ouest de l’Ontario. Ils partagent aussi là où ils voient des occasions à saisir, leur vision en matière de croissance ainsi que l’importante contribution qu’a faite la relation commerciale et quasi familiale unique qu’ils entretiennent avec First National à leur croissance et leur valeur.

Q : Quelles sont vos perspectives concernant les marchés du Grand Toronto et du sud-ouest de l’Ontario?
AS : Il ne fait aucun doute que nous nous dirigeons vers une période de plus grande incertitude. Personne ne sait vraiment ce qui va arriver. Pendant plusieurs années, la plupart des gens ont réalisé des gains considérables sur une courte période de temps. Cependant, depuis maintenant trois ans, les gens s’interrogent sur la viabilité de cette situation. L’abordabilité est devenue un enjeu plus important, qu’il s’agisse de maisons individuelles ou de copropriétés. Aussi, les loyers sont à la hausse et il devient de plus en plus difficile pour les premiers acheteurs d’accéder à la propriété. Par conséquent, l’idée d’être à loyer en préparation de l’achat d’une première maison a de moins en moins d’adeptes. De nombreuses personnes évaluent maintenant les avantages d’être à loyer de façon permanente. Nous traversons une époque de grande transition dans nos modes traditionnels de vie et de travail. À mon avis, des facteurs comme l’abordabilité, le télétravail et le commerce électronique – pour n’en nommer que quelques-uns qui sautent aux yeux – vont modifier le marché immobilier que nous connaissons aujourd’hui. Il reste à voir quelle forme prendra la nouvelle normalité.

Q : Où se trouvent les possibilités selon vous?
AS : Je pense qu’il y a des occasions à saisir, mais nous avons décidé d’adopter une approche attentiste au marché du Grand Toronto jusqu’à nouvel ordre. Nous avons connu beaucoup de succès au cours des dix dernières années. Je ne pense pas que quiconque aurait pu prédire l’ampleur de la croissance soutenue qu’a enregistrée l’industrie au cours de la dernière décennie. Cependant, selon nous, nous pénétrons dans une certaine zone dangereuse. Si vous regardez un précédent, lorsque le marché américain s’est effondré en 2008-2009, les personnes qui avaient de l’argent à investir ont fait de l’argent. Nous appréhendons qu’une tempête se prépare à l’horizon et avons donc choisi d’attendre voir ce qui va arriver. Dans le pire des scénarios, nous laisserons passer des occasions pendant un an, mais nous sommes capables de vivre avec ça. Par ailleurs, nous élargissons le rayon géographique au sein duquel nous recherchons des occasions à saisir.

 Nous poursuivons activement des occasions au sein de marchés périphériques où les taux de capitalisation sont plus favorables et les propriétés, plus abordables. Ces marchés incluent ceux de St Catherine’s, London et Sarnia. Nombre de personnes se rendent jusqu’aux limites extérieures de la banlieue pour accéder à la propriété. Nous n’enregistrerons probablement pas les mêmes rendements que dans d’autres marchés, mais nous sommes d’avis que ces marchés périphériques représentent des lieux sûrs pour « remiser » de l’argent jusqu’à nouvel ordre.

Q : Quelle est votre vision en matière de croissance?
AS : À nos débuts il y a 13 ans, nous avions un chiffre magique de 1 000 unités en tête. Cependant, nous accordons aussi beaucoup d’importance à la famille. Nos enfants sont à l’école intermédiaire et nous avons donc organisé notre vie professionnelle de sorte à nous accorder beaucoup de temps en famille : transport à destination et en partance de l’école, programmes, leçons et devoirs, vacances en famille. C’est une importante leçon que nous avons apprise de nos mentors et nombre de gens ont déjà fait ce que nous faisons maintenant. Leur travail avait priorité sur leur famille. Nous visons à maintenir une croissance saine, stable et gérable de notre entreprise tout en accordant autant d’importance à la famille. Nous voulons aussi bâtir une fondation viable pour la prochaine génération.

Q : Quel soutien First National vous apporte-t-elle dans la poursuite de vos objectifs de croissance?
AS : First National est devenue en quelque sorte une famille pour nous. L’équipe de First National qui s’occupe de nous joue un rôle de premier plan dans notre succès. Sans First National, je ne suis vraiment pas sûr que nous aurions pu développer notre entreprise pour en faire ce qu’elle est aujourd’hui. Bien entendu, notre relation a parfois été mise à l’épreuve, mais First National a une incroyable aptitude à intervenir, à creuser et à trouver le positif dans toute difficulté. J’ai pleinement confiance en notre relation et le soutien inébranlable que First National continuera d’apporter à notre entreprise et notre vision.

Q : Sur la base de votre expérience, comment First National fait-elle la démonstration qu’elle est « plus qu’un simple prêteur »?
AS : Pour First National, la relation va bien au-delà du prêt. C’est une valeur qui est enracinée dans son modèle d’entreprise. Nous passons beaucoup de temps à discuter avec les membres de notre équipe sur nos objectifs familiaux, nos ambitions et le rôle que First National peut jouer en cours de parcours. Aussi, j’apprécie la transparence et l’honnêteté. Si nos conseillers de First National sont d’avis qu’une transaction est trop risquée, ils vont nous en faire part. Nous travaillions sur une transaction il y a trois ans dans laquelle Moray est intervenu. Il connaissait l’endroit et s’est rendu sur le site de l’acquisition envisagée. C’est rare qu’une personne de son niveau dans la hiérarchie accepte de jouer un rôle si actif en se rendant sur le terrain. Vous ne verrez pas ça de la part de la plupart des prêteurs. Chez First National, tout le monde est facile d’approche, nonobstant le poste ou l’ancienneté, et c’est quelque chose que nous apprécions vraiment.

Q : Qu’est-ce qui ressort le plus de votre relation de travail avec First National?
AS : Nous essayons de repousser les limites de notre approche commerciale et nous nous efforçons toujours d’avoir une vision d’ensemble et d’envisager ce qui est possible. First National soutient notre modèle d’entrepreneuriat unique. Lorsque nous la saisissons d’une occasion potentielle, First National n’essaie pas de la placer dans une case. Non, nous explorons notre vision ensemble. Si c’est favorable d’un point de vue commercial, nous allons de l’avant. First National est confortable et confiante à l’idée de prendre des risques calculés vu nos antécédents. Et nous avons droit à d’excellents conseils, évidemment en matière de transactions, mais aussi en matière d’affaires générales et de vie familiale. Nous avons eu de nombreuses conversations avec Dru sur ce que d’autres clients ont fait dans des situations similaires et sur comment éviter des pièges éventuels. C’est impossible de quantifier la valeur d’une telle contribution, mais elle fait une énorme différence.

À l’heure actuelle, nous menons 80 % de nos affaires avec First National. Nous sommes reconnaissants du succès et de la croissance que nous avons pu connaître grâce à cette relation et nous chérissons véritablement les amitiés que nous avons tissées au fil des ans. Dru et Jeremy sont devenus des membres de la famille. Nous nous sentons très fortunés d’avoir pu développer une formidable entreprise avec des gens formidables qui sont devenus des amis en cours de route. Que pourrions-nous demander de plus dans la vie?