Doug Farmer: Veiller au développement de carrières tout en développant l’entreprise dans les Prairies

DF : Avant First National, j’ai travaillé pendant près de dix ans pour la Compagnie de fiducie Sun Life, où je dirigeais la division de la souscription dans les Prairies. La société a été vendue et j’ai perdu mon emploi. Mon patron à la Sun Life, qui connaissait Moray Tawse, Stephen Smith et Scott McKenzie, avait eu vent qu’ils cherchaient à ouvrir un bureau à Calgary. Il m’a recommandé pour ce rôle. En février 2000, nous avons démarré avec une équipe de trois personnes, établissant ainsi la présence de First National dans les Prairies. 

DF : Ce fut une année très chargée : organisation du bureau, formation de l’équipe et établissement des objectifs avec Scott. Je n’avais aucune idée du volume potentiel que nous pourrions atteindre au cours de cette première année. Nous étions chanceux d’avoir Merlin, qui était à des années-lumière de ce que les autres avaient. Nos chiffres ont largement dépassé la cible que nous nous étions fixée. First National était déjà présent en Colombie-Britannique et les courtiers avaient beaucoup de respect pour l’entreprise. Mon expertise et ma réputation, les relations que j’avais établies et la gamme de produits de First National s’accordaient parfaitement pour accroître notre présence dans les Prairies. 

DF : J’y étais avant même d’avoir allumé les lumières de notre nouveau bureau de Calgary pour la première fois. Mes premières discussions avec Scott ont éveillé ma passion pour les possibilités qui s’offraient à nous. En raison des outils dont nous disposions, je savais que notre potentiel de croissance était presque illimité. En 25 ans, je n’ai jamais eu d’appréhension à l’égard de First National. Dès le premier instant, j’ai eu l'impression que j’étais à la bonne place. Bien sûr, le paysage économique nous a réservé quelques surprises au fil des ans, mais Scott m’a toujours donné la liberté et l’autonomie nécessaires pour développer cette entreprise.

DF : Notre croissance continue est une étape importante pour moi. Ça, et le fait que notre équipe soit passée de trois à 51 personnes. Notre part de marché reste la plus élevée du secteur. Nous avons développé un des plus grands centres de souscription de prêts hypothécaires à Calgary. Personnellement, je suis actif dans toutes les associations provinciales et nationales de courtiers hypothécaires et j’ai reçu un prix d’excellence pour l’ensemble de mes réalisations lors des Canadian Mortgage Awards en 2013. Il est particulièrement important pour moi de redonner au secteur qui nous a tant donné, à moi et à ma famille.

DF : J’ai joué un rôle de premier plan dans l’établissement et le développement de la présence et de la réputation de First National dans les Prairies. Des courtiers m’ont déjà dit « [à] nos yeux, c’est toi qui incarnes First National dans les Prairies ». Je fais ce métier depuis longtemps et j’ai des relations générationnelles avec de nombreux courtiers hypothécaires dont les enfants travaillent aujourd’hui dans le secteur. 

DF : Je suis très fier de ce que j’ai contribué à bâtir dans les Prairies. Notre présence ici a beaucoup évolué et je suis très fier d’en faire partie. Il y a tant de personnes que j’ai employées et formées et qui ont ensuite mené des carrières extraordinaires dans le secteur. J’ai eu la chance d’encadrer de nombreuses personnes talentueuses et d’aider à jeter les bases de leur réussite. 

DF : Quelques semaines après l’ouverture du bureau, l’Alberta Mortgage Brokers Association (AMBA) tenait son tournoi de curling annuel. Scott aussi y était présent. Tous les courtiers présents ont dit à Scott combien ils étaient heureux de ce que First National avait fait pour ma famille en m’offrant cette occasion. Ce soutien massif des courtiers a révélé à quel point j’étais respecté dans le secteur et la gratitude qu’ils avaient pour First National. 

DF : Toutes ses valeurs ont une résonance pour moi. Je me suis toujours senti investi d’une grande confiance en moi. On m’a donné la liberté et l’autonomie de gérer cette entreprise comme si c’était la mienne. Si des problèmes surviennent, ils sont traités dans le respect et la collaboration. Ma philosophie personnelle en tant que dirigeant consiste à rechercher constamment des moyens de m’améliorer. Si tu travailles toujours à la réalisation d’un objectif, quel qu’il soit, tu aurais l’inspiration et la motivation de faire mieux. 

DF : Un lieu de travail diversifié met en valeur les forces individuelles et ce que chaque personne apporte à la table. Ces célébrations rassemblent tout le monde et favorisent l’inclusion. Elles constituent également une formidable occasion propice à l’apprentissage et à l’éducation.

DF : Patience et apprentissage. J’ai encadré beaucoup de personnes en 25 ans. Ce ne sont pas tous ces gens qui ont eu la patience de se faire les dents en tant que coordonnateurs aux déboursés. La courbe d'apprentissage est assez raide, et le financement est un excellent moyen de se familiariser avec le processus hypothécaire. Traiter avec des courtiers qui, eux, traitent avec des agents immobiliers peut être intense. Les délais d’exécution sont très courts et la demande de services est incessante. Il est essentiel d’apprendre et d’établir une relation de confiance avec les courtiers. Alors, apprenez tout, lisez tout, écoutez tout le monde et trouvez un talentueux mentor qui vous guidera tout au long de votre carrière. 

DF : Je pense que First National est la meilleure entreprise du secteur, en particulier au sein du réseau des courtiers hypothécaires. Ce réseau s’est développé de manière exponentielle et continuera à se développer. First National a été là pour les courtiers et leurs clients et continuera à être là pour eux avec les meilleures équipes, les meilleurs produits et le meilleur service. Grâce à la confiance continue de certaines des plus grandes institutions financières du Canada, First National est bien placée pour continuer à réussir les prochains chapitres de son histoire.