Robyn Molenaar: Mettre l’accent sur l’amélioration et la reddition de comptes

Financière First National SEC 16 sept. 2025   mins

Robyn Molenaar est toujours en train de penser à de meilleures façons de faire les choses et insiste sur l’importance de toujours prendre la responsabilité des étapes nécessaires à la réalisation de tout objectif. 

Ramène-nous au début de ta carrière chez First National.
RM : J’ai commencé comme réceptionniste à l’âge de 19 ans. C’était mon premier emploi dans le milieu des affaires et j’avais soif d’apprendre. J’ai commencé à travailler dans le financement, puis j’ai quitté pendant six mois pour revenir occuper un poste d’AHA. En 2017, je suis devenue gestionnaire interne du développement des affaires. Puis, en 2019, j’ai pris mes fonctions actuelles en tant que gestionnaire externe du développement des affaires. 

À quoi a ressemblé ta première année?
RM : J’ai essayé d’absorber le plus de matière possible, car je n’avais pas beaucoup de connaissances sur les hypothèques ou le milieu des affaires. Je demandais constamment à être chargée de nouvelles tâches afin de pouvoir approfondir mes connaissances. Lorsque je suis revenue comme AHA, j’ai eu l’impression de faire du vélo. C’était comme si je n’étais jamais partie. J’ai repris là où j’avais commencé, et tout le monde a été très accueillant.

Quel a été le moment qui t’a convaincue que tu étais là où tu devais être?
RM : Lors d’une séance de discussion ou d’un congrès sur les ventes, une table ronde était consacrée au cheminement de carrière. Les gens partageaient leur cheminement au sein de First National. Ils parlaient de la façon dont ils s’étaient développés et du soutien qu’ils avaient reçu en cours de route. C’est en écoutant les expériences d’autres personnes que j’ai pris conscience de l’ampleur des possibilités qui s’offraient à moi. 

Décris quelques étapes importantes de ta carrière.
RM : Tous les postes que j’ai occupés ont contribué à me préparer au travail que je fais aujourd’hui. Lors de mon passage de gestionnaire interne à gestionnaire externe, j’ai dû lutter contre le syndrome de l’imposteur. J’avais un blocage mental et je me disais que je n’étais pas à ma place et que je n’étais pas faite pour ce poste. Ça me gênait et je ne voulais pas m’avouer ce que je ressentais. Le fait d’avoir surmonté cet obstacle a été une grande victoire pour moi. Mon supérieur m’a beaucoup soutenu et m’a conseillée sans même que je m’en rende compte. Les petits succès au quotidien m’ont donné confiance en mes capacités et en mon aptitude à faire du bon travail. 

Quelle marque as-tu laissée sur l’entreprise?
RM : Je défends avec ferveur la culture d’entreprise. J’ai participé à des événements de renforcement de l’esprit d’équipe, notamment à des fêtes de fin d’année et à des activités de reconnaissance des employés. J’ai été le visage du comité social du bureau de Calgary. Une culture extraordinaire règne au sein du bureau de Calgary. Nous nous entendons tous très bien et nous nous fréquentons en dehors du travail. Fondamentalement, nous sommes avant tout des êtres humains, et il est donc important de créer et d’entretenir un environnement où nous nous entraidons et nous nous respectons les uns les autres. Il est également important que nous nous amusions. 

Quelle est ta plus grande fierté à propos de ta carrière?
RM : Mon parcours professionnel. Lorsque j’ai commencé à travailler comme réceptionniste, j’étais très jeune. Je me souviens d’avoir vu des personnes occupant le poste de gestionnaire du développement des affaires et d’avoir pensé qu’elles étaient si professionnelles, si bien organisées et capables de porter tant de chapeaux. Je suis vraiment fière du travail que j’accomplis en portant tous ces chapeaux aujourd’hui. 

Quels sont tes meilleurs souvenirs?
RM : La réputation est le thème qui me vient à l’esprit. Il y a eu tellement de changements gouvernementaux et réglementaires en dix ans. Chaque fois qu’il y a un nouveau changement, les gens s’adressent à nous pour obtenir des éclaircissements afin de mieux le comprendre. L’industrie fait confiance à nos connaissances et à notre expertise. Je suis reconnaissante de faire partie d’une entreprise aussi respectée.

Laquelle des valeurs de First National résonne le plus à tes oreilles et pourquoi?
RM : Viser à faire mieux et mettre l’accent sur la responsabilité correspondent à mes valeurs fondamentales. L’une ne va pas sans l’autre. Je suis toujours en train de réfléchir à de nouvelles façons de faire les choses et de développer nos carrières. Il est important de se fixer des objectifs et de se tenir responsable des mesures à prendre pour les atteindre. Nous devons aussi nous porter responsables d’erreurs et de choses qui auraient pu mieux se passer. Lorsqu’on cherche constamment à s’améliorer, il est inévitable que des choses tournent parfois mal. 

Comment c’est de travailler chez First National en tant que femme et qu’est-ce qui t’inspire?
RM : Je n’ai jamais pensé « Oh, je suis une femme ». First National ne fonctionne pas ainsi. Et l’industrie ne fonctionne pas plus ainsi. Je suis entourée de femmes fortes et je suis reconnaissante à l’égard de chacune d’entre elles. 

Pourquoi nos événements tels que le Mois de l’histoire des Noirs, la Journée internationale des femmes et la Fierté sont-ils si importants et constituent-ils des moyens si concrets de célébrer la diversité?
RM : Je reconnais mon privilège. Je suis reconnaissante d’avoir l’occasion d’écouter, d’apprendre et de devenir une meilleure alliée. Je n’ai pas eu à relever les mêmes défis que mes collègues ont dû relever. Je pense qu’il est incroyable que nous ayons l’intention de célébrer chaque partie de ce qui fait de First National l’entreprise qu’elle est.

Quels conseils donnerais-tu à des personnes qui développent leur carrière chez First National?
RM : Ma devise personnelle, qui m’a été inculquée dès mon plus jeune âge, est la suivante : « Aucune tâche n’est en dehors de ma description de poste ». Je me présente chaque jour avec cette mentalité. Il peut s’agir de quelque chose d’aussi simple que de faire le ménage du frigo dans la salle du personnel. Mais ça s’étend aussi à des rôles plus importants, comme aider un collègue, me porter volontaire pour un comité social, participer à des groupes de discussion et raconter mon histoire. Toutes ces choses, petites ou grandes, te rendront une personne plus complète et t’aideront à faire évoluer ta carrière. 

Quelque chose à ajouter en conclusion?
RM : Quand je pense à mes dix années passées avec First National, je me dis que c’est un parcours à multiples facettes depuis le début. Je continue de me développer et j’ai hâte de voir ce qui m’attend. 

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